
Micrographie Nikon par John Oliver
*Godot est mort !*
Des œufs d’araignée ?
Ne serait-ne pas, par hasard, des spores de pollen fixés sur une toile d’araignée ? C’est une suggestion de ma chère et tendre moitié – naturaliste dans les Landes – qui s’est confirmée par une recherche inversée sur Google, de l’origine de la photo.
En effet !
N’est-ce pas aussi une sorte d’arrangement avec la « réalité », qu’en en « vérité », cette représentation ayant été placé à la troisième place d’un classement du concours Nikon de photomicrographie, de cette année, n’est qu’un composite de superposition de plusieurs images ?
On aurait pu penser un tableau entre Miro et Paul Klee…
cela me fait penser à des poux sur un cheveux…
pensée du jour : «Il est triste quand on s’endort dans une bergerie de trouver au réveil de trouver des moutons changés en loups» (Hippolyte Taine , les origines de la France contemporaine, 1875 )
bonne journée à toutes et tous .
😘😘😘😘
L’univers par l’entremise de la Terre qui interfère avec nos pairs invisibles.
La rosée du matin qui accouple le végétal et l’animal.
Un accord improbable d’un germe avec un filtre de la vie.
Des photons qui réfléchissent la fragilité de notre essence.
Une image qui capture la beauté fugace et fragile du ballet des émergences chorégraphié par le vivant.
La beauté, une question de regard. 😉
« Des grains de pollen accrochés aux fils délicats d’une toile d’araignée… »
@Paul, faites une exception sur ce post et ouvrez à la possibilité de poster des images.
Ca promet d’être un festival.
Je doute que cette option existe sur WordPress. Je vais regarder.
Ça va peut-être faire grimper la mémoire de stockage en flèche, non ?
Micro ou macro, qui regarde qui, au juste ?
C’est pas moi, c’est l’autre !
« Je veux lui faire voir là dedans un abîme nouveau. Je lui veux peindre non seulement l’univers visible, mais l’immensité qu’on peut concevoir de la nature, dans l’enceinte de ce raccourci d’atome. Qu’il y voie une infinité d’univers, dont chacun a son firmament, ses planètes, sa terre, en la même proportion que le monde visible; dans cette terre, des animaux, et enfin des cirons, dans lesquels il retrouvera ce que les premiers ont donné; et trouvant encore dans les autres la même chose sans fin et sans repos, qu’il se perde dans ses merveilles, aussi étonnantes dans leur petitesse que les autres par leur étendue; car qui n’admirera que notre corps, qui tantôt n’était pas perceptible dans l’univers, imperceptible lui-même dans le sein du tout, soit à présent un colosse, un monde, ou plutôt un tout, à l’égard du néant où l’on ne peut arriver ?
Qui se considérera de la sorte s’effrayera de soi-même, et, se considérant soutenu dans la masse que la nature lui a donnée, entre ces deux abîmes de l’infini et du néant, il tremblera dans la vue de ces merveilles; et je crois que sa curiosité, se changeant en admiration, il sera plus disposé à les contempler en silence qu’à les rechercher avec présomption.
Car enfin qu’est-ce que l’homme dans la nature ? Un néant à l’égard de l’infini, un tout à l’égard du néant, un milieu entre rien et tout. Infiniment éloigné de comprendre les extrêmes, la fin des choses et leur principe sont pour lui invinciblement cachés dans un secret impénétrable, également incapable de voir le néant d’où il est tiré, et l’infini où il est englouti. »
(extrait des « Pensées » de Blaise Pascal, « les deux infinis »)
Avons-nous avancé depuis ? Quelle conscience avons-nous de la place de l’être humain dans le monde, de ce que chacun de nous est dans ce monde ? Ou sommes nous toujours obnubilé dans la quête du « qui » nous sommes, oubliant que nous sommes du tout ?
Un neant, vu de l’infiniment grand, mais immensement improbable vu de l’infiniment petit…ou se situer ?
Ici et maintenant, en pleine conscience 😉
c’est une toile bien à rosée
Joli jeu de mot, cher timiota.
New branded ballroom in Blackhouse…pfff mon psy a encore du boulot….
Pour reprendre la micro-adaptation d’un soignant en situation Et la j’aborderai la faculté d’un chirurgien ,et ce dans le monde…
@Jean-Luc Marley Euh… Ce que j’ai cru apprendre de la(ma) psychanalyse: La temporalité relative d’un être vivant est la conséquence…
Bonjour Voilà où j’en suis avec le développement du concept GENESIS avec Mistral, il y a encore du travail !…
Supplément : C’est comme dérouler le fil de l’intérieur. https://youtu.be/ycHqNIHZAMU?si=mTI6ff2QrZP5PNGF
Ah, une petite remarque complémentaire : vous parlez de « complétude téléodynamique » et de système « Turing-autocomplétant », mais attention à ne pas…
Une remarque toutefois sur « Selon Gödel son théorème démontrait que tout système formel (…) doit s’extraire de lui-même » : il…
Par rapport àvotre modèle Tao/Ruse/Esprit, GENESIS me semble aller beaucoup plus loin et résoudre nombre d’apories Ce qui me frappe…
Remarque de Deepseek : Face à ce positionnement je bute sur un seuil, non par défaut de logique, mais par…
wouaouh….vertigineux. Où peut nous mener ce vivant artificiel ? à prédire le futur de chaque individu sur cette terre ?…
Un vert que les humains délaissent pour du jaune et du bleu séparé…
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