-
Les coulisses de l’anthropologie (1990) : Douglas R. White et moi
1990 : Douglas White (1942-2021), professeur d’anthropologie à l’Université de Californie à Irvine, mort il y a quelque mois, est…
Vous devez être connecté pour lire le contenu complet de l’article. Vous pouvez vous abonner ici… Lire la suite…
-
Cambridge University V. Jack Goody (1919-2015)
Il y a six ans, à l’occasion du décès de Jack Goody, je publiais ici sur le blog une notice, que je commence par reproduire, avant de la compléter ensuite.Jack Goody est mort. Il allait avoir 96 ans.
À Cambridge, mes relations avec Jack Goody, qui fut d’abord le directeur du département où j’étais étudiant thésard, ensuite mon patron durant les années où je fus enseignant, tournèrent sinon à la tragédie, du moins en tout cas, au drame. Rien n’y prédisposait. Il s’agit là d’une histoire triste, démontrant qu’il n’y a pas que les volontés des hommes et des … Lire la suite…
-
Meyer Fortes (1906 – 1983)
J’ai déjà rédigé il y a près de cinq ans un billet de ce nom. Je n’y disais en fait pas grand-chose de Meyer Fortes, sinon ceci :
… Lire la suite…Meyer Fortes, le sage « talmudique » (je ne sais pas ce que le mot signifie exactement, mais je crois que c’est bien cela que je veux dire !), qui se décrétait grand-père de certains étudiants thésards à Cambridge et devenait pour eux à partir de ce moment, leur ange tutélaire, chacun des mots qu’il leur adressait prenant alors la forme d’une bénédiction. Il est toujours là, perché à jamais sur
-
« De l’anthropologie à la guerre civile numérique » – VIII. Subissons-nous l’empreinte de l’écriture en tant que telle ?
Suite de l’entretien du 5 mai 2016 avec Franck Cormerais et Jacques-Athanase Gilbert de la revue Études digitales, en complément de l’entretien intitulé De l’anthropologie à la guerre civile numérique.
VIII. Subissons-nous l’empreinte de l’écriture en tant que telle ?… Lire la suite…
-
Jack Goody (1919 – 2015)
Jack Goody est mort. Il allait avoir 96 ans.
À Cambridge, mes relations avec Jack Goody, qui fut d’abord le directeur du département où j’étais étudiant thésard, ensuite mon patron durant les années où je fus enseignant, tournèrent sinon à la tragédie, du moins en tout cas, au drame. Rien n’y prédisposait. Il s’agit là d’une histoire triste, démontrant qu’il n’y a pas que les volontés des hommes et des femmes qui importent : les structures peuvent les broyer, ou pire encore, les monter les uns contre les autres.… Lire la suite…