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*Godot est mort !*
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20 réponses à “Comment apprendre l’anglais”
Il y en a qui rencontre des Reines.
J’aurais été incapable d’en faire la moitié, même sur mes cannes.
Inclinez vous.
Et j’ai compris ! ( pas d’inceste )
Purée j’ai perdu une ridicule famille, gagné une sœur et un pays.
Merci .
Je savais pertinemment que sa petite tête m’avait trop bien accroché 😊
j’ai perdu une ridicule famille
Que dis je ! MISÉRABLE
Très beau texte. Merci.
comme Morro Bay…
Merci !
Que rêver de mieux en matière d’apprentissage des langues étrangères : c’est un cas idéal. 🙂
Cela montre bien qu’il faut avoir une démarche inspirée de l’ethnologue et vivre dans le pays, dont on veux apprendre le parler, afin d’intégrer toutes les subtilités de la langue considérée.
Mr Jorion, je viens de comprendre, par votre beau texte, pourquoi je n’ai jamais appris l’anglais.
Il m’a manqué une princesse.
Merci à vous.
Les petites filles, mais pas seulement : les petits garçons aussi, en ont l’intuition profonde : notre monde manque tragiquement de princesses.
Et de princes qui ne le sont pas de naissance.
En même temps de par leur éthique ils mériteraient de l’être et d’épouser des princesses.
Les princesses comme les princes peuvent faire faire des miracles aux hommes et aux femmes.
En même temps la où les belles que nous avons croisé ne sont-elles pas nos princesses et ne sommes nous pas leurs princes charmants ??
Alors moi, j’ai tout, la princesse, et le reste, mais je suis lent pour apprendre, j’ai l’impression de ne voir et vivre que 2% de ce qui est autour de moi…
Est-ce qu’en « fin de conte », l’expression (publicitaire) disant « nous n’avons pas les mêmes valeurs » n’est pas si vraie que ça… quand même si le milieu change (la classe sociale dirons nous), la méthode d’immersion, d’imprégnation que permet une relation avec le sexe opposé – disons aussi avec une relation au sens large pour ne froisser personne – peut nous faire obtenir le même résultat… Cette expression ne prévalant plus alors, que seulement dans le cas d’une relation de couple « inter-classe sociale » (attention il est question d’archétypes, stéréotypes… : le « prince charmant », cherchant une « souillon » à chausser avec une pantoufle de verre… Ou, ce qui est plus rare dans les « contes de fée » : la « princesse » cherchant à se « dévergonder » avec – ou à dompter – le spécimen d’ un mâle alpha « ensauvagé ») il suffit d’avoir un minimum de connaissance des codes, du sésame ouvrant les portes des deux « royaumes » et une « flexibilité » à toute épreuve…?
Rajout au commentaire précédent. Merci M. Jorion de nous faire partager cette « balade intimiste ».
Oscar Wilde dont vous avez noté les talents et faiblesses , aurait pu vous le dire :
« L’Angleterre et l’Amérique n’ont plus rien aujourd’hui qui les distingue l’une de l’autre , sauf, bien entendu , le langage « .
Pour ce qui concerne mon apprentissage de l’anglais , pas de princesse mais des profs très variés de la sixième à la première ( aussi longtemps que le latin !) . On était plutôt bons à l’écrit ( en seconde le prof anglais nous disait qu’on rédigeait des dissertations courtes plus correctes que nos homologues anglais qu’il connaissait ) , mais à l’oral , les méthodes de l’époque ne faisait pas des debaters très doués . Il y a bien eu un trou de vingt cinq ans avant que je ne sois à nouveau en position de reprendre la langue de Shakespeare par obligation professionnelle .
La dernière fois où ça m’a servi « in vivo » , c’est pour remettre une vénérable citoyenne de sa majesté dans le bon chemin dans le vieil Annecy ( cette année , Covid oblige , presque plus de britanniques ) .
Mais elle n’avait pas le port et l’absence de soutien gorge ( j’en sais rien finalement …) d’une princesse , qui m’aurait permis d’être motivé pour parfaire mon anglais , et je n’ai même pas pu me dire , comme Henri VIII la première fois qu’il a vu Anne Boleyn : » God ! What a mare ! » .
Oui, c’est très joli.
Et je pense à la ronde de petites princesses et petits princes qui aurait logiquement jalonné votre parcours de l’amour des langues « si vous aviez été amené » à en parler 12, very correctly.
Sourire amical.
Oui, joli texte, extrait d’un nouveau roman ?
Ah voilà, tout s’explique, c’est pour cette raison que la VUB a invoquée à l’époque le ‘parlé anglais’; ces gens-là parlaient un anglais d’aéroport voire américain, mais ne comprenaient pas un ‘Anglais d’Angleterre de Cambridge’… ! 😉
Lors d’un court séjour dans une famille anglaise d’accueil; malgré mon médiocre anglais d’ado (il l’est resté ! ), lorsqu’on me parlait assez distinctement un ‘anglais d’Angleterre’, comme par miracle je comprenais presque tout ! 🙂
J’ai personnellement horreur des petits pouces verts, excusez-moi…
Alors je tiens à rajouter mon avis.
Le même pourtant que celui de « Durpaire Christophe » :
c’est vraiment un très beau texte dont vous nous avez fait profiter aujourd’hui !
Merci !