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La critique marxiste n’est pas assez radicale, le 26 novembre 2019 – Retranscription
Retranscription de La critique marxiste n’est pas assez radicale, le 26 novembre 2019 Bonjour, le mardi 26 novembre 2019 et,…
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Vidéo – La critique marxiste n’est pas assez radicale !
Ouvert aux commentaires. La « science » économique n’est pas une science, et sa critique marxiste n’est pas assez radicale
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De l’anthropologie à la guerre civile numérique (X), Intérêt égoïste contre bonne volonté, entretien réalisé le 21 mars 2016
Jacques Athanase GILBERT
Alors qu’Adam Smith conçoit l’homéostasie en référence au seul intérêt individuel, votre analyse la réintègre pleinement au champ social.… Lire la suite…
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PROJET D’ARTICLE POUR « L’ENCYCLOPÉDIE AU XXIème SIÈCLE » – MONDIALISATION, par Michel Leis
Billet invité.
Mondialisation
La mondialisation est indissociable de l’histoire du capitalisme, elle a toujours été porteuse de promesses de surprofit. Dès l’époque romaine s’ouvre la route de la soie, synonyme d’énormes profits pour l’audacieux voyageur qui osait s’y lancer. Nés à la fin du XIème siècle, les premiers contrats de Societatis Maris ou de Colleganza créés dans le cadre d’un unique voyage couvrent les frais engagés par l’expédition entre des apporteurs de capitaux et ceux qui prennent le risque physique de l’expédition. Ils entérinent aussi une forme de partage des énormes bénéfices réalisés en cas de succès, qui va … Lire la suite…
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QUI EST KEYNES ? (III) EST-IL UN ANTICOMMUNISTE (PRIMAIRE) ?
Un peu plus de sept ans s’étaient écoulés depuis la Révolution d’octobre quand Keynes fut invité en Union soviétique au mois de septembre 1925 en tant que représentant officiel de l’université de Cambridge. Le tapis rouge fut déroulé devant lui durant les deux semaines de son séjour. Le mois précédent, il avait épousé celle qui était sa compagne depuis plusieurs années : la ballerine russe Lydia Lopokova, qui l’accompagna durant ce voyage. Il fut également reçu dans la famille de celle-ci et l’occasion lui fut ainsi donnée de voir la société soviétique sous différents éclairages : celui des dirigeants qui … Lire la suite…
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EN 1919, JOHN MAYNARD KEYNES A TRENTE-SIX ANS, ET IL N’A ENCORE RIEN À REPROCHER À LA THÉORIE ÉCONOMIQUE
Quand en juin 1919 John Maynard Keynes démissionne avec pertes et fracas du ministère britannique des finances, claquant du même coup la porte de la Conférence de paix de Paris à laquelle il participait, il a trente-six ans. Le livre qu’il écrit dans le même accès de rage : The Economic Consequences of the Peace, sort en librairie le 12 décembre. Comme je l’ai dit, plus de 100.000 exemplaires s’en vendront.
Keynes ne renouera avec le service public que vingt-et-un ans plus tard : en 1940 et en la même qualité durant la Seconde guerre mondiale que celle … Lire la suite…
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LE TONNEAU DES DANAÏDES (I), par Michel Leis
Billet invité.
L’image qui s’impose quand on prend un peu de recul sur les évènements actuels est celle du tonneau des Danaïdes. Dans l’enfer européen, les interventions publiques se limitent à vouloir remplir sans cesse une série de tonneaux percés, sans même mesurer l’absurdité de la tâche qu’ils accomplissent. Cette image du tonneau des Danaïdes nous renvoie à ces vieux problèmes de robinets et de baignoires qui fuient obstinément, l’un des grands classiques de l’école primaire. Dans la mécanique des fuites, le circuit BCE – Banques – États monopolise toute l’attention, tant le coût élevé de refinancement des États paraît … Lire la suite…
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JORION SE TROMPE LÀ OÙ RICARDO VOYAIT JUSTE, par Jean-Marie Mottoul
Billet invité. Une critique ricardienne de mon livre Le prix (Le Croquant 2010).
L’économie peut s’attacher à comprendre les comportements des hommes tant à titre individuel qu’en groupe lorsqu’ils sont confrontés à la nécessité de produire pour satisfaire leurs besoins ou de se partager des richesses aux quantités limitées. Convenons que ce souci de compréhension s’apparente à celui qui anime la psychologie ou la sociologie ici en l’occurrence dans le champ de l’activité économique de production et de consommation. On pourrait parler de psychologie ou de sociologie économique.
Cette compréhension peut être utile pour guider le politique en tant que … Lire la suite…
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LE VIF/L’EXPRESS, Le nombre des billets de banque, 15 – 21 mars 2012
La première de mes chroniques pour l’hebdomadaire belge. L’article, sous la forme où il a paru.
On considère à juste titre que le livre où débute une réflexion moderne sur l’économie, est l’« Enquête sur la richesse des nations », publiée en 1776 par le philosophe écossais Adam Smith, connu jusque-là pour sa « Théorie des sentiments moraux » parue dix-sept ans plus tôt.
Une véritable « science » économique n’existe donc que depuis un peu moins de deux siècles et demi. Comme l’a cruellement mis en évidence la crise qui a éclaté en 2007 et dont les épisodes … Lire la suite…
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QUESTIONS QUI RESTENT À RÉSOUDRE – PREMIER BILAN
Ce texte est un « article presslib’ » (*)
Le dimanche 4 mars, j’ai pris la route pour la Belgique, sachant que – vu mon emploi du temps très chargé – je n’aurais pratiquement pas le temps de consulter le blog avant mon retour chez moi le dimanche suivant. J’ai pris l’ébauche d’un chapitre de mon livre à venir : Les questions qui restent à résoudre, et je l’ai mis en ligne sous la forme d’un feuilleton qui couvrirait cinq jours.
À mon retour, j’ai regroupé tous vos commentaires sous la forme d’un seul fichier que j’ai entrepris de … Lire la suite…
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QUESTIONS À RÉSOUDRE (I) TOUS CEUX QUI SONT RÉMUNÉRÉS LE MÉRITENT-ILS VRAIMENT ?
Ce texte est un « article presslib’ » (*)
Il existe une question qu’il faut à tout prix résoudre et les penseurs du XIXe siècle lui ont consacré d’énormes efforts de réflexion. Cette question, c’est celle-ci : entre la rente qu’obtient le propriétaire terrien et le détenteur du minerai enfoui dans la terre, l’intérêt que collecte le détenteur du capital ou capitaliste, le profit qu’obtient l’industriel ou entrepreneur, et le salaire que se voit versé le travailleur, l’une de ces rémunérations est-elle injustifiée et du coup imméritée ?
Le seul accord auquel on soit parvenu est celui-ci : celui … Lire la suite…
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LE PRIX : QUELQUES VÉRITÉS DE BASE
J’ai repris dans mon livre « Le prix » (Le Croquant 2010), l’ensemble de mes réflexions consacrées à la formation des prix publiées durant la période 1985 – 2003. Dans le livre que je suis en train d’écrire, et dont le titre provisoire est : « Les questions qui restent à résoudre », je reprends de manière synthétique, un certain nombre de conclusions auxquelles je suis parvenu dans « Le prix ». Voici la première.
Quand un vendeur ou un acheteur se retrouve seul sur un marché, il a la capacité de fixer le prix d’un bien, marchandise ou service, … Lire la suite…
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LA « VALEUR » (II) LE CONCEPT DE « VALEUR » NE SERT QU’À UNE SEULE CHOSE : JUSTIFIER UNE « SCIENCE » ÉCONOMIQUE QUI NE SOIT PAS UNE « ÉCONOMIE POLITIQUE »
Ce texte est un « article presslib’ » (*)
David Ricardo (1772-1823), qui fut avec Adam Smith (1723-1790) le plus grand penseur de l’économie politique à quoi s’assimila la « science » économique à ses débuts, cherchait à fonder la valeur. Et ceci bien qu’il ait déjà indirectement démontré qu’il n’y en avait aucun besoin. En octobre et novembre 1815, alors qu’il s’apprête à rédiger l’ouvrage qui deviendra son fameux On the Principles of Political Economy and Taxation, et dont le sujet sera la répartition du surplus de la production entre la rente qui revient au propriétaire foncier, … Lire la suite…