Et pas moyen de choisir ce qui reste en clair dans nos mémoires… malheureusement… https://youtu.be/xTbAj1kgW9c?feature=shared ( Les petites boules de…
*Godot est mort !*
En attendant l’IA, ci dessous le lien pour la pétition qui marche très fort contre la Loi Duplomb qui est une régression écologique majeur. Déjà plus 200 000 signature, l’objectif étant 500 000 pour qu’elle puisse être réexaminée.
https://petitions.assemblee-nationale.fr/initiatives/i-3014
Faîte passer l’info 😉
Difficile de se connecter. Les serveurs de l’Assemblée Nationale sont-ils saturés ?
Merci Pascal ! J’ai la même impression.
Merci Pascal. Ce matin ça a fonctionné.
J’ai réussi aussi ce matin. Hier soir vers 16h on était à 212 000 signatures et ce matin 328 000, je comprends que les serveurs aient pu être saturés !
411 000 signatures à 12h30
472 000 signatures à 15h
Un hors sujet qui mettra du temps à apparaitre.
Un état, Israël, a obtenu le droit de tuer qui il veut et quand il veut, un peu comme James Bond 007, et tout ça en toute impunité. L’occident lui a attribué le 00.
On élimine des civils à Gaza, femmes et enfants , une vingtaine par jour, on élimine des palestiniens en Cis-Jordanie, on élimine aussi des responsables et dirigeants de tous les pays voisins, Liban, Syrie et Iran.
Et alors ?
Rien.
Aucune réaction d’ampleur, aucune sanction contre cet état, l’occident n’en finit pas de mourir.
@alvin 18 juillet 18h17 écrit : » Un hors sujet qui mettra du temps à apparaitre. » (( …Il s’agit de GAZA…!!! ))
Pardonnez-moi, @alvin… peut-être ne vous lisez-vous que vous-même et les réactions associées…???
Dans ce blog, ce serait une erreur… ((par exemple parmi tant d’autres… :https://www.pauljorion.com/blog/2025/07/17/pribor-nouvelle-etape-the-sky-is-the-limit/comment-page-1/#comment-1081745 et le suivant…..!!!!
Voici un VRAI et très INTERPELLANT « hors-sujet »…. :
((D’utilité publique amha ‘dramatique’…les germes institutionnalisés-US de la ‘prochaine crise’… ))
———————-Médiapart du jour….larges extraits…. signés Martine ORANGE…————————
Finance
Donald Trump lance l’ère des monnaies privées
En remerciement d’un soutien indéfectible du monde des cryptos , le président états-unien a fait adopter la première législation qui leur ouvre la finance quotidienne. Les géants du numérique sont déjà prêts à lancer leur propre jeton et à créer leurs paradis fiscaux dématérialisés.
Le monde des cryptos s’en réjouissait par avance : cela allait être leur semaine. Et tous leurs espoirs ont été comblés. Sous pression de Donald Trump, qui n’a pas hésité à tordre le bras à certains républicains réticents, le Congrès a adopté le 17 juillet la première grande législation autorisant les cryptomonnaies à entrer dans le monde de la finance quotidienne.
Présentée sous le nom de Genius Act , la loi leur donné une légitimité que les cryptoactifs n’avaient jamais pu obtenir jusqu’alors.
Elle autorise l’émission et la circulation des stablecoins – censés être plus sûrs car garantissant une parfaite parité avec le dollar – dans toutes les transactions financières sur le territoire américain .
À la seule condition que les émetteurs détiennent en réserve le même montant en dollars, bons du Trésor américain ou autres actifs indexés sur le dollar, afin de garantir en permanence la valeur de leurs jetons.
Sensibles au lobbying du secteur de la crypto, les parlementaires ont décidé d’accompagner ces autorisations d’un cadre réglementaire le plus lâche possible.
Les cryptomonnaies ne relèveront pas des autorités de régulation de la SEC (Securities and Exchange Commission), qui supervise normalement toutes les activités financières et monétaires, mais de la Commodity Futures Trading Commission, qui contrôle les marchés des matières premières.
Surtout, la Réserve fédérale aura interdiction d’émettre un dollar digital, qui pourrait venir concurrencer ces jetons privés.
…(…)…
Pour le monde des cryptos, le soutien à Donald Trump se révèle un des meilleurs retours sur investissement de ces dernières années.
Ses membres ont dépensé des centaines de millions dans la campagne présidentielle du candidat républicain. En contrepartie, le président américain, dans un premier temps très réticent à l’égard des cryptoactifs, leur avait promis un soutien sans faille dans leur développement et une législation des plus conciliantes.
Dont il est le premier bénéficiaire .
Toutes les enquêtes et procédures qui avaient été engagées contre les plateformes d’échange de cryptoactifs ou pour contournement des lois américaines ont déjà été arrêtées. Les régulateurs, spécialistes du secteur, ont été poussés vers la porte ou priés de se taire.
La monnaie fiduciaire, jusqu’alors bien commun et gratuit, devient payante pour le seul profit des quelques-uns.
La nouvelle législation leur ouvre maintenant toutes les portes pour s’introduire dans le quotidien des Américains. Jusqu’alors cantonnés dans le monde étroit des cryptoactifs, les plateformes d’échange et les émetteurs de stablecoins vont pouvoir investir tout l’univers monétaire et économique américain, et au-delà.
…(…)…
Des paradis fiscaux dématérialisés
Mais quel intérêt peut-il y avoir à payer avec un jeton numérique de 1 dollar – qui demande par ailleurs une énergie considérable pour être produit –, plutôt que directement avec un billet de 1 dollar ?
Pour les consommateurs, aucun. Pour les émetteurs, beaucoup.
Ils vont pouvoir mettre la main sur un pouvoir monétaire qui leur échappait et en se rémunérant largement.
Car tout achat de jeton donne lieu à un versement équivalent en monnaie. Ils ne conservent pas cet argent en cash mais le placent sur des actifs rémunérés dont ils conservent pour eux-mêmes le produit.
En un mot, la monnaie fiduciaire, jusqu’alors bien commun et gratuit, devient payante pour le seul profit des quelques-uns.
Mais l’intérêt ne s’arrête pas.
Car les émetteurs vont pouvoir créer leur propre monnaie privée, avec leurs seules règles, traversant les frontières, sans s’occuper des réglementations en vigueur, échappant à tout contrôle et à toute fiscalité. Poussant leur mouvement de sécession jusqu’au bout, quelques poignées de puissants et de riches sont en train de mettre en place des paradis fiscaux dématérialisés, bien moins contraignants que ceux qui existent, encore plus opaques et plus intraçables.
Les monnaies privées représentent un danger majeur pour le système bancaire en place.
Les géants du numérique s’en frottent déjà les mains : c’est le dernier pilier qui manquait pour parachever l’édifice de leur techno-féodalisme .
Sans attendre, Uber a déjà annoncé son intention de lancer son jeton Uber dans les plus brefs délais. Amazon et Walmart se sont mis aussi sur les rangs.
Et tous les autres sont prêts à suivre.
Les grandes banques ne sont pas en reste.
Avant même l’adoption du Genius Act, le président de JP Morgan, Jamie Dimon, a annoncé son intention de lancer son propre jeton bancaire.
Les responsables de Bank of America et Citigroup sont décidés à lui emboîter le pas. « Nous nous félicitions de la volonté de l’administration de faciliter l’accès des banques au marché des actifs numériques. Jusqu’à présent, il nous a été difficile de participer sur un pied d’égalité », a insisté Jane Fraser, patronne de Citigroup..
Le nouveau président de la SEC, mis en place par Donald Trump , a déjà dit qu’il mettrait tout en œuvre pour faciliter les projets bancaires dans les stablecoins.
Les bonnes affaires de la famille Trump dans le numérique
Pour Donald Trump, cela vaut tous les sauf-conduits : en moins de six mois, la fortune familiale s’est accrue d’au moins 620 millions de dollars grâce aux cryptos, selon les estimations de Bloomberg.
…(…)…
Dès le lancement du jeton numérique Trump, de nombreux responsables politiques et financiers s’étaient inquiétés du mélange des genres pratiqué par Donald Trump et des risques planant sur la présidence américaine.
« L’identité des acheteurs et des vendeurs demeure masquée. […] Cela signifie que des entités étrangères peuvent accumuler d’importants montants du jeton Trump sans révéler leur identité.
Ces transactions cachées peuvent diriger de l’argent directement ou indirectement dans l’écosystème Trump sans que le public – ou même les autorités de régulation – en connaisse la véritable origine » , s’alarmait un spécialiste de ces actifs.
…(…)…
Pour les banques, il y a urgence à trouver des réponses à l’émergence de ces monnaies privées : elles représentent un danger majeur pour le système bancaire en place.
D’une part, les banques risquent de voir fondre leurs dépôts, une partie se déplaçant vers les plateformes numériques pour acheter ces nouveaux jetons.
D’autre part, le contrôle des transactions financières, qu’elles assurent notamment au travers de Visa et Mastercard, risque de leur échapper.
Ces activités leur assurent des revenus récurrents et importants, une commission leur étant payée sur chaque achat par carte. En 2023, celles-ci ont représenté 224 milliards de dollars, rien que pour les opérations aux États-Unis.
Au royaume des mafias
Ces multiples projets de monnaie privée augurent mal de la suite.
Pour satisfaire leur appétit de pouvoir et de cupidité, beaucoup risquent d’être prêts à utiliser tous les moyens afin d’imposer leurs jetons par rapport aux autres.
La porte est d’autant plus largement ouverte que le Genius Act ne prévoit rien pour lutter contre la corruption, le blanchiment d’argent, les trafics en tout genre.
Garantissant un parfait anonymat, rendant quasiment impossible le traçage des opérations, le monde des cryptos est pourtant devenu le royaume des mafias, des bandes organisées en tout genre.
Les kidnappings d’acteurs de la crypto intervenus récemment en France –mais ils existent aussi ailleurs – en apportent une illustration.
De la Banque des règlements internationaux au Groupe d’action financière, toutes les grandes institutions internationales ne cessent de sonner l’alarme sur le rôle grandissant des plateformes numériques et des cryptoactifs dans le blanchiment des capitaux issus des trafics internationaux, dans le financement du terrorisme.
Ils sont désormais les canaux privilégiés pour la Russie notamment pour contourner les sanctions américaines.
…(…)…
L’histoire monétaire internationale fourmille d’expériences de monnaies privées. Comme le rappelle l’économiste Barry Eichenstein dans le New York Times, cela se termine toujours mal. Dans tous les pays du monde, cela s’est traduit par des échecs cuisants et mémorables : paniques et faillites bancaires, crise et instabilité financières.
Alors que le système actuel, pourtant régulé, n’est pas à l’abri d’une crise majeure comme en 2008, l’administration Trump choisit avec le Genius Act de semer les ferments d’un chaos monétaire international.
L’émergence de ces monnaies privées risque de mettre à mal non seulement un système de paiement centralisé, indispensable pour une économie mondiale interconnectée, mais aussi la confiance dans le dollar : la mauvaise monnaie chasse toujours la bonne.
Pessimiste, Maxine Waters, cheffe de file des démocrates à la commission des services financiers de la Chambre des représentants, déclarait, après l’adoption du Genius Act : « Tout est en place pour la prochaine crise financière. »
Martine Orange
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Un avis autorisé…??…^!^…
Au travers de Visa et Mastercard, une commission leur étant payée sur chaque achat par carte, la monnaie Bancaire est déjà largement privatisée !
Comment peut-on dire qu’un système de block-chain (si c’est le cas ) est intraçable ?
La crise financière est déjà attendue et cela ne serait qu’un avatar comme la création d’assignats en son temps gagés sur les biens nationaux, et autre manière de pratiquer l’inflation (des moyens de paiement).
Et pas moyen de choisir ce qui reste en clair dans nos mémoires… malheureusement… https://youtu.be/xTbAj1kgW9c?feature=shared ( Les petites boules de…
Verhoeven, Fassbinder, Lynch, Altman : des réalisateurs dont je ne me lasse pas de revoir les films.
Le Cun n’a pas compris que l’espace et le temps sont inscrits dans le lexique – au sens d’Aristote, en…
J’ai demandé à OpenAI o3 : « Est-il justifié de dire que la théorie que je développe (et dont le manuscrit…
Pence on Jeffrey Epstein files release: « The time has come » https://www.youtube.com/watch?v=hTVFsSPFCNE
C’est ce que j’évoquais plus haut, les mécanismes restent ceux de la corrélation et de l’auto adaptation des réseaux neuronaux…
Je n’écoute pas la propagande, je suis data scientist et développeur logiciel, je maîtrise donc parfaitement ce qu’il y a…
Posté aujourd’hui, la parole se libère… « I’m a Jeffrey Epstein Survivor. The Documents Are an Opportunity » https://www.youtube.com/watch?v=fzXdibjNDT0
Quand l’IA s’en mêle ! NEW HIT SONG – Releasing the Files (Trump’s Epstein Files Saga) https://www.youtube.com/watch?v=ELJhKli-dmk
Fumer du dur= boire sec=en prendre plein la tête .Pourquoi les hommes doivent-ils se défoncer et en mourir ?
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