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L’argent, la dette et la Gauche : Faut-il avoir peur de la dette publique ?
L’intervention que je ferai demain au Colloque organisé par le groupe socialiste, écologiste et républicain du Sénat : L’argent, la dette et la Gauche. Faut-il avoir peur de la dette publique ? Pour les personnes qui souhaitent suivre le colloque, voici le lien vers l’évènement facebook sur la page du groupe socialiste et un « live » sera diffusé à partir de 9h00.
Pour fonctionner, pour rendre les services attendus de lui, comme l’éducation, la police et la justice, la défense des frontières, pour pallier partiellement les inégalités dues au hasard, pour venir en aide aux plus démunis, l’État a besoin d’un budget, d’un Trésor.… Lire la suite…
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Ce que Luc Dardenne pense de la révolution
La revue littéraire Quinzaines va publier un extrait de l’entretien que j’ai eu avec Luc Dardenne le 14 mai sur PJ…
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Le Peuple et l’État
Continuant à préparer mes leçons d’Anthropologie interculturelle, je tombe sur cette intéressante réflexion sur les rapports entre le Peuple et…
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L’imprévisibilité de la réponse révolutionnaire, par Vincent Burnand-Galpin
Ouvert aux commentaires. Certains apportent à la crise climatique une réponse révolutionnaire comme Roger Hallam, fondateur d’Extinction Rebellion. Il milite…
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L’Étatisme, par Vincent Burnand-Galpin
« L’État est un outil, très puissant, qui peut se mettre au service du meilleur comme du pire, selon la personnalité…
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LA VIOLENCE CONSTITUTIVE DES SOCIÉTÉS HUMAINES ? par Pascal
Billet invité.
Je suis en train de découvrir les biens faits de la CNV (communication non violente) dans le cadre du groupe de Colibris auquel je participe et où nous utilisons des cercles de paroles. Et je mesure à quel point, là aussi, une généralisation de la CNV serait bien un changement de paradigme.… Lire la suite…
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Donald Trump et Marine Le Pen : Le Peuple abandonné réclame au fond du désespoir le retour de l’État !
Un article sur le site américain The Week : « How an obscure adviser to Pat Buchanan predicted the wild Trump campaign in 1996 », par Michael Brendan Dougherty, analyse la course triomphale de Donald Trump dans la primaire républicaine des élections présidentielles du 8 novembre.… Lire la suite…
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Transition effective, par Cédric Chevalier
Billet invité.
Depuis 3 mois dans l’administration, je découvre un nouveau pan instructif de la réalité publique. Après l’Académie, la Politique, maintenant, l’Administration. Du coup je concentre ma réflexion sur la transition vers un développement durable fort, c’est-à-dire qui réponde à la contrainte biophysique de la Planète.
1) Est-ce possible de gouverner cette transition ? Non, on peut seulement influencer la vitesse et le sens du changement (conclusions du courant de recherche du « transition management »). Le processus d’Alliance Emploi-Environnement en Wallonie et à Bruxelles est un bon exemple de comment il faut procéder.
2) Comment optimiser l’action pour accélérer et orienter de la meilleure manière le changement ?… Lire la suite…
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Keynes : La fin du laisser-faire (V) Pourquoi le démenti par les faits du laisser-faire est-il ignoré ?
(I) Comment les girafes nous font mieux comprendre l’esprit du capitalisme
(II) La rationalité économique et l’éthique sont inconciliables
(III) La doctrine du laisser-faire résulte d’un compromis entre courants de la pensée politique
(IV) La « main invisible » d’Adam SmithKeynes termine son examen de la doctrine du laisser-faire en 1926 par une réflexion sur la résistance qu’il constate à sa remise en question par lui, en dépit de la force des faits qui semblent infirmer le principe.
… Lire la suite…Suggérer à la City de Londres une action de type social dans une perspective de bien public est l’équivalent de discuter de L’origine des espèces avec un évêque il y a soixante ans [P.J.
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Le Monde : La fin du laisser-faire, lundi 30 juin – mardi 1er juillet 2014
Dans « La fin du laisser-faire », essai publié en 1926, John Maynard Keynes caractérise de manière caustique l’idéologie de ses collègues économistes comme une version délirante du darwinisme. Pour « les darwiniens, écrit-il, c’est la libre concurrence qui a bâti l’homme. L’œil humain a cessé d’être la manifestation d’un dessein ayant miraculeusement conçu toute chose pour le mieux ; il s’agit de la réussite suprême du hasard opérant dans un contexte de libre concurrence et de laisser-faire ». Or, souligne Keynes : « l’expérience ne révèle pas que les individus, quand ils se constituent en unités sociales, soient toujours moins clairvoyants que quand ils agissent à titre séparé ».… Lire la suite…
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Le temps qu’il fait le 27 juin 2014
Sur DailyMotion, c’est ici.
John Maynard Keynes : « La fin du laisser-faire » (1926)
Michael Lewis : The Big Short (2010), Flash Boys (2014)
La capture des régulateurs
Blog de PJ : BNP Paribas, banque d’un monde qui ment (codicille), par Zébu, le 23 juin 2014
Blog de PJ : Le FN : ami du peuple et ennemi de la finance ?, par PJ, le 25 juin 2014… Lire la suite…
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La démocratie selon Friedrich (von) Hayek, économiste autrichien, par Bertrand Rouziès-Leonardi
Billet invité.
Autant le dire tout de go, Friedrich Hayek (1889-1992), prix Nobel d’économie (1974) aurait dû, si Fortune avait été plus clémente avec lui, se voir attribuer en sus le prix Nobel de la Paix, car aux troupeaux d’hommes qui se rebiffent contre la tyrannie libérale, il n’a cessé de dire : « La paix ! Les bouviers savent ce qu’ils font. » Notre homme, disciple avoué d’Edmund Burke, maître à penser du parti Whig (conservateur) anglais, a beaucoup réfléchi à la démocratie, ce régime tant décrié, bouche-trou des interrègnes autoritaires. Il y a tellement réfléchi qu’il a fini par accoucher d’une définition toute personnelle de la chose, définition dont les rendements ont un peu baissé, cependant, depuis que bourgeonnent les printemps arabes : la meilleure démocratie, selon lui, est celle qui fait l’économie du demos.… Lire la suite…
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RÉPONSE À PIERRE SARTON DU JONCHAY SUR LE DROIT DE PROPRIÉTÉ, par Jean-Luce Morlie
Billet invité
Pierre, je ne sais pas encore traduire votre entreprise dans « ma langue », toutefois il me semble que nous pouvons dialoguer sur les inquiétudes situées aux jointures des articulations entre de nos deux modes de représentation.
Vous écrivez
« Le droit de propriété est ce qui permet à l’individu d’exister dans la société, donc à la société d’être une société et pas une masse librement manipulée par des théocrates. »
Je vous suis entièrement lorsque vous décidez de poser
… Lire la suite…« que le bénéfice collectif d’une propriété est l’utilisation par le propriétaire de la chose conforme au bien commun.
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La finance n’a plus de raison de ne pas asservir la politique, par Pierre Sarton du Jonchay
Billet invité.
La fiscalité de l’assurance vie va peut-être changer pour réduire des déficits publics. Il est question de ne plus attendre l’échéance des contrats pour appliquer la fiscalité. L’État pourrait toucher au fil de l’eau sa quote-part des revenus issus des placements d’assurance vie. L’intérêt financier pour l’État d’une telle réforme est d’anticiper des recettes fiscales qui réduisent au présent le déficit budgétaire. A l’inverse, le bénéficiaire potentiel du contrat d’épargne assurantielle règle l’impôt avant de se connaître avec certitude. Le principe de l’assurance vie est en effet d’épargner non pour soi-même mais pour un autre. Le bénéficiaire touche l’épargne si avant l’échéance du contrat l’épargnant décède.… Lire la suite…