Étiquette : MEDEF

  • SÉMANTIQUE COMPARÉE

    Paris, 8 juillet 2012 (AFP) :

    « La présidente du Medef, Laurence Parisot va demander lundi à François Hollande lors de la conférence sociale d’inscrire la « liberté d’entreprendre dans la Constitution », de mettre « la compétitivité » au centre des débats, estimant aussi qu’il faut « pacifier » la question des licenciements. »

    Pacification de l’Algérie (Wikipédia en anglais) :

    « À la suite de la conquête de la Régence d’Alger, la Pacification de l’Algérie consista en une série d’opérations militaires en vue de mettre fin à diverses rébellions, razzias et massacres de colons français, qui éclatèrent sporadiquement

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  • LE TEMPS QU’IL FAIT, LE 22 AVRIL 2011

    En France, la prime de 1 000 € pour les salariés des entreprises dont les dividendes sont en hausse.

    Le prix (2010) : pp. 97-163 ; 229-236

    Le capitalisme à l’agonie (2011) : pp. 30-34

    Réponse à un commentateur : « La mesure doit faire partie d’un paquet de mesures allant dans le même sens, et empêchant les échappatoires : cela doit s’accompagner de l’interdiction des stock options et du rachat par une entreprise de ses propres actions ». … Lire la suite…

  • L’actualité de la crise : DERNIERES BETISES A NE PAS DIRE, par François Leclerc

    Billet invité

    Jean-Claude Trichet s’est dernièrement fait remarquer en déclarant qu’augmenter les salaires en Europe « était la dernière bêtise à ne pas faire ». Il se joint ainsi à ceux qui depuis quelque temps osent dire tout haut ce que d’autres pensent tout bas, pensant le moment venu pour relever la tête et reprendre la main pour réaffirmer leur vision du monde et de leurs intérêts.

    Ainsi, Laurence Parisot, la présidente du Medef, n’a pas hésité à qualifier de « vue de l’esprit » l’idée du partage des profits en trois tiers entre les actionnaires, les salariés et l’entreprise … Lire la suite…

  • COMBIEN DE TEMPS AVANT L’ATTERRISSAGE FORCÉ ?, par Eric Verhaeghe (*)

    Billet invité

    Il y a dix jours, j’étais invité sur BFM Business par Stéphane Soumier. Ce matin-là, les analystes du marché pavoisaient : le Portugal venait d’emprunter avec un relâchement sur ses taux. Signe que tout allait bien. On sort de la crise, forcément. L’hirondelle amène le printemps. Et lorsqu’il m’interroge sur mon livre Jusqu’ici tout va bien !, il me parle de mon défaitisme. Je me trompe, la preuve : le Portugal emprunte sans difficulté. Évidemment, je lui réponds que nous faisons un grand Madoff international, puisque nous finançons des dettes nationales par une dette communautaire. Joli tour … Lire la suite…