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Ma génération, et ce qu’elle peut encore faire, le 17 août 2019 – Retranscription
Retranscription de Ma génération, et ce qu’elle peut encore faire, le 17 août 2019. Ouvert aux commentaires.
Bonjour, nous sommes le samedi 17 août 2019.
Quand j’étais gosse, il y avait des anciens combattants. C’étaient des gens, souvent, qui avaient une béquille parce qu’il leur manquait une jambe. Ils étaient dans des chaises roulantes. Ils avaient le visage plus ou moins abimé. Parfois, ils portaient leurs médailles, pour qu’on se souvienne. C’étaient les anciens combattants de la guerre de 1914. Les autres, les anciens combattants de la guerre de 1940, c’étaient nos parents : ceux qui nous poussaient dans … Lire la suite…
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Ma génération, et ce qu’elle peut encore faire
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DAMES DU TEMPS JADIS !
– Tout ça ne nous rajeunit pas, mon bon Monsieur (*) !
– Qu’est-ce que vous dites ?
– QUE ÇA NE NOUS RAJEUNIT PAS !
– (tousse ! tousse !) N’empêche que c’était le bon temps !=================================
(*) Incroyable mais vrai : Un jour, chez notre teinturier commun, Jean-Claude Brialy m’a donné du « Mon bon Monsieur » !Grace Slick
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L’ESPRIT DE CE TEMPS-LÀ
L’époque était sombre mais remplie d’espérance. Il faudrait pouvoir retrouver l’esprit de ce temps-là.
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SCOTT McKENZIE (1939 – 2012)
Tiens, on parlait d’eux justement.
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LE RETOUR DE L’IMPRÉVU
Ce texte est un « article presslib’ » (*)
Ce sont les commentaires haineux au billet d’Asami Sato sur le festival de Woodstock, qui m’ont donné envie de rendre une actualité, par une « piqûre de rappel », au splendide texte consacré par Christian Laval à l’Insistance de 68.
Mêmes réactions de haine alors de la part de certains au 68 français, qu’envers le mouvement hippie américain. Si j’avais évoqué également le mouvement néerlandophone Provo, nous aurions observé, j’en suis sûr, le même type de réaction, venant des mêmes. Ce sont les mêmes aussi qui se réjouissent … Lire la suite…
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WOODSTOCK ET LE MONDE OÙ NOUS VIVONS AUJOURD’HUI, par Asami Sato
Billet invité.
C’était il y a quarante-trois ans, le 15 août 1969 à Bethel, dans l’État de New York, aux États-Unis : un festival musical se déroula pendant trois jours sur les terres d’une ferme laitière appartenant à Max Yasgur.Au tout début du projet, les organisateurs envisageaient d’accueillir dix à vingt mille spectateurs. Il en vint un demi-million.
Woodstock est passé à la légende : le plus grand moment certainement de la musique folk-rock, mais aussi un rassemblement symbolique de la culture hippie des années 1960. Il y eut surtout, dans notre monde réel à nous, trois jours de … Lire la suite…