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« Le stress causal est le plus souvent « négatif » (deuil, rupture, altercation, etc.) et, parfois, « positif » (joie intense)[12]. Dans près de la moitié des cas, il existe un terrain neurologique ou psychiatrique »
Mangeait trop gras ?
Ou alors c’est une malédiction , il ne fallait pas s’accaparer une couleur.
Un bel entretien avec Rotraut Klein. Un des personnages de mon roman biographique Quelques nuances de Klein qui vient juste d’être publié le 3 juillet par les éditions Invenit. Dans toutes les bonnes librairies… Teodoro Gilabert.
Le secret du bleu Klein
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ac%C3%A9tate_de_vinyle
Merci Rhône-Poulenc.
L’art pictural n’est rien sans la chimie. Certains artistes devraient faire preuve d’un peu plus de modestie. Quant au fait de déposer un procédé de couleur à l’INPI, il éclaire la frontière ambigüe entre l’art et le commerce.
Jusqu’au premier quart du XIXe siècle, on extrayait le pigment bleu outremer à grand frais d’une pierre semi-précieuse : le lapis-lazuli (du latin lapis = pierre, et du persan lazur = bleu), également dénommée pierre d’azur. Cette pierre était importée d’un lointain pays, l’Afghanistan, – d’où le nom d’outremer qui signifie au-delà des mers –, et le procédé d’extraction, comportant de nombreuses étapes, était long et difficile. D’où un coût exorbitant : plus élevé que l’or ! On dit même que Michel-Ange n’avait pas les moyens de se le procurer. Un tel coût justifie pourquoi ce pigment était principalement destiné à la peinture de scènes religieuses dans les 40. Les Égyptiens connaissaient le lapis-lazuli dont ils faisaient des bijoux, des statuettes, etc., mais ils n’en extrayaient pas un pigment, préférant leur fameux bleu égyptien. enluminures du Moyen Âge et les peintures à partir du XVIe siècle. Les progrès de l’analyse et de la synthèse chimique à la fin du XVIIIe siècle et au début du XIXe siècle incitaient à préparer un bleu outremer artificiel. Ainsi, la Société d’encouragement pour l’industrie nationale ouvrit un concours en 1824 pour la synthèse d’un bleu outremer à moindre coût. Le lauréat fut Jean-Baptiste Guimet en 1828. C’est le plus bel exemple de substitution d’un pigment naturel par un pigment synthétique grâce aux progrès de la chimie. Nous savons aujourd’hui que le constituant essentiel du bleu d’outremer est la lazurite (Na8[Al6Si6O24][SO4,S,Cl]x). L’origine de la couleur, complètement élucidée vers 1970, est le radical anion trisulfure.
Bernard Valeur: La chimie crée sa couleur sur la palette du peintre (www.mediachimie.org)
Après la résurrection de la momie du chat déconfiné et pas repassé, la coupe de cheveux, ou la perruque ? façon Imhotep, mais, sans la barbichette. D’ailleurs, c’est moins sexy sans la barbichette, et j’ajouterais en substance que sans la barbichette, la coupe Imhotep, et bien ça rend l’air un peu hagard… Mais tout le monde n’a pas les traits d’Imhotep. Cela va sans dire. Bref, difficile d’être au four et au moulin. Sans parler du sarcophage, à condition d’en sortir. Du four, aussi soit dit en passant.
Le bleu d’Alexandrie, fort heureusement n’a pas attendu ni Y. Klein, ni Rhône Poulenc, pour créer des bleus à réveiller les vivants et les morts.
https://www.bonnegueule.fr/le-pigment-indigo-12-histoire-culture-et-procedes-de-teinture/
Le bleu de l’Italie par Michel Pastoureau
https://www.youtube.com/watch?v=I4ulMyYkwkE
En contrepoint de ce portrait d’Yves Klein, très intéressant, par Rotraut, Alain Georges Leduc pose d’autres questions autour de son oeuvre. Sans nécessairement les partager toutes, je trouve qu’elles méritent aussi d’entre entendues.
https://vimeo.com/184214410
Annel