Petit hommage à un vrai pessimiste

Un jour mon amie m’a dit : « Mon frère propose qu’on aille voir une exposition à la galerie du Serpentine, avec sa copine et lui ». La scène se passait à Londres et le Serpentine est le lac traversant la frontière entre Hyde Park et Kensington Gardens. J’ai dit : « Oui, bien sûr ! » Elle a ajouté : « C’était lui Giton, dans le Satyricon ».

Je ne me souviens plus de l’exposition mais ils se ressemblaient fort, le frère et la soeur. C’est là ma seule relation à Fellini. À part d’avoir regardé ses films, les yeux toujours remplis d’étoiles.

Partager :

Contact

Contactez Paul Jorion

Commentaires récents

Articles récents

Catégories

Archives

Tags

Allemagne Aristote bancor BCE Bourse Brexit capitalisme centrale nucléaire de Fukushima ChatGPT Chine Confinement Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon John Maynard Keynes Karl Marx pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés spéculation Thomas Piketty Ukraine ultralibéralisme Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »

Meta