CE SOIR À MONTBÉLIARD

Pascal était très appréhensif : « Il ne faudra pas être trop déçu s’il n’y a pas de monde, il y a de la concurrence sérieuse ce soir : Sardou est en ville, et je suis sûr que les habitués du Bar des sciences iront plutôt l’écouter lui ! »

Je lui avais répondu que s’il n’y avait vraiment personne, nous pourrions toujours, lui et moi, aller aussi écouter Sardou.

Et puis vous étiez quatre cents dans la salle de l’ancien temple Saint-Georges. De Montbéliard ou de Belfort sans doute, mais aussi, comme vous nous l’avez expliqué : venus de Besançon, de Mulhouse et même de Metz ou de Nancy.

Papimam, vous vous souvenez ? Un des tout premiers commentateurs du blog, était là !

Il y avait une atmosphère de grande métingue, comme on disait autrefois, et cela m’a fait très plaisir. Ce « frémissement » que je découvre ces jours-ci à la lecture des nouvelles, eh bien ce soir, à Montbéliard, il était là, dans la salle !

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