Le sourire, fendu jusqu’aux oreilles avec lequel M. Martin Schulz, aujourd’hui candidat SPD au poste de Chancelier allemand, m’a accueilli à deux reprises au Parlement européen à Bruxelles, dont il était alors le président, alors que j’y venais témoigner, fait que j’éprouve a priori un sentiment très positif à son égard.
Ah ! la nature humaine et ses mécanismes désespérément rudimentaires !
Je ne pense pas qu’il aurait décliné une invitation au manoir, en bon ogre qu’il est, attiré par la chair…