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Mes dix films préférés de Jack Nicholson (de 5 à 1)
#5 – Five Easy pieces – Bob Rafelson 1970
#4 – Profession reporter – Michelangelo Antonioni 1975
#3 – Les sorcières d’Eastwick – George Miller 1987
#2 – About Schmidt – Alexander Payne 2002
#1 – The Pledge – Sean Penn 2001
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Monica Vitti (1931-2022)
Tiens, c’est la première fois que me vient l’envie de citer la fameuse phrase du Tractatus logico-philosophicus de Wittgenstein : « Ce dont on ne peut parler, il faut le taire ». Je vais aller prendre l’air. Me promener un peu. Penser à ce qui importe, comme la beauté.
De manière incidente, sur Antonioni : L’homme qui dit : « Les femmes sont comme ça », ici le 11 mai 2021… Lire la suite…
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Après Antonioni, Godard
Après avoir revu à la suite, tous les Antonioni (vous m’avez vu mettre en ligne quelques vignettes : Des goûts et des couleurs, et L’homme qui dit : « Les femmes sont comme ça »), je suis passé à Godard, du moins celui des années soixante.
Je les regarde dans un ordre arbitraire ou, plus précisément, l’ordre que me suggère l’envie de les regarder. Lequel reflète sans doute le plaisir que j’ai eu à les voir au moment de leur sortie.
Si l’on excepte « Deux ou trois choses que je sais d’elle » (1966), que j’ai revu … Lire la suite…
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Deleuze : « Antonioni, cinéaste anti-freudien », par Phil Gill
Aussi, pourquoi Monsieur Jorion s’intéresse-t-il, entre autres, à l’œuvre d’Antonioni ?
Je suppose que l’une des raisons principales est que les films de ce cinéaste sont au croisement des « trois regards, philosophique, psychanalytique et cinématographique ». Et pourtant, selon la lecture deleuzienne des films d’Antonioni par Daisuke Fukuda dans « Savoirs et clinique », le philosophe Gilles Deleuze tenait Antonioni pour un cinéaste anti-freudien, du fait notamment que les personnages antonioniens se trouvent dans un monde où l’on n’a plus rien à dire.… Lire la suite…
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L’homme qui dit : « Les femmes sont comme ça »
Dans Identification d’une femme (1982), le moins connu sans doute des films de Michelangelo Antonioni, un adulte improvise à l’intention d’un enfant un conte de science-fiction où un astéroïde a été creusé et sculpté pour en faire un vaisseau spatial. Il conclut son récit par ces mots : « Nous aurons compris l’univers tout entier et les raisons qui se cachent derrière tant de choses ». Et l’enfant de commenter : « Et après ? ».
Ayant tout compris, nous pourrions aussi bien quitter le monde l’âme sereine, suggère l’adulte, mais l’enfant ne l’entend pas de cette oreille : le … Lire la suite…
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Des goûts et des couleurs…
Je n’avais jamais vu L’Éclipse d’Antonioni. Je l’ai regardé ce soir. Mais avant, j’ai voulu lire quelques critiques. Plusieurs se…
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