-
CHOSTAKOVITCH POUR UN DIMANCHE APRÈS-MIDI
Staline l’aimait bien plus qu’il n’aimait Staline.
Mais comme c’est beau. Chostakovitch, mon frère : à la musique !
-
Dmitri Chostakovitch (1906 – 1975)
En lançant ce billet hier, j’avais écrit :
… Lire la suite…Parmi les choses que nous avons perdues dans la grande perte de mémoire du blog entre août et octobre, je regrette tout particulièrement notre discussion à bâtons rompus sur Chostakovitch, débat qui était apparu non pas à propos d’un de mes billets mais spontanément dans des commentaires. Alors je vous propose une chose inhabituelle : un billet évolutif. Je modifierai ce que je viens d’écrire ici au fur et à mesure que la discussion reprend, avec les choses qui me reviendront, les vidéos que nous voudrons voir. Si vous participiez à la discussion initiale, revenez, sinon : entrez dans la danse.
-
Krzysztof Penderecki (1933-2020)
Mon commentaire ? Le voici :
Je dis ça sérieusement : Penderecki était de la classe des Prokofiev et Chostakovitch. … Lire la suite…
-
ET MAINTENANT, POUR NOS AMIS AMATEURS DE VALSE…
Pour le plaisir des oreilles… et/ou des yeux !
Richard Strauss (avec l’aide de Leonard Bernstein…)
Dmitri Chostakovitch
Leonard Cohen (The Tennessee Waltz)
-
Recherche archéologue(s) fou(s)
Vous êtes nombreux à me faire savoir que vous regrettez que l’activité du blog dimanche ait été perdue.
En fait, je reçois par courriel copie de pratiquement tous les commentaires. Seuls manquent à l’appel ceux qui furent considérés comme spam par le logiciel qui gère le blog et envoyés à la poubelle… et que je sauve in extremis de ce sort indigne !
Il serait donc théoriquement possible de reconstituer la quasi-totalité de la journée de dimanche. Ce serait un sacré boulot et c’est ce qui me fait évoquer des « archéologue(s) fou(s) ».
Je regretterais personnellement que soit perdue la discussion qui était née autour de Chostakovitch et vous m’avez déjà signalé vos propres favoris à la ressuscitation.… Lire la suite…
-
La chambre verte, encore une fois
Le grand public a retenu bien sûr de François Truffaut acteur, son rôle de savant passionné dans Rencontres du troisième type. Nul doute que le cinéaste aurait aimé être dans la vie ce scientifique chargé de la communication initiale avec une avant–garde extra–terrestre. Les rôles qu’il voulut interpréter dans ses propres films sont révélateurs : le metteur en scène de La nuit américaine, voilà qui ne fut guère une « interprétation ». Jean Itard, le maître improvisé de Victor de l’Aveyron, explorant la frontière entre nature et culture, s’efforçant de domestiquer L’enfant sauvage, encore un rôle qui lui parut sans doute coller à sa personnalité propre.… Lire la suite…