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Les Grands Bancs a paru dans L’Âne Le magazine freudien, 32,…
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*Godot est mort !*
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@Grand-mère Michelle 28 juillet 2025 14h59 Comment vous répondre avec nuance(s)…^?^… …M’arrêter un instant sur votre dernier paragraphe… Considération réciproque.…
@Tout me hérisse « Comment peut-on en arriver là? » À noter qu’un « État puissant » est, actuellement, considéré comme tel (« grandes puissances »)…
@Garorock Je te rappelle que l’objectif possible du voyage de Trump en Russie pourrait être un kompromat. Pour que Trump…
@Garorock Tu dis « bonjour » à ton IA ???
Dans un « monde normal »… (celui d’avant le sinistre couple ‘Bibi-Donald’ en « action » sans réaction au moins proportionnée… ) … si,…
Bonjour. Pouvez vous me dire si Mélania Trump a souvent accompagné son mari lors de voyages en Russie et lors…
Il serait même possible que ce soit à bord de l’avion que Donald et Mélania se soient approchés de plus…
On ne peut être sûr de rien, mais moi je pense qu’elle aurait voulu, mais qu’elle ne pouvait pas s’adresser…
oui…ça sent le vrai tout ça…les complotistes sont rarement capable d’inventer une histoire aussi crédible.
@Otromeros Un peu dommage(beaucoup, selon moi qui suis une femme), de ne pas rendre hommage à GHIZLAINE KOUNDA, une des…
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7 réponses à “Les Grands Bancs (1987)”
Du beau monde avec René Vogel et Alain Kaminker au générique de « La mer et les jours » !
Henri Colpi, Georges Delerue, Chris Marker, Daniel Ivernel… 🙂
Oui ! Tout le monde était là !
Colpi + Delerue
J’étais pas né à la date du film, mais une Palme bien méritée, je crois…
Ça m’en rappelle un autre que j’aimerai bien revoir.
Extrait de La Bonne Année, 1973. 😉
Très beau et très juste.
Le romancier Georges Simenon est sans doute plus pertinent que les sociologues attitrés de son temps.
« La lucidité excessive du petit matin » -sous-entendu après une nuit blanche, je conseille à tous cette expérience au moins une fois 🙂
Est-ce qu’au cours de votre riche existence vous avez eu l’occasion de rencontrer l’ethnologue et géographe Jean Malaurie, fondateur de la collection Terre Humaine chez Plon, qui a publié « Le Cheval d’Orgueil » ?
Non, le seul grand géographe que j’aie approché de près (lors d’un examen oral) était Pierre Gourou (1900-1999), dont j’ai été l’étudiant.
Et Georges Balandier ?
Jamais rencontré non plus. Il n’était pas très apprécié parmi les gens que j’ai côtoyés : ses données apparaissaient comme de seconde main. À tort ou à raison son Afrique ambigüe (1957) était vu comme une réponse qu’il aurait voulu apporter au Tristes tropiques (1955) de Lévi-Strauss, mais son ouvrage supportait mal la comparaison. Il faut dire qu’avec Tristes tropiques, la barre était placée vraiment haut !
(Dans une notice sur Afrique ambigüe disponible sur la toile, on peut lire :
« le style du récit de voyage philosophique proche de celui de Tristes tropiques de Claude Lévi-Strauss »
« L’esprit de l’ouvrage est d’ailleurs assez proche de celui de Tristes tropiques de Claude Lévi-Strauss »
« Afrique ambiguë a aussi la tonalité de Tristes tropiques »
« Avec Afrique ambiguë, Balandier s’inscrit dans le sillage d’autres anthropologues qui signent des ouvrages de qualité littéraire, tels que Michel Leiris avec L’Afrique fantôme (1934), Marcel Griaule avec Les Flambeurs d’hommes (1934), Alfred Métraux avec L’Île de Pâques (1941), ou encore et bien évidemment avec Tristes tropiques de Claude Lévi-Strauss (1955) »
« une inquiétude qui rejoint celle de Tristes tropiques »
« Afrique ambiguë ressemble en certains points à Tristes tropiques de Lévi-Strauss et il est difficile de parler du premier sans évoquer le second »).
Mais je suis méchant !