Cher Monsieur Jorion,
Je ne suis pas un grand diplômé, pas un grand propriétaire terrien, encore moins ai-je le plaisir d’avoir un travail épanouissant. Non, ma seule richesse est une richesse léguée dès ma procréation, transmise par ma famille, richesse qui englobe l’amour que m’ont donné mes proches et la stabilité matérielle et financière.
Mais, grâce à votre travail, à votre engagement, sachez que vous permettez à de simples et de jeunes personnes comme moi, de pouvoir s’épanouir et de saisir le sens et le mouvement du monde qui nous entoure.
Merci, un grand merci, de mener votre combat pour alerter les gens et de faire que notre destin ne soit pas aussi funeste qu’on nous l’annonce.
Nous y arriverons.
Fraternellement,
Frédéric.
‘ce n’est qu’à travers le prisme de la conscience humaine que les mots acquièrent réellement un sens.’ La conscience humaine…