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Vidéo – La lamentable fin de Mme Liz Truss
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Ayn Rand (1905-1982)
Ayn Rand (de son vrai nom, Alisa Zinovyevna Rosenbaum), à côté de qui Margaret Thatcher était une dangereuse bolchévique. … Lire la suite…
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Vidéo – Transhumanisme et posthumanisme
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Trump : Les libertariens se rebiffent
Les frères Koch, grands soutiens du Parti républicain, lâchent Trump
Trump : « Il n’y a pas eu collusion ! » devient : « La collusion n’est pas un crime ! »… Lire la suite…
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Désinformer l’opinion : la stratégie délibérée des Libertariens, par Mark Karlin
Ouvert aux commentaires. Merci pour la traduction à Ronald Grandpey et 2Casa !
Misinforming the Majority: A Deliberate Strategy of Right-Wing Libertarians © Truthout
À quand remonte exactement l’emprise de l’extrême-droite sur la politique américaine ?
Nancy MacLean met en lumière les racines profondes et inquiétantes de ce projet caché — ainsi que son programme, mûri sur plusieurs décennies, de transformation des règles démocratiques — dans son dernier ouvrage, Democracy in Chains : The Deep History of the Radical Right’s Stealth Plan for America [La Démocratie Enchaînée : Le Plan Caché de l’Extrême-Droite pour l’Amérique].
Obtenez-le dès maintenant en souscrivant … Lire la suite…
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Dans les coulisses d’une « religion féroce » : la convergence voulue entre libertarianisme et satanisme, par Sapristi
Billet invité.
Si Paul Jorion qualifie l’économie ultralibérale de « religion féroce », comment pourrions-nous définir son incarnation extrême, le « libertarianisme » ?
Dans sa bible satanique, Anton Szandor LaVey, libertarien objectiviste convaincu et surtout philosophe sataniste, modernise le mythe de Satan en lui donnant les attributs du parfait « homo oeconomicus » rationnel. Les neuf affirmations sataniques sont :
… Lire la suite…– Satan représente l’indulgence, plutôt que l’abstinence.
– Satan représente l’existence vitale, et non des promesses spirituelles irréalistes.
– Satan représente la sagesse immaculée, au lieu de l’hypocrisie dans laquelle se complaisent les hommes.
– Satan -
LE RECUL BRUTAL DE L’INFLUENCE AMÉRICAINE
Une guerre généralisée des puissances occidentales contre la Syrie ou, si l’on veut, contre son Président, n’a pas eu lieu. La France était prête, éventuellement même à y aller toute seule, les députés britanniques ont dit non, et les Américains se sont mis à hésiter. M. John Kerry, Secrétaire d’État, c’est-à-dire ministre des affaires étrangères, a alors dit tout haut que si M. Poutine avait la bonne idée de suggérer à M. Bachar el-Assad qu’il transmette ses armes chimiques à la communauté internationale, les choses seraient bien différentes. M. Poutine a repris la balle au bond, comme l’on sait, et … Lire la suite…
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NOUS, LES MÉDUSÉS DÉSABUSÉS, par Bertrand Rouziès-Leonardi
Billet invité
Brice Couturier a entendu l’appel du Bâtonnier Christian Charrière-Bournazel à se mobiliser contre le projet de loi N° 1011 portant sur les moyens de combattre la fraude fiscale. Peut-être même a-t-il lu l’argumentaire bancal de Rémy Mahoudeaux publié sur le blog. On ne s’étonnera pas qu’il voie dans cette loi l’étincelle qui fera renaître de ses cendres le Phénix du Grand Inquisiteur Torquemada. Cela, c’était la fin de sa chronique matinale sur France Culture. Mais, comme dans la figure de l’ouroboros, cette fin, par une contorsion malicieuse et sans doute délectable, rejoignait le début.
Que disait-il au début … Lire la suite…
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PROJET D’ARTICLE POUR « L’ENCYCLOPÉDIE AU XXIème SIÈCLE » : École (économique) de Chicago, par Bertrand Rouziès-Leonardi
Billet invité.
École libre du totalitarisme ou école totalitaire de la liberté. – Vous êtes libres de choisir. De quoi vous plaignez-vous ? – Forme une triade horrifique avec l’école ordolibérale allemande et l’école autrichienne. Son directeur le plus connu : feu Milton Friedman, homme de paix que son prénom renvoie en enfer. Sa devise : « Life is unfair » (« La vie est injuste »), ce qui sous-entend non de la commisération mais le souci de tirer profit (« to deal with ») des injustices constatées. Les quelques miettes tombées de la table des goinfres suffisent à prouver
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BONJOUR MADAME LA TERRE, le jeudi 27 juin 2013 à 7h26
Sur YouTube, c’est ici.
Finance :
Le swap trafiqué de l’Italie
– Blog de PJ – Quand la buée se dissipe dans le rétroviseur, le 26 juin 2013
– Financial Times – Italy probes use of derivatives to hedge public debt, le 26 juin 2013Monnaies parallèles :
Le Bitcoin
– Financial Times – The Bitcoin believers, le 14 juin 2013
– Wall Street Journal – States Put Heat on Bitcoin, le 25 juin 2013
– Wikipedia – Protocol of Bitcoin… Lire la suite… -
LE TEMPS QU’IL FAIT, LE 20 AVRIL 2012
Commentaire de texte ou comment voter ?
« Retour vers le futur : la réforme « Big Bang » de la France », par Nicolas Doisy
« Va y avoir de la bagarre ! »
« Quoi qu’on fasse, ce sera la même chose »… Lire la suite… -
LE TEMPS QU’IL FAIT, LE 16 MARS 2012
Le Front de Gauche et nous
Les « Questions qui restent à résoudre »
Mr. Greg Smith, ancien Executive Director de la compagnie Goldman Sachs
Pour qui travaille une entreprise ?………….
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………….California Street, San Francisco… Lire la suite…
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LE TEMPS QU’IL FAIT, LE 23 DÉCEMBRE 2011
Les boucs-émissaires
La Banque Centrale Européenne
Le libertarianisme
« Les questions qui restent à résoudre »Également sur Youtube : ça se trouve ici.… Lire la suite…
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LE TEMPS QU’IL FAIT, LE 15 JUILLET 2011
Les fissures
Les stress-tests des banques européennes
« Trading book » / « Banking book »
La dette publique aux Etats-Unis et la polarisation de l’opinion
L’idéologie libertarienne
Qu’est-ce qu’un « événement de crédit » ?
Les agences de notation – comment les réformer ?
H. G. Wells : La machine à explorer le temps … Lire la suite… -
LA PUERTA DEL SOL CONTRE LE NIHILISME FINANCIER, par Pierre Sarton du Jonchay
Billet invité
Triomphe du nihilisme
Le capitalisme financier consiste à attribuer des prix à des titres dont la contre-réalité n’est pas vérifiable. Ce régime de prix est ontologiquement vide. Il contient en lui-même la contradiction de sa matière ; il confond le néant et la réalité. La crise des subprimes a révélé aux acteurs financiers que la confiance nécessaire à leurs transactions ne reposait sur aucune preuve objective. Les banques centrales ont dû forcer la liquidité du système en empruntant les actifs toxiques pour prêter de la monnaie garantie par la Loi. Les États ont dû emprunter massivement pour simuler … Lire la suite…