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Le bonheur ? Une recette infaillible !
Amsterdam, San Francisco et Vannes : trois villes où je me suis dit la première fois que je m’y…
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… Encore faut-il être heureux !
Ouvert aux commentaires.
Il n’y a pas que les progrès de la médecine pour faire que les gens vivent vieux…
… Lire la suite…La durée de vie baisse aux USA : morts par overdose ou liées à l'alcool x 4 depuis 2000. Suicides : + 38% – Suicides and overdoses among factors fueling drop in U.S. life expectancy https://t.co/rz9AUs0IcM
— Paul Jorion (@PaulJorion) November 26, 2019 -
Parfois le bonheur s’atteint
Parfois le bonheur s’atteint et ce n’est pas notre faute à nous, pauvres pécheurs, s’il y est mis fin. Ce n’est pas toujours nous qui crachons dans la soupe et gâchons ce qui nous a été offert, parfois c’est le monde qui s’assèche autour de nous et qui nous laisse, tristes poissons désormais hors de l’eau, crever la gueule ouverte.
À la chanteuse inconnue qui, à Julian, autrefois misérable village de chercheurs d’or californiens, perché dans la montagne surplombant le désert d’Anza-Borrego, nous chanta un soir Love and Happiness.
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Étude de l’Université de Gand sur la relation Bonheur-salaire en Belgique, par Marc Debliquy
Ouvert aux commentaires.
Une étude de l’Université de Gand a été publiée récemment qui peut renforcer les thèses et l’argumentation développées sur le Blog de Paul Jorion : le dossier Bonheur-argent.
Cette étude porte sur la relation entre le bonheur des Belges et leur salaire. Une des conclusions est que le bonheur n’augmente plus et même diminue pour les salaires très élevés alors qu’il y a de manière assez logique une bonne corrélation entre bonheur et salaire pour les petits salaires. La raison pour ceux-ci est le sens de la sécurité en tant que tranquillité d’esprit.
Ce document va … Lire la suite…
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Rationalité ou irrationalité du nucléaire civil
Une personne qui rédige une thèse sur « l’argumentation autour du nucléaire dans l’espace public français après la catastrophe de Fukushima » me pose une question relative à la réponse que j’ai apportée à un commentaire sur le blog, et me demande : « En quoi la comparaison du nombre de morts en voiture vs nombres de morts dus au nucléaire est-elle une authentique simplification ? » J’ai apporté une première réponse, et un débat s’en est suivi (que je pourrai publier en entier si mon interlocuteur en est d’accord). Voici en tout cas ma conclusion.
La rationalité chez … Lire la suite…
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Notre monde est un univers d’esclaves ignorant qu’ils le sont, par Pierre-Yves Dambrine
Billet invité.
Dans Une Grande Dissociation choisie, Cédric Chevalier ajoute un élément qui n’était pas présent dans le papier « McKinsey », à savoir la question de la finalité du travail.
Il peut être utile il me semble de nous référer à Aristote lequel s’est fait fort justement de comprendre et d’expliquer le monde en termes de finalités. Or dans Aristote ce monde où le travail a disparu existe bel et bien c’est celui des citoyens libres de la Cité, par opposition au monde des esclaves qui eux travaillent et permettent par leur labeur la vie des hommes … Lire la suite…
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LE CONCEPT DU « BON TEMPS », par Jean-Luce Morlie
Billet invité.
Le pivot de la pensée d’Attali dans La voie humaine (2004) est de donner de l’épaisseur au temps, aussi son projet me paraît-il offrir des mesures très concrètes pour la résolution de l’hubris moderne. Attali écrit : « La seule façon d’en sortir, pour le salarié » est de … « trouver assez de plaisir dans un travail pour qu’il constitue en soi sa propre rémunération ». Comme le souligne par ailleurs Jeanne Favret-Saada, l’éducation aux limites est inhérente à l’élevage des petits d’hommes dans toutes les formes de société, mais la forme moderne du « … Lire la suite…
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La transition (II) – Freud et le bonheur
Ce texte est un « article presslib’ » (*)
Freud a réfléchi à la question du bonheur de l’homme à la lumière de ce qu’est son psychisme : celui d’un mammifère social doté de conscience de soi et de la capacité de parler. La première constatation de Freud, c’est que l’insertion de l’espèce humaine au sein du monde naturel ne la dispose pas a priori à s’y trouver heureuse. L’homme et la femme aimeraient jouir sans entraves mais le monde qui nous est offert ne s’y prête pas : « … tout l’ordre de l’univers s’y oppose ; on serait … Lire la suite…
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La transition (I) – Le calcul du bonheur et du malheur
Ce texte est un « article presslib’ » (*)
Quand on pense à la transition d’un type de société vers un autre, on peut le faire de deux manières différentes : on peut soit envisager le phénomène « à vol d’oiseau », de manière globale, holiste : en extériorité, soit du point de vue d’un acteur de la transition, quelqu’un qui la fait ou qui est emporté par elle : en intériorité. Ces deux points de vue sont très différents.
Dans la perspective « à vol d’oiseau », qui serait celle par exemple d’un physicien, on observe une succession de … Lire la suite…
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Pourquoi les riches se comportent si mal ?, par Tata
Billet invité
À cette question, de nombreux messages ici en font le constat, je vous propose la réponse suivante qui peut paraître bien provocante, j’en conviens :
Parce qu’il devient très difficile d’être heureux lorsqu’on est riche !
J’ajoute d’ailleurs qu’il semble beaucoup plus facile de l’être lorsqu’on estime que l’on va le devenir… Il peut sembler décourageant, voir exaspérant à certains, de se préoccuper encore des riches, mais l’influence de chacun sur notre avenir commun dépend malheureusement assez fortement de nos pouvoirs respectifs (les groupes se constituant et s’identifiant souvent en fonction de leurs capitaux respectifs). Alors pardonnez-moi d’offenser … Lire la suite…