The Guardian – Population panic lets rich people off the hook for the climate crisis they are fuelling, par George Monbiot, mercredi 26 août 2020 (Traduit avec DeepL)
L’augmentation de la consommation par les riches a un impact environnemental bien plus important que le taux de natalité dans les pays pauvres
Lorsqu’a été publiée le mois dernier dans le Lancet une étude importante montrant que la population mondiale va probablement atteindre son maximum puis s’effondrer largement plus tôt que ne l’avaient supposé la plupart des scientifiques, j’ai naïvement imaginé que les habitants des pays riches cesseraient enfin de mettre tous les problèmes environnementaux du monde sur le compte de la croissance démographique. J’avais tort. Au contraire, la situation semble avoir empiré.