Retranscription de Tire-t-on les leçons des crises ? le 29 février 2020. Ouvert aux commentaires. Bonjour, nous sommes le samedi…
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Pesticides : le gouvernement opte pour des distances très réduites entre zones d’épandage et habitations – 25 cm, voire 3 cm, aurait davantage été respectueux du droit des agriculteurs de faire passer leurs intérêts avant notre santé ! – https://t.co/8giotOzd2g via @lemondefr
– Paul Jorion (@PaulJorion) December 20, 2019
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En réponse à votre vidéo, j’aurais une « demande » à vous soumettre. Permettez moi d’ironiser sur ce que vos propos ont fait raisonner en moi, dans votre explication très pertinent de justifier d’une part d’un certain prix, et d’autre du plein « consentement » du sujet, l’un devant faire rendre « raison » à l’autre, je suppose, en vous soumettant à la lecture, un texte. Il ne demande pas non plus de psychanalyse de son auteur (quoi que vous suggestions, s’ils s’en trouvent, ne reviendrait-il pas au même, indirectement…? Auquel cas je comprendrais avec inquiétude, que vous me proposiez un rendez vous.).
Continuer la lecture de Le poids d’une photo. Le choc des mots, par Pierre Juillot
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Cinq semaines après la catastrophe de Lubrizol, M Macron a fait un premier bilan tout à l’éloge de l’action de l’État et de son gouvernement. « Les services de l’État ont agi avec compétence, avec beaucoup de sang froid, beaucoup de professionnalisme » a-t-il affirmé, précisant que « toutes les enquêtes et mesures ont été conduites », et terminant sur « le travail des pompiers ‘qui n’ont pas connu la peur, qui ont permis de contenir ce qui s’est passé à Lubrizol et d’éviter des conséquences qui auraient pu être bien plus dommageables’ ».
Des déclarations présidentielles qui ajoutées à celles du PDG de Lubrizol nous assurant que « 90% des produits brûlés ont généré du carbone, et que cela est sans risque », achèveront de nous convaincre qu’il ne s’est rien passé de bien grave à Rouen. Alors, dormons sur nos deux oreilles ?
Hmm, peut-être une ou deux vérifications avant de laisser les marchands de sable officier.
Continuer la lecture de Il ne s’est rien passé à Rouen, par Roberto Boulant
Retranscription de « Fin du monde ! Fin du mois ! », le 19 mai 2019. Ouvert aux commentaires.
Bonjour, nous sommes le dimanche 19 mai 2019 et le thème aujourd’hui, c’est « Fin du monde ! Fin du mois ! ». Vous avez entendu ce slogan qui a été inventé par quelqu’un. C’est une bonne idée. Ça a des allitérations. Ça essaye de suggérer l’idée d’une convergence des luttes, que les gens qui se battent contre la destruction de l’environnement, le réchauffement climatique, etc. et les gens qui vont dans la rue non sans raison aussi, parce que la situation leur est impossible dans le contexte actuel, que ces gens pourraient défiler ensemble et représenteraient à ce moment-là une masse critique de gens qui veulent autre chose.
Continuer la lecture de « Fin du monde ! Fin du mois ! », le 19 mai 2019 – RetranscriptionOuvert aux commentaires.
C’est après 4 années de procédure, le jugement rendu hier par la cour administrative d’appel de Paris.
Pourtant la privatisation s’était déroulée conformément aux us et coutumes de l’époque. Il avait été fait appel à un oligarque, pardon, à un investisseur chinois, dont le consortium s’enchâssait dans une cascade de sociétés et de fonds d’investissement où une poupée russe n’aurait pas retrouvé ses petits. La holding de tête comme il se doit, était réglementairement établie dans un paradis fiscal, celui des Iles prétendument Vierges. Et rajoutons que pour faire bonne mesure et emporter l’adhésion enthousiaste du ministre de l’Économie de l’époque, un certain Emmanuel Macron, le consortium s’appuyait alors sur le groupe canadien SNC-Lavalin. Groupe qui avait réussi l’exploit peu commun de se faire radier, avec toutes ses filiales, pour corruption par la banque mondiale.
Ouvert aux commentaires. 80% de ce qui est écrit là a bien été dit par moi durant l’entretien. Dans les 20% il y a par exemple le fait que Jean-Jacques Rousseau a écrit dans Les confessions : « Enfin je me rappelai le pis-aller d’une grande princesse à qui l’on disait que les paysans n’avaient pas de pain, et qui répondit : ‘Qu’ils mangent de la brioche' », et qu’étant mort en 1778 il ne parlait pas de Marie-Antoinette en 1789. Etc. Critiqué par vous sur tel ou tel point, je me ferai un plaisir de vous dire s’il s’agit des 80% ou des 20%.
En marge du grand débat national, « La Voix du Nord » publie une série d’entretiens avec des experts et des témoins de tous horizons afin de nous éclairer sur les crises que traverse le pays. Aujourd’hui, rencontre avec Paul Jorion, anthropologue et psychanalyste.
Propos Recueillis Par Yannick Boucher | 05/03/2019
Paul Jorion est professeur associé à l’Université catholique de Lille. Photo Philippe Pauchet – VDNPQR
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Bernard Stiegler dans un tout récent entretien avec Aude Lancelin (Éviter l’apocalypse) défend l’idée que face au nihilisme d’un capitalisme nous conduisant directement à l’extinction, il faut que l’humanité construise de toute urgence (et c’est le GIEC qui le dit) une vision alternative à même de nous redonner espoir. Il ne s’agit plus de résister, de tenter de limiter les ravages humains, sociaux et écologiques du Moloch mondialisé et financiarisé, mais de renverser la domination, c’est-à-dire de faire la révolution (bifurcation) qui nous permettra de survivre. Pour cela le philosophe défend l’idée que nous devons passer du système fermé du néolibéralisme – incapable par construction d’évoluer (TINA) – à un système dynamique ouvert qui bien qu’utilisant le calcul, admet que tout ne peut pas être calculé.
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Pages 18 et 19.
« Kuppo ! » dit le Shah, secouant la tête.
Khashdrar rougit, et traduisit mal à l’aise, d’un air de s’excuser. « Shah dit : ‘Communisme’. »
« Pas Kuppo ! » dit Halyard avec véhémence. « Le gouvernement n’est pas propriétaire des machines. Il taxe tout simplement la part des revenus de l’industrie qui allait autrefois au travail, et la redistribue. L’industrie appartient et est gérée par des personnes privées, et coordonnée – pour éviter le gaspillage qui découle de la concurrence – par un comité de dirigeants du secteur privé, pas par des politiques. En éliminant l’erreur humaine par la mécanisation, et la concurrence inutile par l’organisation, nous avons considérablement élevé le niveau de vie de l’individu moyen. »
Khashdrar interrompit sa traduction. Il fronçait les sourcils avec perplexité. « S’il-vous-plaît, cet individu moyen, il n’y a pas d’équivalent dans notre langue, je crains bien. »
« Vous savez », dit Halyard, « l’homme ordinaire c’est, eh bien, ‘tout le monde’ – comme ces travailleurs qu’on a vus sur le pont, le type dans la vieille bagnole qu’on a croisée. Le petit bonhomme, pas une lumière mais le coeur sur la main, sans chichis, ordinaire, une personne dans la vie de tous les jours. »
Khashdrar traduisit.
« Aha ! », dit le Shah, opinant du bonnet : « Takarou ! »
« Qu’est-ce qu’il a dit ? »
« Takarou », dit Khashdrar. « Esclave. »
« Pas Takarou », dit Halyard, s’adressant directement au Shah : « Ci-toy-en. »
« Ahhhhh », dit le Shah, « Ci-toy-en ». Il souriait tout heureux. « Takarou – Ci-toy-en. Ci-toy-en – Takarou. »
« Pas Takarou ! » dit Halyard.
Khashdrar haussa les épaules. « Dans le pays du Shah, il n’y a que l’Élite et les Takarou. »
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Le mauvais comportement des plus riches : ce que j’ai appris des gestionnaires de fortune
Les habitudes des plus riches sont l’écho des prétendues « pathologies » des pauvres. Mais alors que ceux qui vivent dans la pauvreté sont qualifiés de paresseux, les riches sont surnommés « bon vivants » (en français dans le texte).
© The Guardian, le 19 octobre 2018
Retranscription de Le temps qu’il fait le 29 décembre 2017. Merci à Catherine Cappuyns et Marianne Oppitz !
Bonjour, nous sommes le vendredi 29 décembre et c’est probablement la dernière fois que je vous fais une petite vidéo en 2017, la prochaine sera sans doute l’année prochaine mais, on ne sait jamais. On ne sait jamais ce que l’actualité peut être, en particulier durant la trêve des confiseurs !
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Billet invité.
2.500 milliards de dollars, tel est le montant des bénéfices des entreprises américaines qui échappent à l’impôt en ne les rapatriant pas, selon la Commission mixte du Congrès sur l’impôt. L’affaire ne date pas d’hier, mais Donald Trump a décidé d’y mettre bon ordre avec sa réforme de la fiscalité, en prenant un ensemble de dispositions qui n’étonneront pas.
Continuer la lecture de Des cadeaux pas pour tout le monde, par François Leclerc