1. La pandémie, le 16 septembre 2020
2. L’économie, le 30 septembre 2020
3. L’environnement, le 7 octobre 2020
1. La pandémie, le 16 septembre 2020
2. L’économie, le 30 septembre 2020
3. L’environnement, le 7 octobre 2020
4 sénarios collapsologiques. Pourquoi en anglais ? Parce que demain, en compagnie de Vincent Burnand-Galpin, nous nous adressons à la nouvelle promotion de l’ESSEC. J’improvise pour découvrir de quoi j’aurais envie de parler 😉 .
P.S. À l’appui de ce que je dis là : ceci.
Ouvert aux commentaires. TF : Selon vous l’Intelligence Artificielle peut-elle être un danger pour l’humanité ? PJ : Je pense…
Vous devez être connecté pour lire le contenu complet de l'article. Vous pouvez vous abonner ici
Ouvert aux commentaires.
Un début de l’année sur les chapeaux de roue !
Nos semblables qui se sont achetés des îles au milieu de l’Océan pacifique pour y vivre en autarcie avec leur famille et quelques-uns de leurs amis, ne survivront au reste d’entre nous qu’une cinquantaine d’années tout au plus. Cinquante ans, à condition qu’aucune des neuf nations à la tête d’un arsenal nucléaire ne perde son sang-froid durant l’effondrement généralisé qui se prépare et ne désigne comme responsable « évident » de la catastrophe en cours son « ennemi héréditaire ». Or, selon une étude publiée en 2014 *, il suffirait qu’explosent 100 bombes thermonucléaires (0,7 % de notre stock global) pour provoquer un « hiver nucléaire » débouchant sur une « famine nucléaire globale »
… je ne dis pas ça juste pour faire rigoler !
* Michael J. Mills Owen B. Toon Julia Leeâ€Taylor Alan Robock, « Multidecadal global cooling and unprecedented ozone loss following a regional nuclear conflict », le 7 février 2014
Ouvert aux commentaires.
Pour l’humanité, le temps presse
Steven Pinker, professeur à Harvard, affirme que nous n’avons jamais été aussi riches, nous n’avons jamais été en meilleure santé, jamais la violence dans nos sociétés n’a été aussi faible qu’aujourd’hui.
Tout ce qu’il dit là est absolument vrai.
Mais une fois nous être réjouis de ce constat réconfortant, notons que le fait que nous soyons plus riche qu’autrefois, en meilleure santé, que la violence soit réduite, est sans rapport avec le fait de savoir si nous maîtrisons ou non le risque d’une extinction de l’humanité, à moyenne ou à brève échéance.
Continuer la lecture de Trends-Tendances, Pour l’humanité, le temps presse, le 22 août 2019