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Anthropocène ou Avionocène ?
L’être humain a-t-il détruit son habitat du fait de son industrie ?
Ou simplement parce que les riches adorent l’avion ?
Riches et pauvres dépensent la même énergie à se chauffer, mais pas à se promener
Deux figures de l’article Richest people in UK ‘use more energy flying’ than poorest do overall (Au Royaume-Uni, les plus riches dépensent plus d’énergie dans des vols d’avion que les plus pauvres dans l’ensemble), le 14 décembre 2022
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Colloque International AFIRSE – LA RECHERCHE EN EDUCATION DANS LE CONTEXTE DE L’ANTHROPOCÈNE, le 12 novembre 2021
12-13 nov. 2021 Aubervilliers (France)
Vendredi 12 novembre
Matin
8h30 Accueil
9h30 Conférence d’ouverture : Paul Jorion, anthropologue, spécialiste de la finance, psychanalyste
11h00-12h30 ateliers -
Paysage australien
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Mme Ségolène Royal, qui faut-il « réprimer très rapidement », Extinction Rebellion ou le conseil d’administration d’Exxon ?
Ouvert aux commentaires. « L’écologie c’est la paix. C’est des règles, de la discipline », dites-vous, Mme Royal. Allez-vous demander des comptes…
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La fusion nucléaire, dernière planche de salut des Cornucopiens ?, par Cédric Chevalier
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Qui sont les Cornucopiens ?
Le terme « Cornucopien » provient du latin « cornu copiae », qui signifie « corne d’abondance ». Cette corne, bien connue des amateurs d’arts, de tableaux et de plafonds sculptés, est le symbole antique de l’abondance et de la prospérité. De la corne d’abondance mythique jaillissait tout ce qui était nécessaire à la prospérité humaine, sans limite. Bien que ce terme soit utilisé péjorativement par leurs adversaires, on peut appeler aujourd’hui « Cornucopiens » toutes les personnes qui croient que nous trouverons toujours les moyens de répondre aux besoins humains, quels qu’ils soient.… Lire la suite…
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Que faire face à l’inconscience et au nihilisme écologiques ? Se révolter ! par Cédric Chevalier
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Quelques fonctionnaires et des personnes engagées dans l’environnement et la politique, voudraient que se développe en Belgique une véritable politique de résilience territoriale locale. La résilience, cela signifie la capacité à rebondir après un choc, éventuellement extrême, et à reprendre une dynamique fonctionnelle, éventuellement différente. Ainsi, une personne qui perd ses deux jambes dans un grave accident peut néanmoins se remettre du drame, apprendre à fonctionner sans jambes et continuer à vivre, y compris en étant heureuse, à condition d’être dotée de suffisamment de résilience ou de renforcer suffisamment sa résilience spirituelle, psychologique, sociale, économique et physique. Elle ne sera plus jamais la même personne, mais elle « fonctionnera » à nouveau.… Lire la suite…
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Place aux jeunes !
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Julian Assange, Secret défense, Laurent Alexandre, Extinction rebellion, Greta Thunberg, Aubrey de Grey
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Université catholique de Lille, « Déclarer l’état d’urgence pour le genre humain ? » 5 de 6 : capitalisme, économie de marché, libéralisme, le 5 mars 2019
Retranscription de Université Catholique de Lille, Déclarer l’état d’urgence pour le genre humain ? Le capitalisme, l’économie de marché, le libéralisme, face à l’état d’urgence pour le genre humain, le 5 mars 2019. Merci à Eric Muller !
Bonsoir. Si vous avez assisté à la séance du mois de février, vous savez qu’il a été question des risques existentiels, des risques qui menacent l’espèce humaine, qu’il s’agisse de risques dus à la nature telle qu’elle est autour de nous, les météorites, les volcans, les épidémies, mais aussi les risques qui sont liés à la présence même de l’homme, de l’espèce humaine, du genre humain, à la surface de la Terre.… Lire la suite…
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Réorienter notre énergie libidinale pour nous sauver, par Cédric Chevalier
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En observant le paysage lors d’un voyage en train en Europe, une déduction s’impose : les humains modifient leur environnement selon leur désir, ils marquent visiblement leur territoire, le contrôlent. Ils sont les géniteurs et les créateurs objectifs de leur environnement. Comme cette marque est de nature géologique, on parle désormais d’Anthropocène. N’est-il pas évident que les humains éprouvent une grande joie à modeler le monde ? Qu’ils aiment à devenir des dieux, à se soumettre eux-mêmes, leurs semblables, les autres vivants et l’espace inanimé autour d’eux à leur toute-puissance ? Ils apprécient visiblement observer les effets de leur force, en construction et en destruction, depuis leur plus jeune âge. … Lire la suite…
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« Externalités négatives » ? Non : brutalisation ! par Vincent Burnand-Galpin
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« En sciences économiques, on n’a rien inventé depuis Marx » lancent les journalistes du Monde Diplomatique et coordinateurs du Manuel d’économie critique, Hélène Richard et Renaud Lambert lors d’une conférence à l’ENSAE ParisTech le 6 décembre 2018. Leur idée ? Les concepts de la science économique actuelle sont « pauvres », autrement dit, ce sont des rustines que l’on appose par-ci par-là pour que la théorie néoclassique reste valide : un remake du géocentrisme de Ptolémée faisant face à la théorie de Copernic ? La science économique actuelle manque d’un vrai travail sur les concepts, un concept devant être une notion qui tend, par sa simple définition, à coller au mieux à une réalité.… Lire la suite…