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Le mal fait « par réparation » reste un mal
Illustration par DALL-E (+PJ)
Le Monde : Colocations écolos, féministes ou cathos : « On partage bien plus que la vaisselle ! »
Ils choisissent d’habiter ensemble par affinités politiques, idéologiques, ethniques ou religieuses. Pour ne pas avoir à subir de critiques ou à se justifier, au sein d’un logement qu’ils considèrent comme un refuge.
Par Anne Chirol
Publié hier à 18h00, modifié à 06h09Courrier d’une lectrice ou d’un lecteur :
Erdos4ever
28/04/2023 – 00H20
… Lire la suite…Ce que je vois dans cet article, c’est surtout le rejet de ceux qui sont différents. Si on me parlait d’une coloc où il
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Comme en août 1914… la guerre fracture de nouveau la gauche ! par Yorgos Mitralias
Du point de vue de la gauche internationale, la guerre de Poutine contre l’Ukraine a commencé comme la Première Guerre mondiale et il n’est pas désormais exclu qu’elle se termine comme elle. En effet, dès leur tout premier jour, toutes les deux ont provoqué l’éclatement de la gauche internationale et sa division en deux camps de plus en plus divergents, opposés et inconciliables. Déjà au début de la guerre, on écrivait que « il est de plus en plus clair que mars 2022 tend à fracturer la gauche antilibérale internationale autant ou presque autant que août 1914 ! » (1) … Lire la suite…
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Offrir aux progressistes un moyen de sortir de leur isolement et de leur handicap, par Johan Leestemaker
Medellín, le 8 décembre 2022 (le 9 en France)
@Thomas Jeanson @CloClo @Pierre-Yves Dambrine
1. S’il y a un point d’intérêt sur lequel le créateur et mainteneur de ce blog a toujours insisté, c’est l’importance du ¨cadre¨, du ¨paradigme¨, ou, pour les anglophones, du ¨frame¨.
2. C’est l’importance de ce cadre ou de cette structure qui détermine la base, si vous voulez, la structure des rapports de force entre les cadres/cadres mutuellement.
3. Sous-estimer cette importance fait plus d’une fois partie des enjeux politiques du côté progressiste. (voir les remarques de Thomas Jeanson)
4. Aux États-Unis, Lakoff (Berkeley) en particulier … Lire la suite…
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Si la gauche peut encore quelque chose, elle doit le pouvoir contre le bloc que constituent ses adversaires ou alors elle ne peut rien !, par JeNeSauraisVoir
La gauche – les miettes qu’il en reste et les poussières qui pourraient s’y agréger – se rend bien compte, je crois, qu’à chaque fois qu’elle contribue à différer la catastrophe et a fortiori si elle attend quelque chose en retour, fut-ce de manière subliminale ou que la chose soit mise sur la table, elle agit à son désavantage.
Ce n’est pas que je veuille faire mon fier-à-bras inconscient mais n’est-il pas patent que toute l’énergie, tout l’influx dépensé à s’interposer entre d’une part la droite de la gauche associée à la droite et d’autre part l’extrême droite est forcément … Lire la suite…
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Candidature unique à gauche : la plaisanterie a assez duré
Quand on lit les déclarations ce soir, on se demande comment le mythe que « la gauche » serait une façon de voir le monde qui permettrait qu’une candidate ou un candidat puisse la représenter dans son ensemble perdure depuis 1848 * malgré 174 ans de démentis, tous plus navrants les uns que les autres.
Je disais ceci dans ma vidéo du 17 février 2017 :
… Lire la suite…Je voudrais pour commencer, vous citer quelques chiffres. Les chiffres
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Macron est-il un banquier assimilable par la Gauche ?, par Jean-Baptiste Auxiètre
PJ : Il m’en est témoin : j’ai gardé sous le coude pendant 48 heures sa proposition de billet, hésitant à la publier. Mais un rapide calcul (corrigez-moi si je me trompe) m’ayant convaincu qu’étant mon neveu, nous partageons ± ⅓ de notre patrimoine génétique, et que la provocation fait partie de la tradition familiale…
Quand je dis « banquier », je ne parle pas ici d’un employé de banque, mais bien de quelqu’un qui arrive à financer une entreprise ou un État, voire plusieurs.
Nous avons eu deux banquiers comme présidents de la République : Pompidou et Macron. Le … Lire la suite…
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Ruffin doit-il se présenter à la présidentielle ?, par Elimina Kirsch
Tout d’abord je me questionne sur la légitimité de ma réponse. Je ne suis que sympathisante, électrice de gauche sans appartenance partisane définie dans le long terme, et je préfère militer à travers le monde associatif…
Ma réponse à cette question est intrinsèquement liée au contexte le plus récent. Elle aurait sans doute été différente sous un autre contexte.
À mes yeux, deux événements ont fortement marqué l’actualité et j’ai beaucoup de mal à m’en remettre : la tribune des militaires appelant ouvertement à l’insurrection, publiée dans Valeurs Actuelles ; et la participation des principaux responsables de gauche – à … Lire la suite…
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Sénat : « L’argent, la dette et la Gauche : Faut-il avoir peur de la dette publique ? », le jeudi 10 juin sous le patronage de Thomas Piketty
Groupe Socialiste, Écologiste et Républicain du Sénat
Monsieur Patrice JOLY, sénateur de la Nièvre, membre de la commission des Finances et Monsieur Patrick KANNER, sénateur du Nord, président du groupe organisent un colloque sur la dette publique : « L’argent, la dette et la Gauche : Faut-il avoir peur de la dette publique ? » en date du Jeudi 10 juin sous le patronage de Monsieur Thomas Piketty.
À 9h : L’argent, la dette et la Gauche par Paul Jorion
De 9h30 à 13h puis de 14h30 à 16h15 : 3 tables rondes thématiques (Dette publique : changer de paradigme ; Dette publique contre dette … Lire la suite…
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Dossier Papiers : Quelle est la priorité des priorités pour la gauche ? 63 personnalités répondent