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49.3 : Comment explique-t-on les choses ?, le 20 mars 2023 – Retranscription
49.3 : Comment explique-t-on les choses ?, le 20 mars 2023 – Retranscription
Bonjour, nous sommes le 20 mars 2023 : « Comment explique-t-on les choses ? »
Voilà ! J’ai un blog depuis 2007. Ça nous fait un certain nombre d’années : ça nous fait quinze ans, seize ans.
Je suis enseignant, j’ai été enseignant, à différentes époques de ma vie. J’ai travaillé dans le secteur public et dans le secteur privé. Il y a eu beaucoup de réunions. J’ai essayé de faire passer mon point de vue.
Et en ce moment, un problème se pose quant à l’explication … Lire la suite…
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Vidéo – 49.3 : Comment explique-t-on les choses ?
« Inflation = piège à cons ! », « Règles comptables = ennemies du peuple ! »… Lire la suite…
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Pourquoi la fragilité présente du secteur bancaire… et les gens en colère dans la rue ?
… Lire la suite…La fragilité présente du secteur bancaire et les gens en colère dans la rue, je vous les annonçais il y a un peu moins d’un an (le 19 avril 2022) dans un billet ici, comme des phénomènes qui se manifesteraient nécessairement, étant les fruits du même mécanisme implacable.
Souvenez-vous, ce billet (que vous pourrez relire ci-dessous) se terminait en disant ceci :
« Les disruptions des chaînes d’approvisionnement causent des hausses de prix, facteurs d’inflation. Les banques centrales haussent les taux pour maintenir le rendement du capital dans un contexte d’inflation, précipitant un krach obligataire, tandis que les États émetteurs
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Bourse en berne : plus un problème de finance comportementale que de valorisation des flux financiers, par Philippe Fraipont
Selon le discours actuel de bons nombre d’analystes, la hausse des taux a un impact sur les flux de trésorerie futurs actualisés , ce qui expliquerait la baisse de la valorisation des entreprises surtout celles avec des horizons de profit lointain.
Mais, à l’heure actuelle, la hausse de l’inflation est au dessus de celles des taux directeurs. Donc les taux réels sont plus négatifs qu’ils ne l’étaient il y a un an. D’un certain point de vue l’argent, par rapport à autre chose, est de moins en moins cher ou autrement dit vaut de moins en moins puisqu’il faut payer … Lire la suite…
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Saint-Etienne, Conférence de l’hôtel de ville : « Se débarrasser du capitalisme est une question de survie » (VIII) Comment se déterminent les taux d’intérêt ?
Je publie en feuilleton la retranscription (merci à Éric Muller !) de ma très longue conférence le 29 novembre 2018. Ouvert aux commentaires.
Question de la salle : Je ne suis pas une économiste mais, tout de même, sauf erreur, la rente avant 1914 rapportait entre deux et trois du cent. Est-ce que le marasme économique actuel ne vient pas, justement, des taux exorbitants que prélève le capital, et est-ce que ça n’est pas accentué par le fait qu’on a autorisé les banques à créer, en quelque sorte, de la monnaie virtuelle chaque fois qu’elles accordent un prêt ?… Lire la suite…
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LES BANQUES CENTRALES DÉSACCORDÉES, par François Leclerc
Billet invité.
« Quand Pierre Fresnay, Charles Trenet et Sophie Desmarets ! » : le couplet est ancien mais rend bien compte des attitudes de la Fed, de la BCE et de la Banque d’Angleterre, ainsi que de celle du Japon, dont le moins que l’on puisse dire est qu’elles ne convergent pas.… Lire la suite…
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BITCOIN, LA RÉSISTANCE S’INSTALLE, par François Leclerc
Billet invité.
Après la dégringolade du bitcoin qui a fait la une de la presse mondiale, les alertes sur la dangerosité des crypto-monnaies se succèdent. Dernier épisode en date, la semaine dernière, la plate-forme d’échanges japonaise Coincheck s’est vu subtiliser l’équivalent de 430 millions d’euros en NEM par des hackers. Le plus grand casse à ce jour de crypto-monnaies !… Lire la suite…
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LES BANQUES CENTRALES FONT TOURNER LES TÊTES, par François Leclerc
Billet invité.
Au fil de ces dernières années, les banques centrales ont confirmé être l’indispensable clé de voute du système financier. Elles ont fait face avec efficacité à une crise aiguë de liquidité (au blocage du système), en agissant en tant que prêteur en dernier ressort à un niveau massif. Elles ont ainsi contribué à baisser le coût de la dette souveraine et permis aux institutions de se financer à coût quasiment nul, afin d’aider au retour des beaux jours.… Lire la suite…
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LE COURS NOUVEAU DES BANQUES CENTRALES, par François Leclerc
Billet invité.
La Fed entame une diminution de la taille de son bilan destinée à s’étaler dans le temps, n’allant pas jusqu’à se donner l’objectif de le ramener à sa dimension d’avant la crise. À l’opposé, la Banque du Japon continue imperturbablement son programme d’achat de titres, sans autres résultats tangibles que la monétisation de sa dette publique. Entre les deux, la BCE n’a pas encore pris sa décision.… Lire la suite…
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LES BANQUES CENTRALES MARCHENT SUR DES Å’UFS, par François Leclerc
Billet invité.
Ayant joué un rôle déterminant et innové sans compter afin de stabiliser la crise financière et ses conséquences, les banques centrales sont à nouveau placées devant leurs responsabilités à l’occasion de leur rencontre annuelle de Jackson Hole : quand et comment vont-elles revenir sur leurs mesures non conventionnelles qui semblent ne plus pouvoir rester inchangées ?… Lire la suite…
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LE RETOUR À LA NORMALE, VOUS AVEZ DIT ? par François Leclerc
Billet invité.
Mario Draghi était attendu ce jeudi, il a parlé mais a créé la déception en appelant avec insistance à patienter, prenant à contre-pied les commentateurs financiers qui croient dur comme fer à l’imminence d’un changement de la politique monétaire de la BCE au nom d’un retour à la normale dont ils enregistrent les premiers signaux. Et rien ne semble pouvoir les en dissuader.… Lire la suite…
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RETOUR ILLUSOIRE DE LA FED À LA NORMALITÉ, par François Leclerc
Billet invité.
Après de longues tergiversations, la Fed a finalement enclenché prudemment la marche arrière et va progressivement laisser décroître son énorme stock d’actifs en ne renouvelant pas les titres en sa possession, lorsqu’ils arrivent à maturité. Son bilan atteint il est vrai la taille de 4.500 milliards de dollars – il était de 700 milliards en 2008 – et la banque centrale détient environ 15% de la dette fédérale, prêtant le flanc au reproche d’avoir franchi la frontière entre la politique monétaire et la politique budgétaire, qui n’est pas de son ressort, brisant un tabou.… Lire la suite…
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PAS DE RELÈVE POUR LES BANQUIERS CENTRAUX, par François Leclerc
Billet invité.
La Fed et la Banque du Japon s’étant exprimées, le tour suivant va être à la BCE, qui en semble bien embarrassée. Condamnée à ne pas rester dans l’inaction, que peut-elle faire de plus ?… Lire la suite…
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LES TRAVAUX PRATIQUES DE LA BANQUE DU JAPON, par François Leclerc
Billet invité.
La Fed continuant depuis un an à annoncer un relèvement de son taux qui n’intervient toujours pas, c’est la Banque du Japon (BoJ) qui vient pratiquement de mettre les pouces au terme de trois années d’offensive monétaire infructueuse.… Lire la suite…
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PERTE DE CONFIANCE DANS LES BANQUES CENTRALES, par François Leclerc
Billet invité.
Que peuvent les banques centrales ? La question parait bizarre tellement il en est attendu, mais le scepticisme grandit devant leur absence de résultats en dépit de la multiplication de leurs mesures non conventionnelles, ainsi que de leurs innovations, comme l’adoption de taux négatifs par certaines.… Lire la suite…