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Vidéo – La haine sur le Blog de Paul Jorion
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Université Catholique de Lille, Déclarer l’état d’urgence pour le genre humain ? Les risques existentiels pour notre espèce, le 5 février 2019
Conférence tronquée à 26 minutes (fichues piles !) J’aurai cependant eu le temps de répertorier les cataclysmes naturels les plus décourageants, et l’incurie humaine la plus navrante.
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Gênes – L’ultralibéralisme reflète la nature humaine : court-termiste et égoïste, par Jean-Baptiste Auxiètre
Ouvert aux commentaires.
Le pont Morandi de Gênes était condamné à s’écrouler car il n’avait pas été conçu pour le trafic actuel, ni pour exister plus de 50 ans – nous en sommes à 51 ! Si l’on ressortait son cahier des charges d’origine, on verrait non seulement qu’il a dépassé son espérance de vie mais aussi qu’il dépassait ses capacités physiques et matérielles.… Lire la suite…
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Fukushima : Temps de la fin contre fin des temps [1], par Cécile Asanuma-Brice
Billet invité. Ouvert aux commentaires.
Yokohama, 11 mars 2016
Cinq années se sont passées depuis le tremblement de terre de 2011, le tsunami, l’explosion de la centrale nucléaire. Le lieu du drame véhicule désormais la catastrophe en son nom : Fukushima. Où en est-on ?… Lire la suite…
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« Osons » le zéro Hulot pour le zéro nucléaire, par Thierry Ribault
… Lire la suite…Billet invité. P. J. : Faut-il s’en prendre par priorité à ses ennemis où à ses « alliés objectifs » dont on suppose qu’ils « pourraient faire beaucoup mieux » ? Mon choix personnel est clair : à ses ennemis, et c’est un reproche que je ferais à la gauche en général, d’avoir toujours préféré l’entre-déchirement à la lutte ciblée au bon endroit. Le débat sur les questions soulevées ici est cependant essentiel, c’est pourquoi je publie ce billet, mais seulement parce que je sais que d’autres viendront remettre en question, non pas les faits – qui sont avérés
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Incident nucléaire / chimique : comment l’intérimaire ne peut s’y préparer, par Sapristi
Billet invité.
Je réagis au post de notre ami irradié non consentant de Saclay (que je trouve trop flou).
Il se trouve que ma vie de codeur commence à Saclay, au CEA en 1993 où un jour j’ai été détecté « irradié » en sortant de salle blanche, puis se poursuit chez Thomson CSF en 1994 où j’ai appris à mes dépens que manipuler des substances chimiques pouvait être mauvais pour ma santé.
En 1993 j’ai commencé à coder des trucs pour l’INSTN, l’institut des sciences et techniques nucléaires, où est arrivé cet « incident ». En 94 je travaillais … Lire la suite…
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À la rédaction de Science et vie, à propos de « Accident nucléaire. Comment la France s’y prépare », par Un irradié non consentant
Billet invité.
À la rédaction de Science et vie
Aux sieurs Vincent Nouyrigat et Frédéric Pajak
Messieurs,
C’est avec un dégoût mêlé de pitié que j’ai aperçu la une de votre magazine (Accident nucléaire. Comment la France s’y prépare). Afin de connaître plus en détail l’étendue de ce désastre culturel et politique – en attendant la catastrophe radiologique annoncée – je me suis forcé à lire cette chose.
Je sais depuis longtemps que le monde radioactif dans lequel les experts de la question entendent nous faire vivre se déploie inlassablement depuis Los Alamos, en dépit de tout. Je … Lire la suite…