LES MÂNES DE FAUSTO COPPI ET DE GINO BARTALI

Je descends parce qu’il est l’heure de dîner. La maisonnée regarde aux nouvelles l’arrivée de l’étape du jour du Tour de France.

Quand j’étais gosse on s’égosillait : « Vas-y Coppi ! Vas-y Bartali ! »

Dans six mois on apprendra – comme chaque année à la même époque – que ceux qu’on voit là en ce moment caracolant en tête du peloton (voire même carrément détachés !) étaient tous drogués jusqu’aux yeux… et que tout cela en réalité, eh bien, c’est une grande honte !

Mais ce soir on s’en fiche : c’est l’arrivée du Tour ! « Vas-y Coppi ! Vas-y Bartali ! »

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