-
MAXOE, La BD du jour : La survie de l’espèce de Jorion & Maklès
La BD du jour : La survie de l’espèce de Jorion & Maklès, par Seb
Notre époque a cela de terrible que le pouvoir de certains, minoritaires en nombre, peut influer sur le destin des autres, la grande majorité d’entre nous. Les notions de capital dans toutes ses déclinaisons (fixe ou circulant, technique, financier et humain), de la valeur-ajoutée, de la productivité, de la plus-value… sont connues, au moins de nom, par la plupart d’entre nous pour les avoir approchées durant nos études ou pour les entendre manipulées par maints experts en économie qui fleurissent à qui mieux-mieux sur … Lire la suite…
-
GÉNÉRATIONBD, La survie de l’espèce
Sur GénérationBD : La survie de l’espèce (*), par Gladys
[…] Le ton employé est ironique voire cynique et les métaphores sont nombreuses. Le récit est agrémenté par moment de souvenirs personnels qui apportent une note individuelle, bienvenue surtout quand il est question de globalisation et d’uniformité. […]
On se demande quel est l’objectif recherché avec la publication en bande dessinée d’un tel ouvrage. Il est certes suffisamment didactique pour une vulgarisation du sujet mais peut être pas suffisamment attractif pour une lecture distrayante. Album à conseiller pour ceux qui s’interrogent sur les rouages économiques qui gouvernent le monde.
Le … Lire la suite…
-
LECTURES, La survie de l’espèce, par François Thoreau
Sur le site Lectures
« Raconter la crise financière sous forme de bande dessinée, voilà l’initiative originale menée par l’anthropologue Paul Jorion et le dessinateur Grégory Maklès. Le sous-titre de l’ouvrage résume bien son ton d’ensemble : « un essai dessiné incisif, humoristique et pas complètement désespéré ».
Il s’agit d’un essai, tout d’abord. C’est-à-dire que, au fil des pages, la bande dessinée retrace une histoire du capitalisme et de la spéculation financière, dont elle propose une interprétation radicalement critique. Tout commence par un rapport de force initial, l’extorsion par le plus fort de la capacité de travail du plus … Lire la suite…
-
LA SURVIE DE L’ESPÈCE – LE FEUILLETON (XIV)
Chapitre XIV – Judith : suite et fin. Si vous avez raté le début de l’histoire de Judith, c’est ici : première partie et deuxième partie.
Il y a eu ainsi en Grande-Bretagne, Yosser Hughes, le chômeur devenu fou, symbole légendaire de la brutalité de notre système économico-politique, dans la pièce télévisée « Boys from the Blackstuff » d’Alan Bleasdale. C’est l’acteur Bernard Hill qui incarnait Yosser (il a fait plus tard aussi un très beau capitaine du Titanic, choisissant de mourir à sa barre).
Ce serait bien si Judith devenait légendaire, cela me ferait très plaisir.… Lire la suite…
-
LA TOURNÉE DES POPOTES, par Grégory Maklès
Alerté par le billet de Paul signalant un nouveau compte-rendu dans Critiques Libres, je refais une passe et « surprise, ça tombe encore » :
Passage radio sur le Mouv, une station qui a une audience assez solide. Pas mal de petites erreurs, mais ne boudons pas notre plaisir : « J’ai sincèrement adoré », nous dit-il.
Enfin quelqu’un qui reconnait François Ruffin dans mon dessin !
Une sélection. Pour la petite histoire, j’étais avec Arthur de Pins en graphisme puis en animation au Arts Déco.Cliquez sur Lire, en dernière page.
À nouveau en stock … Lire la suite…
-
LA SURVIE DE L’ESPÈCE : Pédagogique, désespéré et gai
Sur Critiques Libres : Pédagogique, désespéré et gai
Pour Noël, Paul Jorion a pensé à tous ceux que la lecture du Capitalisme à l’agonie pourraient rebuter mais qui voudraient quand même se coucher un peu moins bêtes ce soir et comprendre comment on a pu en arriver là.
Là, c’est-à-dire un moment économique où les plus riches ne savent absolument plus quoi faire de leur argent (sinon le placer pour qu’il rapporte encooore plus) alors que les pauvres redeviennent miséreux et que la classe moyenne s’appauvrit.
Pour comprendre comment nous en sommes arrivés là, donc, Jorion s’associe à un dessinateur … Lire la suite…
-
REGARDS , « La survie de l’espèce »
Un bref entretien paru dans le numéro de décembre de la revue Regards
L’HUMOUR POUR LE DIRE
L’anthropologue Paul Jorion a du flair. En 2007, il est un des rares observateurs à anticiper la crise des subprimes. Pour connaître son diagnostic, deux méthodes : lire ses livres sur le capitalisme, ou se plonger dans sa dernière BD, « La survie de l’espèce ».
L’espèce humaine est-elle soluble dans le capitalisme ?
Paul Jorion. Non, bien sûr, sinon on n’aurait pas fait cette BD. Mais il faut réagir vite. Avec Grégory Maklès, on voulait s’adresser à ceux qui pensent que … Lire la suite…
-
LA SURVIE DE L’ESPÈCE – LE FEUILLETON (XIII)
Chapitre XIII : Judith (2e partie) ; la semaine prochaine : suite et fin.
Il y a eu ainsi en Grande-Bretagne, Yosser Hughes, le chômeur devenu fou, symbole légendaire de la brutalité de notre système économico-politique, dans la pièce télévisée « Boys from the Blackstuff » d’Alan Bleasdale. C’est l’acteur Bernard Hill qui incarnait Yosser (il a fait plus tard aussi un très beau capitaine du Titanic, choisissant de mourir à sa barre).
Ce serait bien si Judith devenait légendaire, cela me ferait très plaisir.
Il en a été question ici pour la première fois en août … Lire la suite…
-
LE GRAND COMBAT !
Eh oui, je fais aujourd’hui carrière de dénoncer la spéculation, de réclamer sa prohibition. Mais la bête bouge encore : elle vient même me narguer de tout près !
Aussi je m’adresse à la « science » économique, sa vieille complice, qui nie même qu’elle existe, qui l’appelle « prise de position » quand elle ne peut l’ignorer plus longtemps : « Vas-y : dis si tu l’oses, que le ‘prix objectif’, celui que le marché détermine, de La survie de l’espèce, est de 999 euros ! ».
P.S. : La survie de l’espèce, par Paul Jorion et … Lire la suite…
-
LA SURVIE DE L’ESPÈCE – LE FEUILLETON (XII)
Chapitre XII : Le travail disparaît (Première étape)
Il en a été question ici pour la première fois en août 2010. La survie de l’espèce par Jorion et Maklès a paru le 2 novembre sous la double enseigne Futuropolis et Arte.
Vous avez peut-être noté que vous pouvez en ce moment acheter notre livre sur Amazon.fr pour la modique somme de 45 €. Si vous êtes un tenant de la
« science » économique vous n’êtes pas sans savoir que la spéculation n’existe pas et qu’aucun prix n’est donc « spéculatif » mais une appréciation objective de la valeur … Lire la suite… -
LES CHRONIQUES DE L’IMAGINAIRE, « La survie de l’espèce »
Les chroniques de l’imaginaire
[…] Le dessin et les couleurs sont bien faits (merci Stevostin). En amenant les « héros » de notre enfance comme le bonhomme Monopoly, un général et des legos, on s’identifie à ce récit. Cela donne un côté enfantin à cette histoire pour en tirer encore plus de force. C’est bourré de références et de clins d’oeil à d’autres œuvres majeures de la « sous culture ». On croise le tueur de Vendredi 13, le monolithe de 2001 : l’Odyssée de l’espace, le Terminator, et plein d’autres encore que je … Lire la suite…
-
LA SURVIE DE L’ESPÈCE – LE FEUILLETON (XI)
Chapitre XI : où Friedrich von Hayek rappelle un principe fondateur de la « science » économique.
Il en a été question ici pour la première fois en août 2010. La survie de l’espèce a paru le 2 novembre sous la double enseigne Futuropolis et Arte.
Il s’avère que vous êtes beaucoup plus nombreux que prévu à vouloir acheter le livre tout de suite, si bien qu’au bout de deux semaines de vente, il y a eu rupture de stock. Futuropolis a immédiatement relancé la machine, La Survie de l’espèce devrait être de retour dans les librairies pour … Lire la suite…
-
BDGEST.com, La survie de l’espèce
« Un pour cent de l’humanité détient quarante pour cent des richesses du globe. Par quel tour de passe-passe prodigieux, les quatre-vingt-dix-neuf restant acceptent-ils de laisser la majeure part du fruit de leur travail à cette minorité ? À cette question vieille comme le monde viennent s’ajouter de plus angoissantes et plus pressantes interrogations. Et si cette folle fuite en avant d’un système financier autiste, aveugle et sourd aux préoccupations sociales, si cette exploitation frénétique des ressources sans contrôle ni souci du lendemain, si cette déshumanisation croissante de l’activité économique allaient jusqu’à mettre en péril La survie de l’espèce ?… Lire la suite…
-
種ã®å˜ç¶š
ベルギー人ã®ãƒãƒ¼ãƒ«ãƒ»ã‚¸ãƒ§ãƒªãƒ§ãƒ³ã§ã™ã€‚人類å¦è€…ã§ã‚‚ã‚りã€äººå·¥çŸ¥èƒ½é–¢é€£ã®åˆ†é‡Žã§æ´»èºã—ãŸæ•°å¦è€…ã§ã‚‚ã‚りã¾ã™ã€‚1998年ã‹ã‚‰ï¼’ï¼ï¼ï¼—å¹´ã«ã‹ã‘ã¦ã€ã‚¢ãƒ¡ãƒªã‚«ã®é‡‘èžæ¥ç•Œã§åƒã„ã¦ã„ã¾ã—ãŸã€‚ ï¼’ï¼ï¼ï¼“å¹´ã‹ã‚‰å½¼ã®æœ¬ã¯ãŸã„ã¦ã„経済ã«ã¤ã„ã¦ã§ã™ã€‚ãŸã¨ãˆã°ã€ï¼’ï¼ï¼ï¼”å¹´ã«æ›¸ãå§‹ã‚ãŸã€ŒVers la crise du capitalisme américain?〠ã«ã¯ï¼’ï¼ï¼ï¼—å¹´ã®ã‚µãƒ–プライムãƒãƒ¼ãƒ³ã®å±æ©Ÿã‚’見越ã—ã¦ã€ãã®å±æ©Ÿã¯ã©ã†ã„ã†ãµã†ã«èµ·ã‚‹ã®ã‹ã‚’説明ã—ã¾ã—ãŸã€‚
Si pour vous, tout cela (à part les dates), c’est du japonais, rendez-vous ici : ce compte-rendu de La survie de l’espèce se trouve ici en juxta.
-
BD@BD.COM, « LA SURVIE DE L’ESPÈCE »
Manifeste ? Acte politique ? Pamphlet ? Satire ? La survie de l’espèce est fondamentalement un acte politique, au sens qu’il participe à la vie de la cité. En gros, vous n’avez rien compris aux fondamentaux de la crise actuelle ? Cette analyse de 120 pages vous éclairera l’esprit. Attachez bien votre ceinture, ça décoiffe.
Bluffant, époustouflant, cynique et réaliste, affligeant de perspicacité. La survie de l’espèce est malheureusement une analyse subtile, intelligente et didactique de notre civilisation et du capitalisme tel qu’il est pratiqué de nos jours.
A la vue de la couverture de La … Lire la suite…