*Godot est mort !*
Personnage : Jean-Paul Belmondo Voix : Jean-Luc Godard et Anne Colette Mes billets sur Godard sont ici.
Personnage : Jean-Paul Belmondo Voix : Jean-Luc Godard
et Anne Colette
Mes billets sur Godard sont ici.
Je plaisante bien entendu. D’abord, qu’avez-vous à faire de mon ordre de préférence ? Ensuite, ils sont adorables tous les 4. Et puis, entendre Belmondo parler de la voix de Godard (JP n’était pas disponible pour la post-sync), cela ne mérite-t-il pas de toute manière le détour ? 1956 : Une femme coquette juin 27, 2021
Je plaisante bien entendu. D’abord, qu’avez-vous à faire de mon ordre de préférence ? Ensuite, ils sont adorables tous les 4. Et puis, entendre Belmondo parler de la voix de Godard (JP n’était pas disponible pour la post-sync), cela ne mérite-t-il pas de toute manière le détour ?
1956 : Une femme coquette
juin 27, 2021
Après les échecs d’Une femme est une femme et des Carabiniers, les producteurs ont perdu le bel enthousiasme qu’avait soulevé À bout de souffle. Aussi Godard se sent obligé de dire à la cantonade qu’il est capable de mettre en scène autre chose que des blagues de potache au scénario « fantaisiste » – au…
Jean-Luc Godard a accordé un entretien à Ludovic Lamant et Jade Lindgaard de Mediapart : Rencontre avec Jean-Luc Godard : « On ne peut pas parler », paru hier. Pas vraiment l’entretien espéré, qu’on en juge : Jean-Luc Godard : « … Mediapart ne…
Jean-Luc Godard a accordé un entretien à Ludovic Lamant et Jade Lindgaard de Mediapart : Rencontre avec Jean-Luc Godard : « On ne peut pas parler », paru hier.
Pas vraiment l’entretien espéré, qu’on en juge :
Jean-Luc Godard : « … Mediapart ne…
La femme veut un enfant : Une femme est une femme (1961) La femme n’est pas loyale (elle trahit Jean-Paul Belmondo) : À bout de souffle (1960) ; Pierrot le fou (1965)
La femme veut un enfant : Une femme est une femme (1961)
La femme n’est pas loyale (elle trahit Jean-Paul Belmondo) : À bout de souffle (1960) ; Pierrot le fou (1965)
Après avoir revu à la suite, tous les Antonioni (vous m’avez vu mettre en ligne quelques vignettes : Des goûts et des couleurs, et L’homme qui dit…
Billet invité Pierre, je ne sais pas encore traduire votre entreprise dans « ma langue », toutefois il me semble que nous pouvons dialoguer sur les inquiétudes situées aux jointures des articulations entre de nos deux modes de représentation. Vous écrivez « Le droit de propriété est ce qui permet à l’individu d’exister dans…
Billet invité
Pierre, je ne sais pas encore traduire votre entreprise dans « ma langue », toutefois il me semble que nous pouvons dialoguer sur les inquiétudes situées aux jointures des articulations entre de nos deux modes de représentation.
Vous écrivez
« Le droit de propriété est ce qui permet à l’individu d’exister dans…
Billet invité Dans son numéro de novembre, la revue Books consacre un dossier de vingt-quatre pages aux divers aspects de « la Russie, l’État-mafia » ; l’ensemble des textes qui y sont rassemblés montre l’inverse de ce que nous pourrions considérer, de loin, comme la reconstitution d’un « État autoritaire ». Deux courts extraits permettront d’en mesurer l’enjeu. «…
Dans son numéro de novembre, la revue Books consacre un dossier de vingt-quatre pages aux divers aspects de « la Russie, l’État-mafia » ; l’ensemble des textes qui y sont rassemblés montre l’inverse de ce que nous pourrions considérer, de loin, comme la reconstitution d’un « État autoritaire ».
Deux courts extraits permettront d’en mesurer l’enjeu.
«…
Billet invité. Alain Caillé définit la forme d’organisation sociale dans laquelle nous sommes de plain-pied comme un parcellitarisme, c’est-à-dire : …le mouvement permanent qui tend à décomposer toute chose, tout sujet collectif, institutions ou organisations, tout individu, tout savoir, tout pouvoir, tout territoire ou tout espace de temps, etc., en parcelles, en postulant que cette…
Billet invité.
Alain Caillé définit la forme d’organisation sociale dans laquelle nous sommes de plain-pied comme un parcellitarisme, c’est-à-dire :
…le mouvement permanent qui tend à décomposer toute chose, tout sujet collectif, institutions ou organisations, tout individu, tout savoir, tout pouvoir, tout territoire ou tout espace de temps, etc., en parcelles, en postulant que cette…
Aussi, pourquoi Monsieur Jorion s’intéresse-t-il, entre autres, à l’œuvre d’Antonioni ? Je suppose que l’une des raisons principales est que les films de ce cinéaste sont au croisement…
Aussi, pourquoi Monsieur Jorion s’intéresse-t-il, entre autres, à l’œuvre d’Antonioni ?
Je suppose que l’une des raisons principales est que les films de ce cinéaste sont au croisement…
J’écrivais ici en 2010, à la mort de Jean Ferrat : Nota bene : Une proportion significative d’hommes de mon âge ont été amoureux d’Anna Karina (ici dans « Vivre sa vie » de Jean-Luc Godard).
J’écrivais ici en 2010, à la mort de Jean Ferrat :
Nota bene : Une proportion significative d’hommes de mon âge ont été amoureux d’Anna Karina (ici dans « Vivre sa vie » de Jean-Luc Godard).
Billet invité. Toutes les vérités sont bonnes à dire, surtout quand elles éclairent un monde inaccessible, compliqué à l’extrême, et pour tout dire incompréhensible. Trois suffisent pour faire le tour de la question. 1. Tant que les rendements financiers seront supérieurs à ceux de l’économie, les écarts de répartition de la richesse continueront…
Toutes les vérités sont bonnes à dire, surtout quand elles éclairent un monde inaccessible, compliqué à l’extrême, et pour tout dire incompréhensible. Trois suffisent pour faire le tour de la question.
1. Tant que les rendements financiers seront supérieurs à ceux de l’économie, les écarts de répartition de la richesse continueront…
Billet invité. Avant d’avoir pris du champ dans sa retraite Suisse de Rolle, Jean-Luc Godard était connu non seulement pour sa lecture boulimique des faits divers de la presse mais également pour son intérêt pour la création publicitaire, un genre méprisé. Il y voyait dans les deux cas une sorte de miroir du monde.…
Avant d’avoir pris du champ dans sa retraite Suisse de Rolle, Jean-Luc Godard était connu non seulement pour sa lecture boulimique des faits divers de la presse mais également pour son intérêt pour la création publicitaire, un genre méprisé. Il y voyait dans les deux cas une sorte de miroir du monde.
Oublié ? Non : pas sur le Blog de Paul Jorion en tout cas. Il y a des chanteurs ou des chanteuses qu’on entend pour la première fois et on se dit : « Ah, ça c’est autre chose, c’est important ». J’ai ressenti ça en entendant « Mon p’tit copain perdu » de…