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LES ÉCHOS : Paul Jorion: « La crise économique est un signe positif, les choses vont devoir changer », jeudi 11 juillet 2013
LES ÉCHOS : Paul Jorion: « La crise économique est un signe positif, les choses vont devoir changer »
LE CERCLE. Pour la troisième année, Le Cercle Les Echos accueille les travaux des étudiants de l’Institut Français de Presse (IFP). Aujourd’hui, interview de Paul Jorion membre du groupe de réflexion sur l’économie positive mis en place par Jacques Attali depuis septembre 2012.
Au sein même de ce groupe de travail, le principe d’économie positive fait encore débat. Maurice Lévy, le PDG de Publicis, a écrit un courrier pour exprimer ses doutes sur cette forme d’économie alternative. Paul Jorion a décidé … Lire la suite…
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LUNDI 8 AVRIL, DE 15h À 17h, SUR LA PAGE « LES DÉBATS DU BLOG DE PAUL JORION » : MA RÉPONSE À MAURICE LÉVY
C’EST TERMINÉ !
Lundi 8 avril entre 15h et 17h, je débattrai avec vous des doutes de Maurice Lévy quant à la notion d’une « économie positive » et de la réponse que je lui ai apporté à ce sujet. Les deux textes se trouvent ici.
Le débat aura lieu sur « Les débats du blog de Paul Jorion ».… Lire la suite…
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L’ÉCONOMIE POSITIVE : « J’ai des doutes… », par Maurice Lévy, suivi d’une réponse par Paul Jorion
… Lire la suite…Maurice Lévy, P-DG de Publicis Groupe, fait partie, au même titre que moi-même, du groupe de réflexion sur l’économie positive dirigé par Jacques Attali. Je suppose que les choses se sont passées pour lui de la même manière que pour moi, à savoir qu’il a reçu un jour une lettre de ce dernier lui demandant d’accepter de faire partie du groupe, et qu’il a répondu oui.
Vendredi, Maurice Lévy a adressé une lettre à Jacques Attali intitulée « J’ai des doutes… » Si j’ai eu l’occasion de la voir, c’est que Maurice Lévy en a fait une «
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POUR UNE CONTRIBUTION « HABITUELLE » DES PLUS FORTUNÉS
Ce texte est un « article presslib’ » (*)
Devant l’appel de seize riches Français pour une contribution « exceptionnelle » de leur part à la guerre contre la dette publique, la première réaction pourrait être le scepticisme, voire la moquerie. Si en effet le mal est chronique, pourquoi la contribution devrait-elle être exceptionnelle ? Si le problème est constant, pourquoi le « sacrifice » – qui à ce niveau là de fortune n’en est pas véritablement un – devrait-il être lui ponctuel ?
Autre dimension à la question : il est tentant de rapprocher la signature de l’appel par … Lire la suite…