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Tire-t-on les leçons des crises ? le 29 février 2020 – Retranscription
Retranscription de Tire-t-on les leçons des crises ? le 29 février 2020. Ouvert aux commentaires. Bonjour, nous sommes le samedi…
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« De l’anthropologie à la guerre civile numérique » – X. L’homme est un robot sentant
Suite et fin de l’entretien du 5 mai 2016 avec Franck Cormerais et Jacques-Athanase Gilbert de la revue Études digitales, en complément de l’entretien intitulé De l’anthropologie à la guerre civile numérique.
X. L’homme est un robot sentant… Lire la suite…
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De l’anthropologie à la guerre civile numérique (X), Intérêt égoïste contre bonne volonté, entretien réalisé le 21 mars 2016
Jacques Athanase GILBERT
Alors qu’Adam Smith conçoit l’homéostasie en référence au seul intérêt individuel, votre analyse la réintègre pleinement au champ social.… Lire la suite…
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L’avenir dans un rétroviseur : Une lecture de l’Économie du bien commun de Jean Tirole, par Jean-Michel Servet
Billet invité.
Sans nul doute l’Économie du bien commun, ouvrage de Jean Tirole paru au printemps 2016 [1], a été au programme des lectures de vacances de nombreux économistes francophones et d’autres spécialistes des science sociales ou citoyens soucieux de s’informer des questions économiques. Pour ceux-ci la notoriété de cet auteur récipiendaire en 2014 du prix dit « Nobel d’économie » a pu être un attrait. … Lire la suite…
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Les classes moyennes, une supercherie politique, par André Fontaine
Billet invité.
Les « classes moyennes » sont actuellement la tarte à la crème des journalistes, des politiques et des sociologues. Les derniers, plus conséquents, s’efforcent d’en donner des définitions dont ils reconnaissent eux-mêmes l’équivoque. On se demande donc à quel objectif peut bien correspondre l’engouement présent.… Lire la suite…
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Laudato si’ et la décroissance, La Nef, N° 273, septembre 2015
J’ai accepté de commenter le thème « Laudato si’ et la décroissance » dans le numéro de septembre de la revue catholique traditionaliste La Nef. En voici le texte.
Il est dit au paragraphe 193 de Laudato si’ que « Nous savons que le comportement de ceux qui consomment et détruisent toujours davantage n’est pas soutenable, tandis que d’autres ne peuvent pas vivre conformément à leur dignité humaine. C’est pourquoi l’heure est venue d’accepter une certaine décroissance dans quelques parties du monde, mettant à disposition des ressources pour une saine croissance en d’autres parties » (p. 147). La décroissance … Lire la suite…
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Trends – Tendances, La main invisible d’Adam Smith n’assurera pas la survie de l’espèce, jeudi 7 mai 2015
Selon Adam Smith, auteur illustre de « La richesse des nations » (1776), l’intérêt général n’est pas assuré parce que le boulanger ou le boucher y travaillent, mais parce que chacun d’eux poursuit son intérêt égoïste. C’est là le principe de la « main invisible » à laquelle le philosophe écossais a attaché son nom.… Lire la suite…
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Keynes : La fin du laisser-faire (IV) La « main invisible » d’Adam Smith
Keynes : La fin du laisser-faire
(I) Comment les girafes nous font mieux comprendre l’esprit du capitalisme
(II) La rationalité économique et l’éthique sont inconciliables
(III) La doctrine du laisser-faire résulte d’un compromis entre courants de la pensée politique
Un principe aussi simple pour le rapport entre les hommes qu’« Ôte-toi de mon soleil », auquel chacun s’identifie aisément, ou en tout cas, comme le dit Keynes, les agriculteurs, les chefs d’entreprise et les marchands, pourrait être érigé sans peine en un système politique ayant la capacité de satisfaire tout le monde. Quelles seraient les conditions à remplir :
… Lire la suite…Supposons
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Penser l’économie autrement, Paul Jorion et Bruno Colmant, à paraître en septembre
(à paraître en septembre)
Paul Jorion : Dans La richesse des nations, Adam Smith souligne que l’argent permet de commander de deux manières. Il permet d’abord de commander une marchandise, il permet ensuite de commander au sens de donner des ordres, c’est-à-dire de demander à un individu de mettre son temps de travail au service de celui qui lui donnera de l’argent en contrepartie de son temps. La seule ressource qui nous soit véritablement rare, car nous ignorons pendant combien de temps nous en disposerons, c’est le temps. L’argent nous permet de subordonner le temps d’autrui … Lire la suite…
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VUB, Stewardship of Finance, 3ème leçon, La « main invisible » d’Adam Smith : sa présence et son absence, le 14 octobre 2013
La « main invisible » d’Adam Smith : sa présence et son absence.
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EN 1919, JOHN MAYNARD KEYNES A TRENTE-SIX ANS, ET IL N’A ENCORE RIEN À REPROCHER À LA THÉORIE ÉCONOMIQUE
Quand en juin 1919 John Maynard Keynes démissionne avec pertes et fracas du ministère britannique des finances, claquant du même coup la porte de la Conférence de paix de Paris à laquelle il participait, il a trente-six ans. Le livre qu’il écrit dans le même accès de rage : The Economic Consequences of the Peace, sort en librairie le 12 décembre. Comme je l’ai dit, plus de 100.000 exemplaires s’en vendront.
Keynes ne renouera avec le service public que vingt-et-un ans plus tard : en 1940 et en la même qualité durant la Seconde guerre mondiale que celle … Lire la suite…
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VUB, Chaire « Stewardship of Finance », troisième leçon, le 18 octobre 2012
Troisième leçon, le 18 octobre : « Regulation and self-regulation. Adam Smith’s ‘invisible hand’ »
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JORION SE TROMPE LÀ OÙ RICARDO VOYAIT JUSTE, par Jean-Marie Mottoul
Billet invité. Une critique ricardienne de mon livre Le prix (Le Croquant 2010).
L’économie peut s’attacher à comprendre les comportements des hommes tant à titre individuel qu’en groupe lorsqu’ils sont confrontés à la nécessité de produire pour satisfaire leurs besoins ou de se partager des richesses aux quantités limitées. Convenons que ce souci de compréhension s’apparente à celui qui anime la psychologie ou la sociologie ici en l’occurrence dans le champ de l’activité économique de production et de consommation. On pourrait parler de psychologie ou de sociologie économique.
Cette compréhension peut être utile pour guider le politique en tant que … Lire la suite…