@Vincent Rey Autrement dit on obtient le résultat qu’on veut à condition de poser les bonnes questions …
*Godot est mort !*
Il est dommage que je ne serai pas présent sinon ce serait une bonne occasion d’écouter votre conférence sur l’IA en live.
@Mango 20/9 à 16h13
Rien que pour vous… ( …je tends le ‘calumet’.. ?? ) :
Bon….. 17h45…!!……20/9/2024…. Toujours rien…. Je vais Kââmême déposer ceci…:
» En parlant d’ ‘explosion’ … https://www.liberation.fr/international/afrique/mali-le-pouvoir-militaire-frappe-au-coeur-apres-une-attaque-inedite-et-spectaculaire-20240920_X5BOIANYO5EDFKL76BPN35KBNM/
Et ceci …. plutôt genre ‘implosion’…
———————————–
… » ll l’a fait !
Même si tout avait été anticipé depuis plusieurs semaines, l’ensemble de la sphère financière est tombée en pâmoison, lorsque le président de la Fed, Jerome Powell, a annoncé la diminution d’un demi-point des taux directeurs américains le 18 septembre.
Les marchés boursiers se sont envolés, atteignant de nouveaux records, les investisseurs ont applaudi, et tous ceux qui avaient fait le pari d’un changement de pied de la Réserve fédérale se sont congratulés : la décision « courageuse » de la Fed marque, selon eux, un changement radical.
C’en est fini de la politique monétaire restrictive menée depuis deux ans et demi pour juguler l’inflation.
Mais en acceptant de frapper fort et de baisser les taux d’intérêt non pas d’un quart, mais d’un demi-point, la Banque centrale américaine ouvre, à les en croire, des lendemains qui chantent….
Moins 0,5 % et voilà la croissance mondiale sauvée !
La Réserve fédérale donnant le ton du monde monétaire mondial, tous les autres banquiers centraux se retrouvent sous pression….
Déjà, les critiques redoublent sur la pusillanimité de la Banque centrale européenne pour n’avoir baissé ses taux que de 0,25 % la semaine dernière.
La Banque d’Angleterre, qui a décidé de ne pas bouger, a laissé entrevoir qu’elle pourrait changer très rapidement de position, tout comme la Banque du Japon.
La Banque centrale suisse est pressée de toutes parts pour emprunter au plus vite le même chemin que la Fed.
Le grand cirque des taux d’intérêt, qui s’est installé autour des banques centrales, amenant spéculations, analyses, commentaires sans fin, avant et après leurs décisions, a recommencé…. Cette attention disproportionnée ne peut qu’interroger…..Les politiques monétaires ne se résument-elles donc plus qu’à un chiffre magique, censé apporter réponse à tout ? …..En quoi la baisse d’un quart ou d’un demi-point va changer la face du monde, remettre en place nos économies, faciliter nos vies ?
À chaque fois, les mêmes exemples sont donnés pour expliquer le mouvement radical impulsé par les banques centrales.
Le cas des ménages est immédiatement appelé à la rescousse pour justifier l’importance du moment.
Les crédits immobiliers, les crédits à la consommation, tout est supposé devenir instantanément plus facile grâce à la baisse des taux.
C’est peut-être vrai pour les États-Unis où tous les crédits, à la différence de nombre pays européens, sont à taux variable. …. Et encore….L’ampleur du changement annoncé mérite d’être plus que nuancé.
Le Wall Street Journal a fait une première estimation des effets de la baisse des taux américains pour les ménages.
Pour les crédits immobiliers, ceux-ci avaient déjà baissé par anticipation, passant de 7,18 % à 6,2 %.
Mais l’envolée des prix de l’immobilier aux États-Unis, comme en Europe d’ailleurs, efface tous les bénéfices de cette baisse.
De même, le crédit à la consommation, qui atteint des sommets avec l’explosion des prix, est toujours à des niveaux stratosphériques : 22,76 % en moyenne .
Avec la baisse des taux de jeudi, les ménages qui ont 500 dollars de crédit peuvent espérer, selon les calculs du quotidien économique, une diminution de leurs frais de 21 cents ………….^!^………………!!!!!
Ces chiffres donnent la mesure du bouleversement en cours grâce à la Fed.
La demande , écrasée par des prix qui ne sont pas revenus au niveau de ceux d’avant la flambée inflationniste et des salaires qui n’ont pas suivi, risque de continuer de décliner. L’immobilier restera inabordable pour de plus en plus de ménages.
L’activité risque de continuer de se dégrader entraînant sa cohorte de fermetures et de suppressions d’emploi.
…(…)…
Tentant de couper court à toute critique sur la portée politique de leurs actions, les banquiers centraux ont tous adopté ce discours sur des décisions fondées sur les statistiques, qui donnent une rationalité objective à leurs actes.
Quoi de moins contestable que des chiffres, que des modèles macroéconomiques ?
À y regarder de plus près, ceux-ci cependant s’appuient sur des modèles qui semblent être en décalage avec l’évolution de l’économie, de ses modes de production, de consommation, les modes de vie des populations.
Ainsi, depuis des mois, la Fed souligne, allant même parfois jusqu’à s’en inquiéter, la croissance du nombre de créations d’emplois aux États-Unis, signe d’une économie solide et dynamique.
Les dernières révisions du marché du travail donnent cependant un aspect un peu différent : le nombre de créations d’emplois aux États-Unis depuis le début de l’année a été inférieur de plus de 800 000 par rapport aux chiffres annoncés précédemment…..
…..De même, alors que l’économie allemande était censée être encore en légère croissance au début de 2023, il est apparu après révision qu’elle était déjà entrée en récession.
Mais qui s’en inquiète ?
La revue et la mise à jour des statistiques ne viennent que longtemps après. Ce qui importe pour les marchés financiers, ce sont les chiffres attendus au jour prévu, ceux à partir desquels les banques centrales fonderont leurs décisions monétaires dans les semaines suivantes et par rapport auxquelles ils se positionneront.
Au-delà du fait que cette conduite par les chiffres peut amener à des prises en compte tardives des changements conjoncturels, cela conduit les banques centrales à piloter à vue, à être tout le temps en réaction par rapport aux événements. Toutes ont adopté des politiques court-termistes, sans vision de long terme sur la politique monétaire.
En finir avec le casino financier mondial
Les banquiers centraux s’en défendent…..Comme pour l’inflation, ils affirment avoir des objectifs à long terme.
Leur « Saint-Graal » s’appelle le taux réel neutre (R-Star).
Ce taux d’intérêt réel est censé illustrer l’idéal de la politique monétaire : ni expansionniste ni répressif, il doit permettre d’assurer l’équilibre monétaire en garantissant à la fois le plein-emploi et la stabilité des prix.
Pour la Fed, il se situe désormais autour de 2,8 %, pour la BCE autour de 2 %.
Pourquoi ? mystère. ………….. Note @Otro : Réveillez Guy ABEILLE…, « lui » doit le savoir…^!^…………..
Ces taux permettent-ils de répondre aux bouleversements en cours des économies mondiales, de répondre aux défis importants, ceux portés par les dérèglements climatiques n’étant pas les moindres ?
Il n’y a pas plus de réponse.
Nimbés dans leur auréole d’indépendance, les banquiers centraux ne se sentent pas vraiment tenus d’expliciter leur vision.
En attendant, cet idéal d’équilibre ne semble jamais atteint et le jeu continue.
Le monde financier, qui a compris tout le bénéfice qu’il pouvait tirer de la situation, spécule tant et plus sur toutes les décisions à venir des banquiers centraux.
Les sommes engagées sont devenues telles que les banques centrales ont pris l’habitude d’annoncer leur mouvement afin de ne pas créer un accident financier.
Pour n’avoir pas respecté cette règle de prudence, la Banque centrale du Japon a failli cet été provoquer un incident majeur : des centaines de milliards de dollars se sont retrouvés piégés par une hausse des taux japonais qui n’avait pas été anticipée par les financiers…….Au risque de mettre en danger la stabilité financière mondiale.
Il serait temps que les banquiers centraux arrêtent ce show permanent autour de la politique monétaire : leurs décisions n’ont pas à alimenter le grand casino financier mondial. »
( Martine Orange MdP )
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Merci Martine..
« La revue et la mise à jour des statistiques ne viennent que longtemps après. Ce qui importe pour les marchés financiers, ce sont les chiffres attendus au jour prévu »
C’est un peu comme le dopage au tour de France, pour ceux que le cyclisme intéresse :
Un exemple d’ » explosion d’intelligence « …..
l’ » OPTIMISATION FISCALE » … ça s’appelle..!.. 🤔… »Bien joué Bruno😇…^!^… »
… » Le ministre de l’Économie démissionnaire va enseigner à Lausanne, mais continuera d’habiter en France. » ….
» Comment..?..’NON’..??? ….. ‘SI’-‘SI’..!!.. jusqu’au fond du fion les mecs… bien au fond..!!… » …^!^… »
Pour information !
« Erreur, mauvaise foi ou pur mensonge? Les entreprises de la tech semblent avoir grandement sous-estimé le coût énergétique inhérent à l’activité grandissante de l’intelligence artificielle (IA) et notamment à l’alimentation des énormes centres de données indispensables au développement des grands modèles de langage, sur lesquels elles planchent presque toutes aujourd’hui. Une enquête du quotidien britannique The Guardian rapporte que l’empreinte carbone réelle de quatre géants de la tech entre 2020 et 2022 est environ 7,62 fois plus importante que celle déclarée officiellement. Ou pour le chiffrer autrement: un écart de… 662% entre la communication et la réalité. Une paille.
Et l’addition pourrait être bien plus salée. L’investigation menée par le journal britannique ne se limite qu’aux émissions de dioxyde de carbone (CO2) produites entre 2020 et 2022, soit avant l’essor stratosphérique qu’a connu l’IA ces derniers mois. On imagine donc que Microsoft, Google, Meta ou Apple polluent bien plus que ces multinationales de la tech ne le disent, sans oublier Amazon, dont le bilan carbone n’était pas disponible lors de la réalisation de l’enquête. »
https://korii.slate.fr/tech/ia-pollution-gafam-emissions-co2-empreinte-carbone-centre-donnees-google-amazon-meta-apple-microsoft-environnement-climat
C’est bien là un cas de conscience, non ?
Mince alors, les supers cerveaux mécaniques sont nuls en maths? Ou bien il y aurait stat (officielle) et stat (réelle)?
La course est lancée : à celui qui aura le plus d’électricité disponible, et le plus de composants. Le premier qui arrive à la super intelligence a tout gagné !! (the winner takes all !)
C’est le stade final de la concurrence … et de l’emploi humain
A propos de l’homme/machine, justement … une amorce.
Comme l’humanité est multiple et diverse, voici ce qui semble différencier la conscience vue par Freud et celles d’autres cultures (avec l’aimable contribution de GPT 3.5) :
« Contrairement à la vision de Freud qui se concentre sur une approche psychanalytique et divisée (conscient, inconscient), les traditions asiatiques, en particulier le bouddhisme et le taoïsme, tendent vers une vision de la conscience comme un flux continu ou une unité.
Dans le bouddhisme, la conscience est un processus impermanent et interdépendant, non attaché à une identité fixe. L’objectif est souvent d’échapper aux illusions et de comprendre la nature transitoire de l’existence.
Dans le taoïsme, la conscience est fluide et cherche à être en harmonie avec la nature, loin des contraintes de l’intellect et de l’ego.
Le confucianisme met davantage l’accent sur une conscience morale et éthique, axée sur l’interaction sociale et le développement personnel pour maintenir l’harmonie dans la société.
En résumé, la notion de conscience en Asie varie selon les traditions, mais elle tend à privilégier une approche intégrative, spirituelle, ou éthique, souvent opposée aux conceptions occidentales, qui divisent la conscience en plusieurs couches mentales et insistent sur la dynamique psychologique interne. »
N’oublions pas le « reste » de l’humanité ! 😉
@Pascal
Les Zeus, Yahvé, Dieu, Allah sont inexistants dans la tradition Chinoise et leur absence d’alphabet (Ecritures :-)) ne les pénalise pas pour autant dans leurs recherches sur l’IA comme me le faisait remarqué il y a peu, un commentateur (Ilicitano).
Cela peut laisser supposer des « débouchés » quelque peu différents aussi. (?)
Pour ce qui concerne la conscience, on le voit entre juifs et arabes, les religions n’aident pas à gagner quoi que ce soit si ce n’est la nécessité d’en finir … avec l’autre.
Et, ce n’est pas là le seul écueil.
Cette discussion sur l’homme/machine est à la recherche d’une porte de sortie.
Sortir d’un monde en déliquescence avec ce qui se présente comme possible bouée de secours.
Pour ce qui est du pragmatisme chinois, ce n’est pas une nouveauté. Une personne de l’OFPRA m’avait expliqué que les immigrés chinois qui s’installent en France sont parmi les personnes qui s’adaptent le mieux. Un restaurateur chinois qui ouvre son restaurant en France n’hésitera pas à mettre un Père Noël dans sa devanture à Noël même si cela ne fait pas partie de la tradition chinoise. A l’intérieur, plus discrètement, il aura installé son petit temple bouddhiste ou taoïste en accord avec ses valeurs. Ce n’est pas parce qu’en chine on se lance tête baissée dans l’IA qu’on a une conception du monde à l’Occidental.
Je note que même dans votre conversation avec GPT, ce dernier n’oublie pas la dimension spirituelle de la survie. 😉
Pour ce qui est des juifs et des arabes, ils ont vécu côte à côte pendant des décennies sans avoir besoin de s’étriper. Je ferai toujours la différence entre les croyants, plus généralement les peuples, et ceux qui les dirigent. Netanyahou se sert avant tout de la religion et de cette guerre pour s’éviter d’aller en prison.
Je suis comme vous Hervey, je suis à la recherche d’une porte de sortie. Mais aujourd’hui, alors que nous vivons dans une société connectée mondialisée, nous devons être vigilent à notre perception du monde occidentalocentrée parfois déconnectée du « reste » de l’humanité multiculturelle.
La relation entre l’homme et la machine est un héritage culturel dont on ne doit pas oublier l’origine occidentale. Chercher une conscience dans la machine n’est-il pas dans la continuité de l’homme-machine de Descartes ? N’est-ce pas également cet engouement de l’homme pour la machine qui nous a conduit à nos dérives technologiques actuelles ?
Ok, utiliser le mot « machine » ici a deux défauts, ce mot est impropre, ce mot est réducteur.
Maintenant si je qualifie ce mot de « sujet pensant », j’imagine que le « reste » de l’humanité si éloigné du monde occidental (mais pas que lui) sera lui-aussi divisée et qu’il faudra recourir à d’autres traductions.
Essayons de comprendre ces temps présents en évitant les à priori, quitte à se tromper.
Petite info séméaco- chinoise
Plutôt discrets, les ressortissants chinois de Bigorre ont été agréablement surpris par l’annonce de la visite du président de la République populaire de Chine ce mardi, Xi Jinping.
Au restaurant le Royal de Tarbes, on s’apprête à mettre les petits plats dans les grands, à
l’occasion de la visite officielle du président chinois Xi Jinping.
L’établissement va en effet fournir près de 200 repas à emporter ce mardi pour la délégation chinoise. « C’est un grand honneur de fournir ces repas de travail, détaille Shulin Hu, qui, originaire de Wenzhou, au sud de la Chine, œuvre ici en famille, avec sa femme Haihua et sa fille Jinyan.
C’est beaucoup de fierté de recevoir deux présidents ici.
Nous sommes très chanceux, comme eux, d’être ici, avec la montagne et des gens très gentils. »
Parfait…………… offert vu l’importance du sujet :
Une première minute fascinante… On ne le (Yannis) quitte plus… 1h12 ….prendre le temps de déguster…^!^…
Quant au suivi du désastre économique organisé soigneusement ! ( BELGIQUE)
… » Mais que va devenir cette usine extrêmement moderne et fonctionnelle ?
Quelle reconversion peut-on envisager pour ce site ?
Des marques d’intérêts commencent déjà à arriver, comme le constructeur chinois Nio, qui semble s’afficher comme candidat repreneur.
Mais l’histoire nous a appris que la reconversion de tels sites industriels, de grandes usines d’assemblages de véhicules, n’est jamais une mince affaire. … Que ce soit sur le site de Renault Vilvorde, d’Opel Anvers, de Ford Genk ou de Caterpillar à Gosselies, les effets d’annonce ont suscité beaucoup d’espoir, mais avec peu d’emplois à la clé pour les milliers d’ouvriers et employés licenciés. » ….
Point de vue (intéressant, de mon point de vue 😁)
« Le cerveau d’un enfant est capable de comprendre le sens d’un mot en l’ayant entendu qu’une seule fois. À l’inverse, même nos intelligences artificielles les plus perfectionnées ont besoin de milliers d’exemples pour saisir ce même mot. Pourquoi nos cerveaux sont-ils capables de comprendre avec si peu de données, contrairement aux IA ? »
https://youtube.com/watch?v=WugqxIrbkdw&feature=shared
@Pascal Le cerveau d’un enfant est même capable de créer un mot sans l’avoir entendu en extrapolant le génie de la langue.
J’en ai plein si vous voulez !😂
Comment appelle-t-on un paysage avec un bord de mer. Réponse : « un paysage merdique ? »
Qui était Marie Curie ? Réponse : « Moi je sais, moi je sais, le chanteur de Keen ! »
Quel est cet ustensile de cuisine avec une poignée dont on se sert pour faire cuire les pâtes ? Réponse : « Une carciole ? »
Malheureusement, on ne pense pas à tous les noter.
Y a-t-il des Lillois ou Lilloises pour aller à ce salon comme moi? J’aimerais que PJ organise à cette occasion une réunion des « Amis du Blog de Paul Jorion » comme autrefois…
@Vincent Rey Autrement dit on obtient le résultat qu’on veut à condition de poser les bonnes questions …
Il y a en effet un souci dans l’inflation du coût du logement dans le budget, sur les dernières décennies.…
@Pascal 127 milliards pour 60 millions ça fait 2000 par tête de pipe de quoi se payer une bonne bicyclette…
Votre esprit comptable-logico-rationnel m’a soudainement rappelé Primo Levi… (excusez) : « Auschwitz, un de ces noms qui définit à lui seul…
la comptabilité (pas plus que votre Woo Fon) ne m’intéresse nullement. Et, ne vous en déplaise, les grands artistes et…
@Rey qui dit : « 22 millions d’actifs sur 66 millions. Alors évidemment qu’on manque de cotisants pour les services publics…
J’ai toujours été fan de Joni, merci pour le partage 🙂
Le vrai non deTintin n’était il pas Léon Degrelle ? Si c’était le cas, la conversation n’a pas dû manquer…
Les routes et les ponts on les emprunte et on les partage déja… Les 10% leur patrimoine ils le gardent.…
Ukraine-Russie : une question de ‘front’ : une I.A. (russe) de « combat » défaillante…(?).. Deux exposés : https://www.lefigaro.fr/international/les-russes-abattent-au-dessus-de-l-ukraine-leur-propre-aile-volante-furtive-l-okhotnik-b-20241007 https://www.opex360.com/2024/10/06/les-forces-russes-ont-perdu-un-drone-de-combat-furtif-s-70-okhotnik-b-en-ukraine/ qui comporte…
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