Étiquette : assouplissement quantitatif

  • Les bourses européennes ouvrent à la hausse

    Assouplissement quantitatif : le retour !

    Quelle différence cela fait-il d’avoir une avocate d’affaires à la tête de la Banque centrale européenne plutôt qu’un économiste ? J’y reviens dans la journée.… Lire la suite…

  • La Fed abaisse le taux au jour le jour à 0%

    Le taux directeur de la banque centrale américaine est abaissé à 0%. Elle injecte parallèlement 700 milliards de dollars en…

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  • L’Écho – Keynes et les taux d’intérêt aujourd’hui, le 7 janvier 2020

    Keynes et les taux d’intérêt aujourd’hui

    John Maynard Keynes est sans conteste le plus grand économiste du XXe siècle. Son livre le plus connu est sa Théorie générale de l’emploi, des intérêts et de l’argent, parue en 1936.

    Curieusement, et comme j’ai eu l’occasion de le signaler et de l’analyser *, une véritable explication du taux d’intérêt est absente de son livre : il l’explique de multiples manières, souvent contradictoires. Quelques-uns des facteurs qu’il mentionne peuvent être additionnés mais certains s’excluent l’un l’autre.

    Ainsi, qu’est-ce qui détermine le taux d’intérêt pour Keynes, selon qu’on cherche ici ou là … Lire la suite…

  • Le charme discret de l’intestin monétaire, par Franck Janura

    Billet invité.

    Immense succès de librairie, l’essai de la jeune étudiante allemande en médecine Giulia Enders “Le charme discret de l’intestin” propose au lecteur de découvrir avec un certain humour et un vrai talent de pédagogue les méandres de nos organes digestifs. A priori sans liens évidents avec les organes financiers et leurs fonctionnements, le livre de Giulia Enders incite cependant à quelques rapprochements inattendus.… Lire la suite…

  • LE FMI À COURT DE SOLUTION, par François Leclerc

    Billet invité.

    A l’occasion de leur assemblée générale annuelle, le FMI, la Banque mondiale, lancent des alarmes sans résultat apparent, inspirés par une vision globale qu’ils paraissent seuls posséder, imposant pour s’en pénétrer de lire leurs très fastidieux rapports…… Lire la suite…

  • LES JEUX POLITIQUES EUROPÉENS SE TENDENT, par François Leclerc

    Billet invité.

    À Athènes, Antonis Samaras tente de grignoter des voix parlementaires et d’assurer la victoire de son poulain à la Présidence de la République, afin de reculer la perspective d’élections législatives anticipées gagnées par Syriza. Le troisième et dernier tour des élections à la présidence aura lieu le 29 décembre, mais les pointages ne lui sont toujours pas favorables. Deux épisodes de débauchage font déjà jaser, avec pour cible un député des Indépendants et le parti Dimar, le premier sous la forme la plus classique d’un achat de vote, un enregistrement non authentifié circulant. Le second à l’occasion d’une … Lire la suite…

  • À JOUER PETIT, ON NE GAGNE PAS GROS, par François Leclerc

    Billet invité

    Sans y faire la moindre référence, le programme de création monétaire de la BCE qui est dans les limbes équivaudra dans les faits au lancement d’euro-obligations. Mais chut ! il ne faut pas le clamer sur tous les toits ! C’est une des raisons pour lesquelles il continue de susciter de vives résistances, qui devront être vaincues d’ici la prochaine réunion du conseil des gouverneurs, le 22 janvier 2015. L’Eurosystème deviendra en effet détenteur d’une partie de la dette des pays et des entreprises européennes. L’autre raison du refus est qu’il représentera selon ses détracteurs une incitation à … Lire la suite…

  • UN INSTINCT DE PRÉSERVATION FORT PEU DÉVELOPPÉ, par François Leclerc

    Billet invité.

    Non sans inconséquence, la main droite des grands dirigeants mondiaux ignore ce que fait leur main gauche. De l’une, ils jettent de l’huile sur le feu, de l’autre ils prétendent calmer le jeu.

    Wall Street a salué vendredi une salve de bonnes nouvelles en provenance des banques centrales : la Banque du Japon va accroître davantage encore une injection monétaire déjà massive, celle de Chine a annoncé une baisse de ses taux d’intérêts en vue d’accroître le crédit, et la BCE a laissé présager le lancement d’un programme d’assouplissement monétaire d’ampleur (ce qui a été traduit par son … Lire la suite…

  • Les marchés sont nerveux… très nerveux !

    Je vous avais dit il y a quelques années qu’il serait très difficile pour les États-Unis de sortir du Quantitative Easing, encore appelé « planche à billets ». Pour marquer le coup, j’avais appelé cela : « fin du capitalisme ».

    On est en train d’essayer. Effet mécanique : moins d’achats de dette, baisse de la concurrence entre les acheteurs (les prêteurs) qui peuvent du coup faire la fine bouche, obligeant les vendeurs (les emprunteurs) de passer sous leurs fourches caudines et consentir des taux d’intérêts plus élevés. Résultat, de la dette à taux d’intérêt plus élevé se retrouve … Lire la suite…

  • Europe : UN TOURNANT QUI RESTE ENCORE A NÉGOCIER, par François Leclerc

    Billet invité.

    Ils ont bonne mine, tous ceux qui utilisaient la menace de la sanction des marchés pour imposer leur politique : les taux obligataires rivalisent à la baisse et atteignent des minima en dépit des mauvaises nouvelles qui s’accumulent. A l’occasion d’émissions à court terme, le trésor français bénéficie même de taux négatifs, comme son homologue allemand y est accoutumé. Même les pays hier les plus attaqués sur le marché obligataire connaissent non seulement une accalmie mais une véritable rémission. Est-ce le fruit de la justesse de leur politique, comme viennent de s’en prévaloir Angela Merkel et Mariano Rajoy, … Lire la suite…

  • Europe : ILS CONTINUENT DE JOUER PETIT… par François Leclerc

    Billet invité.

    Laborieusement, comme en toute chose, les dirigeants européens s’efforcent de surmonter leurs contradictions et d’amorcer un tournant qui s’annonce par avance inconséquent. Devant les faits, ils doivent une fois de plus s’incliner, sans en tirer les conséquences et remettre en question leur orientation. L’Italie s’apprête à dépasser la ligne jaune des 3% du PIB de déficit que la France est loin de pouvoir rejoindre. La sanction ne peut être minorée : ce ne sont plus des pays européens périphériques qui se révèlent rebelles à l’application d’une politique qui fait loi, mais deux des trois principales puissances économiques de … Lire la suite…

  • Andrew Huszar : les confessions d’un assouplisseur quantitatif

    L’« assouplissement quantitatif », également appelé « planche à billets », est la politique consistant pour la Federal Reserve, la banque centrale américaine, à acheter des obligations américaines pour un montant mensuel de 85 milliards de dollars, autrement dit à créer du dollar pour ce montant sans création de richesse équivalente dans l’économie. Quatre mille milliards de dollars ont été ainsi injectés depuis 2009, somme qu’il faudrait donc en principe retirer un jour du circuit monétaire.

    Lorsqu’en juin, Ben Bernanke, à la tête de Fed, annonça un ralentissement de l’assouplissement quantitatif, les marchés obligataire et boursier plongèrent.

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  • LE TEMPS QU’IL FAIT, LE 2 MARS 2012

    « Les questions qui restent à résoudre »
    La décision de l’ISDA = pas d’événement de crédit sur la dette grecque
    La spéculation
    La planche à billets à la Banque Centrale Européenne … Lire la suite…

  • L’ANNEE 2010 : LA DERNIERE CARTOUCHE

    Ce texte est un « article presslib’ » (*)

    Article paru dans L’ENA hors-les-murs, janvier 2011

    L’année financière 2010 s’est caractérisée par le rétrécissement des options pour toutes les nations.

    En raison d’une concentration excessive de la richesse, le financement des entreprises, le revenu des ménages, avaient été partiellement remplacés par des crédits. En 2008, le château de cartes du crédit s’est écroulé. On a parlé de « crise de liquidité » au lieu d’insolvabilité pour permettre aux États de renflouer les banques en catimini en leur avançant des fonds à taux zéro ou à peu près par le … Lire la suite…

  • BFM RADIO, LUNDI 15 NOVEMBRE 2010 A 11h39 – EFFONDREMENT FINANCIER – PHASE II

    Ce texte est un « article presslib’ » (*)

    La réaction à la crise dans sa première phase – que l’histoire situera de l’été 2007 au printemps 2010 – a été l’agitation désordonnée : l’armurerie était bien garnie et l’on tira abondamment et dans toutes les directions. Aucune victoire décisive n’en ayant résulté, et les munitions étant épuisées, on est passé au plan B : la paralysie ou la fuite.

    La paralysie fut à l’ordre du jour du G-20, plus encore – pour autant que la chose soit possible – que dans les réunions précédentes. L’agenda était chargé : stopper … Lire la suite…