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Université catholique de Lille, ETHICS, Cycle de 6 visioconférences : L’Après-Covid 19, 5. L’Europe et la France, le 21 octobre 2020
1. La pandémie, le 16 septembre 2020
2. L’économie, le 30 septembre 2020
3. L’environnement, le 7 octobre 2020
4. La géopolitique, le 14 octobre 2020… Lire la suite…
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IHEST, « Le rôle des politiques pour sauver le genre humain », le 22 septembre 2020
Institut des Hautes Études pour la Science et la Technologie, « Le rôle des politiques pour sauver le genre humain », le…
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Pour comprendre l’économie, Keynes demeure un excellent point de départ (I) The End of laissez-faire (1926)
Comme j’ai tenu à l’expliquer dans Penser tout haut l’économie avec Keynes (Odile Jacob, 2015), la tache aveugle du système économique de John Maynard Keynes (1883 – 1946) est le rapport de force dans l’économie et la finance. J’ai tenté dans ce livre de compléter en proposant cette pièce manquante. Quoi qu’il en soit, si l’on veut remplacer la théorie économique dominante, dont Andrew Haldane, économiste en chef de la Banque d’Angleterre, vient de rappeler les faiblesses fondamentales, Keynes demeure un excellent point de départ. Je vous propose du coup en feuilleton dans les jours qui viennent, mes commentaires … Lire la suite…
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De l’anthropologie à la guerre civile numérique (X), Intérêt égoïste contre bonne volonté, entretien réalisé le 21 mars 2016
Jacques Athanase GILBERT
Alors qu’Adam Smith conçoit l’homéostasie en référence au seul intérêt individuel, votre analyse la réintègre pleinement au champ social.… Lire la suite…
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VentsContraires.net, Paul Jorion : « Eleanor Roosevelt a été le plus grand Président des Etats-Unis »
Sur le site VentsContraires.net, c’est ici.… Lire la suite…
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Keynes : La fin du laisser-faire (IV) La « main invisible » d’Adam Smith
Keynes : La fin du laisser-faire
(I) Comment les girafes nous font mieux comprendre l’esprit du capitalisme
(II) La rationalité économique et l’éthique sont inconciliables
(III) La doctrine du laisser-faire résulte d’un compromis entre courants de la pensée politique
Un principe aussi simple pour le rapport entre les hommes qu’« Ôte-toi de mon soleil », auquel chacun s’identifie aisément, ou en tout cas, comme le dit Keynes, les agriculteurs, les chefs d’entreprise et les marchands, pourrait être érigé sans peine en un système politique ayant la capacité de satisfaire tout le monde. Quelles seraient les conditions à remplir :
… Lire la suite…Supposons
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LA NEF, « Misère de la pensée économique », N° 242, novembre 2012
Dans la revue La Nef du mois de novembre : « Misère de la pensée économique ».
Paul Jorion, anthropologue et économiste, poursuit une œuvre puissante et novatrice, largement anticonformiste, passionnante, sur la crise du capitalisme. Nous l’avons rencontré après la toute récente publication de Misère de la pensée économique (Fayard). Entretien.
1) Pourriez-vous d’abord succinctement présenter votre parcours professionnel ?J’ai étudié la sociologie et l’anthropologie sociale à l’Université Libre de Bruxelles. Je me suis ensuite rendu à Paris où j’ai assisté aux cours de Claude Lévi-Strauss au Collège de France. Celui-ci m’a permis de participer une … Lire la suite…
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LA DICTATURE DES ACÉPHALES, par Bertrand Rouziès-Léonardi
Billet invité.
Il n’est pas beaucoup de sculpteurs qui sachent façonner une tête d’enfant sans lui donner une expression mièvre ou équivoque qui outrepasse son âge. Il s’en rencontre quelques-uns dans la France des Lumières, à une époque où la psychologie de l’infans, le petit d’homme qui ne parle pas, commence d’émerger, laissant d’abord filtrer un murmure, puis une voix pleine et entière, dont Rousseau fixe le diapason, au plus près de lui-même, dans l’Émile et dans Les Confessions. Ces maîtres du XVIIIe siècle ont pour noms Houdon, Clodion ou Pajou. Le XXe siècle, siècle … Lire la suite…
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LE VIF/L’EXPRESS, Le jour où l’on voulut moraliser la finance, 12 – 18 avril 2012
Ma chronique pour l’hebdomadaire belge. L’article, sous la forme où il a paru.
Le 23 octobre 2008, c’est le jour où l’on a voulu moraliser la finance. Le projet a suscité l’enthousiasme. Il est même devenu si populaire qu’on imagine depuis que l’idée est une idée ancienne et qu’on a « toujours » voulu moraliser la finance. Or, ce n’était pas le cas, l’idée était neuve : avant, on pensait autrement.
L’idée était dans l’air cependant. Un peu moins d’un mois auparavant en effet, le 25 septembre, M. Sarkozy, président de la République Française, avait prononcé le Discours de … Lire la suite…
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L’HUMANITÉ DIMANCHE, « Partage de la richesse : on a besoin de radicaliser Marx ! », LE 17 JUIN 2011
L’Humanité Dimanche m’a demandé un petit texte sur l’actualité de Karl Marx. Au cas où vous n’auriez pas acheté l’hebdomadaire, voici ce que j’ai écrit.
Dans Le capitalisme à l’agonie, je parle de Karl Marx, en l’appelant : « celui dont on a effacé le nom ». Bien sûr, on sait encore qui il est mais je parle là essentiellement de lui dans le cadre de la « science » économique et il est vrai qu’on y a effacé son nom pour une raison bien simple : parce qu’il avait eu le mauvais goût de compléter sa réflexion … Lire la suite…