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Nous nions la réalité, chapitre 2, par Jean-François Le Bitoux
Ouvert aux commentaires.
Une révolution sanitaire est aussi nécessaire
Nous nions la réalité nous dit Vincent Burnand-Galpin et il développe différents aspects de ce refus du réel. Il faudra pourtant choisir les urgences même si la hiérarchisation est forcément différente car chacun…
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« Déremboursement de l’homéopathie »
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CRISPER-Cas9 : un sondage, trois réactions
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Mark O’Connell, To Be a Machine (IV) Les transhumanistes maîtrisent-ils les questions qu’ils soulèvent ?
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Séminaire du Cermes3, « Crises », le 14 décembre 2016, de 10h à 13h
Séminaire du Cermes3 : Crises
14 décembre de 10h à 13h
Lieu : salle des thèses, 5ème étage, bâtiment Jacob, 45 rue des Saints Pères, 75006 ParisIntervenants
- Michaël Neuman, coordinateur et directeur d’études du Centre de réflexion sur l’action et les savoirs humanitaires – Médecins sans frontières (CRASH – MSF), Crise et politique
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Comme un grand cerf-volant (Gouverner la Chine), par DD & DH
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Intelligence artificielle, une douce installation, par Marc Dujardin
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Le prix des médicaments, par Michel Leis
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Parler à une femme pour aller bien, par Marie-Paule Nougaret
Réponse à Timiota, Games of ThOrMones, ou la réciprocité depuis Shakespeare. En hommage à Chantal Bismuth.
Rappelons que l’ocytocine est surtout le pendant de l’adrénaline, dont les effets, en situation tendue (stress) varient suivant la dose circulante, de calmants à excitants avec polarisation vers l’action, changement de rythme cardiaque, préparation des muscles mais…
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Ebola, une épidémie qui ne doit rien au hasard, par Marius Gilbert
Billet invité. Cet article paraît également sur le blog de la Revue Nouvelle, une version imprimée paraîtra dans le numéro de novembre de la revue.
Les maladies émergentes comme la grippe aviaire, le SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère), le MERS (syndrome respiratoire du Moyen-Orient) et aujourd’hui Ebola ont toutes un point commun.…
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KEYNES EN DES BONNES MAINS
J’écrivais dans NAUFRAGE DE KEYNES À LA FIN DE SA VIE que
… les antibiotiques auraient été d’un grand secours mais n’étaient disponibles que depuis peu et l’affection cardiaque dont souffrait Keynes n’était pas encore attribuée à une infection par les…