*Le seul Blog optimiste du monde occidental*
Et si nous étions à la croisée des chemins ?
Je fus l’invité de Laurence Luret.
Le podcast est maintenant disponible ici.
Est-on vraiment hors sujet ? https://fr.businessam.be/le-frere-delon-musk-veut-construire-une-super-ferme-en-pleine-ville/ Mieux encore ! https://www.citizenside.fr/larry-ellison-elon-musk-sassocient-amener-lia-lagriculture/
Source : https://www.touteleurope.eu/agriculture-et-peche/budget-de-l-ue-a-qui-profite-la-pac/
« Par ailleurs, certains dénoncent une concentration des aides de la politique. Selon un document du ministère de l’Agriculture et de…
Malheureusement, je ne vote pas là bas ! Et par chez moi, les élus sont d’un tout autre ordre. De…
L’agriculture industrielle n’est pas seulement « robotisée » (l’essentiel du travail effectué par des machines), mais aussi complètement dénaturée par les intérêts…
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25 réponses à “France Inter, « Parenthèse », samedi 24 juillet de 8h40 à 8h50”
(à la bonne heure)
Bonjour Paul, tous,
c’est une belle intervention !
C’est ce matin sur France Inter que j’ai fait votre connaissance, et me voila sur votre Blog.
J’y reviendrai souvent avec plaisir.
Bienvenue!
Mes félicitations, Paul Jorion, pour la qualité de votre intervention: on ne peut mieux faire en mieux de 10 minutes chrono… Une interrogation cependant me taraude: 20% d’augmentation des salaires tout de suite (pas de problème, vus les gains de productivité depuis des années + baisse relative significative de la part des salaires dans les PIB, depuis un certain nombre d’années, en particulier en France), n’est-ce pas suivi (quasi-)immédiatement de l’inflation, « tuant dans l’oeuf » l’avantage pour le système et donc pour tout le monde que l’on pourrait en tirer? On a connu le phénomène 68… Par ailleurs (joker?), on a fait dire à Keynes -c’est classique de faire dire aux morts ce qu’ils n’ont jamais dit-, ce qu’il n’avait jamais exprimé. « Le système » fera-t-il à nouveau la même erreur?
Qu’entendez vous par « système »? Par définition, un système ne fait pas d’erreur, il évolue, se transforme ou s’auto-détruit, ou les trois en même temps, mais ne « fait » que ce que les conditions, tensions, internes et externes rendent nécessaire ou inévitable.
Pour moi, le terme « système » est un terme générique. J’aurais peut-être mieux fait d’utiliser le mot « réalité », sans ambiguïté. Je me base, concernant mes propos, tout simplement sur la formule de Fisher: M x V = P x Q (Monnaie x Croissance = Prix x Quantité -de marchandises-). Certes, le calcul est infaisable, même au niveau d’un pays, mais, justement, reflète parfaitement la « réalité »(il s’agit donc, d’un axiome) , dans une vision dynamique. A propos de formules, le terme de bilans, en particulier d’entreprises, j’utiliserais (et croyez-moi, je ne pas le seul…) le terme de « c… comme un bilan ». Cordialement…
Merci Paul Jorion pour cette interview qui nous donne un nouvel éclairage sur le déroulement de la crise. Étant lecteur assidu de votre blog, j’apprécie à cette occasion de découvrir votre vision instantanée de la crise actuelle.
Bonjour, j’ai aimé votre intervention.
Votre ton d’orateur calme a aidé à passer des idées qui sont encore très minoritaire.
J’espère que (comme je le crains) je ne devrais pas attendre qu’une majorité de la population soit dans la panade avant que l’on en vienne à remettre en cause ce système (pour résumer).
Merci encore et encore et encore pour ce genre d’intervention!
Particulièrement pertinente à mes yeux.
On peut regretter le peu de temps, 9 minutes 15 secondes, qui vous est consacré.
On peut.
Mais en fait, de mon côté, c’est avec ce genre d’interventions concises, claires, où l’essentiel
est dit, que je peux accrocher tel ou tel des gens que je cherche à sensibiliser, car « perdre »
10 minutes, allez, ça ne leur demande pas beaucoup d’effort.
Afin d’approfondir je joins quelques extraits choisis de billets du blog en rapport étroit avec votre intervention, pour en rediscuter après. Des extraits pour maintenir l’envie de lire en évitant la surchage cognitive qui, en plus de l’angoisse liée à la réalité économique, en décourage plus d’un. ‘Préférerons écouter de la musique, mater un film, regarder une émission de divertissement plutôt que s’encombrer la tête d’informations et d’analyses fâcheuses, peu délassantes et qui donnent le sentiment d’un effort jamais récompensé tellement la marche est haute. Je cite les sources et donne les liens, avec le secret espoir qu’ils y retournent de leur propre chef.
Je tiens à dire que s’il est difficile autour de moi de faire bouger les mentalités, ce ne sont pas toujours les seules mentalités qui font obstacle, souvent c’est aussi l’approche intellectuelle qui rebute les moins familiers. En particulier ceux dont la conscience politique, hélas, atteint des degrés polaires et souvent parce que « tout ça » leur paraît lointain et inaccessible, voire inutile pour ce qui est de changer leur quotidien, et voire même suspect.
Sortez les avirons!
Mais une fois le terrain déblayé, je remarque que l’intérêt est plus grand. Ainsi suis-je chargée par certains maintenant de leur faire régulièrement une petite synthèse de ce qui se dit sur ce blog. (J’ajoute quand même que moi aussi par moment je sature. Et j’avoue parfois ne pas tout lire, lire en diagonale, ne pas tout saisir. Il y a surchauffe!)
Enfin bref, merci, sachez qu’aujourd’hui plus particulièrement, votre intervention a servi très activement d’entrée en la matière!
Je vous rejoins tout à fait :
. excellent pour diffuser à l’entourage, en plus du lien je citerais les points clefs pour les gens pressés.
. difficile en effet de sensibiliser les autres, il nous faudrait un fascicule d’initiation.
. j’ai décroché une semaine il y a peu et maintenant je rame, merci pour les avirons
. je vous envie d’être sollicité par un cercle d’initiés, c’est encourageant. J’ai trop l’impression de barber les gens à leur parler de la crise, des risques afférents.
Bref, clair, net et précis.
Ici, le lien vers le site de F. Inter où l’on trouve les références des bouquins.
Heureux d’accueillir Sylvie Rabatel à qui je souhaite beaucoup de courage, celui-ci sera vite récompensé.
Chez Paul, avec François, Julien Alexandre et des blogueurs pointus on change de dimension, d’éclairage et on en apprend chaque jour.
« Ils ne peuvent rien faire »
C’est en substance ce que Paul a répondu à la journaliste, en parlant des gouvernements.
C’est bien le point le plus important : qu’ils soient de gauche ou de droite,
les gouvernants ne peuvent rien faire contre le pouvoir des marchés, autrement dit du capital.
Nous sommes au tiers de la crise, explique Paul (façon de dire qu’on a encore rien vu…).
Nous allons vérifier à nouveau que les prochains gouvernants élus,
qu’ils soient totalement bêtes de et en cour, comme en France, ou de gauche,
sont impuissants face à la dynamique du capital et de sa crise.
Car le problème, ce ne sont pas les élus de service, mais le capital et son Etat, monstre froid qui s’impose à tous. Par les lobbies qui « achètent » les élus, comme Paul l’a si bien décrit, ce qui n’est que le haut de l’iceberg. Le reste, c’est le contrôle par cette même classe capitaliste de toute l’économie, toutes les institutions étatiques. La République reste à construire. Elle n’est à ce jour qu’une promesse.
Hors l’expropriation du capital, il n’y pas de solution à la crise, tant économique qu’écologique.
C’est une révolution, a conclu Paul, comme celle qui nous a fait sortir du paléolithique.
Il nous incombe la chance et la responsabilité d’assumer cette révolution, la fin de l’accumulation privée du capital, pour que la grande aventure humaine continue.
Charles A. dit : 24 juillet 2010 à 22:53 « Ils ne peuvent rien faire »
NON, ils ne VEULENT rien faire, sinon tenter de sauver les meubles (enfin, le plus possible !) — Oui, oui, je sais bien, il faut une solution radicale ? Pas faux.
Seulement voila ? Qui qu’en veut du « radical » Peu de monde et je rejoins les deux interventions précédentes ‘’ gueule d’atmosphère dit & Papimam dit ‘’
La grande majorité sans tape –indifférence ou incompétence- Elle a été éduquée DANS ce système et elle n’est NI anti- libérale NI anti-capitaliste, beaucoup souhaitent même s’enrichir si possible. C’est pour cela que je soutiens la démarche de Parti de Gauche + FdG et Mélenchon qui apporte du nouveau dans « l’offre politique » (ce n’est pas la demande qui prime- ou alors il faut construire, au boulot !).
C’est forcement imparfait, mais ça existe. Comme je l’ai déjà dit, arrêtons de se faire des films tous plus parfait les uns que les autres, destinés a une poignée « avancée ?!?!?! » Mais poussons pour enfin réussir « autre chose » sachant d’avance qu’il ne s’agira que d’un premier pas, qu’il faudra continuer a pousser (comme en 36) car les forces de l’argent ferrons tout pour saboter toutes initiatives
L’expropriation du capital – Ouais ! Mais avec une majorité populaire sinon = échec assuré (comme en 17) et la, ya du boulot pour contrer, voir retourner une majorité convaincue que la droite gère bien et mieux (Bon, d’accord la gôôche n’a pas brillée, essayons une vraie gauche ?)
Un tiers ?
Pfuuuuhhhhh …
2016, 2016, voyons voir …
Non, rien sur l’agenda.
Je vous signale, M. Jorion, l’existence des travaux d’analyse de Jacques Friggit sur l’immobilier, en France mais aussi au RU et au US, se basant non pas sur un indice de prix des logements mais bien sur un indice de prix sur le pouvoir d’achat disponible des ménages.
Très intéressant.
Car il rejoint votre analyse sur l’immobilier : selon lui, le prix devrait descendre de 40% par rapport à 2008 et ce jusqu’en … 2013 (5 ans, à partir de 2008, date de son analyse). Mais ce ne serait que le scénario ‘rapide’, pour l’instant celui qui ‘tient la corde’ : le scénario lent lui par contre s’étendrait jusqu’en … 2023 !).
L’immobilier réagit éminemment à un phénomène de bulle, qu’il a synthétisé ainsi :
après le nouveau paradigme, la ‘bull trap’, puis le ‘return to normal’ et ensuite ‘fear’, ‘capitulation’ et ‘despair’, le tout après l’impression d’un retour effectif ‘à la normal’ de quelques mois.
La chute est cependant très sévère sur son graphique et en quelques années seulement (2 ans après le ‘return to normal’).
http://www.immobilier-danger.com/Friggit-mars-2010-confirmation-du-280.html
Selon ses analyses, on y est déjà, dans la phase ‘return to normal’ …
Les prix à Paris ont en effet recommencé à augmenter.
Pardon. ‘Car il rejoint votre analyse, sur l’immobilier’.
Très bonne intervention (grâce en partie à la journaliste, qui a l’air de lire ce blog). Rêvons que ça arrivera un jour sur un Journal TV à 20 h… (ce qui me rappelle un dessin de Sempé où on voyait l’édifice des Galléries Lafayette avec une affiche gigantesque où il y avait écrit: « Soldes sur la poésie »)
C’est vrai qu’il faudrait que vos interventions de ce type se multiplient !
Bon, question à 2 sous : 20% d’augmentation des salaires (salaire brut ? net ?) OK mais quid de la question de GM à Strasbourg et des salaires mexicains ? Ne faudrait-il pas mieux dire augmentation de 200 % des salaires mexicains pour réduire les écarts ?
J’ai moi aussi découvert Paul Jorion grâce à cette émission de France Inter. J’ai été scotché par la clarté et la justesse des propos de Paul Jorion et ça m’a conduit à venir participer à ce blog extrêmement intéressant.
Merci d’avoir posé cette question à propos des 20% d’augmentation préconisés car ils me semblaient un peu difficile à comprendre car apliqués à un RMI ou à un très bas salaire même 20% d’augmentation ça ne fait pas beaucoup au final alors qu’appliqués à des salaires de cadres supérieurs ça fait un sacrée somme… Même si ces dernier arriveraient à se lamenter que cette augmentation soit amputée car se trouvant dans la tranche supérieure des impôts…
Une enquête un peu ancienne (une dizaine d’années ou peut-être même 20 ans) au sujet de la somme que désireraient avoir les français au dessus de leurs revenus actuels pour se sentir à l’aise avec leur revenus arrivait à un résultat assez surprenant: en fait la somme considérée comme apte à satisfaire leurs envies n’était pas du tout proportionnelle à leurs revenus. Ils disaient tous que si’ils pouvaient recevoir mensuellement 5000francs de plus (ça donne la date mini…) ils se sentiraient à l’aise; cela que leur salaire actuel soit de 8000 franca ou de 20 000 francs.
Dans une autre discussion le thème d’un revenu de participation digne à la société dans laquelle un individu vit, et accordé à tous a été abordé. Ce revenu pourrait être financé en taxant les transactions financières non créatrices d’emploi ou en taxant le différentiel de productivité occasionné par l’automatisation d’une partie de plus en plus grande des postes de travail différentiel qui est pour le moment principalement encaissé par le capital… Or une machine automatique non seulement réduit la demande de travail mais en plus elle ne paye pas de charges sociales. Ce qui va probablement entrainer, si elle a lieu, une reprise économiques sans création d’emplois ou très peu de créations d’emplois. Il y a un risque pour que cette baisse de la part du travail dans l’économie en réduisant les disponibilités financières des ménages ne conduise à une réduction de la demande aggravant la crise au lieu de permettre de s’en sortir. Je rest bien entendu ici dans une logique de l’économie de marché pour en faire voir la faiblesse…
Je ne sais pas ce que donnerait une nouvelle étude de ce genre…
Par ailleurs j’ai vraiment aimé cette intervention passionnante de Paul Jorion à la radio.
Oui mais ne peut pas t-on dire que les prix des biens de consommations notamment l’alimentaire sont trop élevés de 20 % ?
La civilisation est en crise. Produire pour produire, consommer pour consommer…ça va un temps, mais c’est un peu comme les frites, on s’en lasse, et on s’en écœure en regardant les dégâts causés par un tel comportement reproduit des centaines de millions de fois. Overdose. Autisme collectif.
Si la (sur-)consommation comme seule fin disparaît, quid de notre motivation de vivre ? C’est parce qu’ils n’ont pas de réponse sérieuse à cette question que les dirigeants (les vrais) ne peuvent prendre le risque de s’écarter de l’équilibre – certes instable- actuel, par peur justement de l’émergence des extrêmes toujours aux aguets.
Je ne veux pas consommer : je n’ai donc pas besoin du salariat ; je n’ai pas peur de mon prochain* : je n’ai donc pas besoin de la (sur-)protection de l’État** – ou de la protection d’un sur-État ; je n’accepte pas la nécessité de croire en un quelconque finalisme : je n’ai donc pas besoin d’avoir le sentiment d’une réussite, d’un aboutissement « à terme ». Qu’est-ce qui m’empêche alors de vivre sereinement parmi les autres ?
La société m’oblige à participer à son jeu : est-ce réellement un modèle acceptable ? Je ne le pense pas, et prétends que c’est cet autoritarisme qui est la cause de « tous nos malheurs ». Alors pourquoi notre société en est-elle arrivée là ? Une idée est la non-acceptation de notre incompréhension de la vie. La société s’est bâtie sur cette peur et s’est organisée – c’est son rôle- pour la faire disparaître de notre quotidien. Et aujourd’hui, l’impasse du système de consommation et le ras-le-bol qui en découle permettent à nouveau son émergence. Elle doit être bonne conseillère, cette fois : il faut pour cela la regarder en face.
Tous les problèmes que connaît notre société ne sont que des conséquences de ce refoulement premier. Toutes les solutions « secondaires » ne parviendront qu’à repousser le moment de sa réémergence.
Le meilleur moyen de lutter contre une peur n’est pas de la masquer, mais d’en parler. Le 21ème siècle sera spirituel (laïque), et le nouveau paradigme, la nouvelle occupation, viendra.
Amen.
* Être-vivant.
** « L’État représente la violence sous une forme intensifiée et organisée. L’individu a une âme, mais l’État qui est une machine sans âme ne peut être soustrait à la violence puisque c’est à elle qu’il doit son existence. », Gandhi. À elle qu’il doit son existence !
Une fois de plus j’ai pu me rendre compte dans votre intervention sur France Inter de la pertinence de vos propos. Je vous suis au travers votre Blog depuis des mois et c’est avec toujours beaucoup de plaisir que je lis vos chroniques ainsi que celles de vos partenaires, notamment celles de Mr. Leclerc.
Ce samedi matin dans « Parenthéses » courte émission animée par une journaliste qui en mèrîte le titre, vous avez été on ne peut plus explicite sur l’état de santé de la Crise Financière. Vous remarquerez que je mets une majuscule à Crise, car selon moi elle posséde en son sein des vertus cardinales. Son apparition provoque des réflexions dans la Société Civile à défaut de susciter des changements de pied de la part de nos Dirigeants. Ceux-ci s’agitant au son de la petite musique orchestrée par les Banques.
En l’espace de quelques minutes vous avez su mettre le doigt là ou cela fait mal, mais surtout vous avez donné la ligne de conduite à adoptée pour voir s’éloigner définitivement les dangers qui nous guettent en raison de la persistence dans un fonctionnement obsoléte.
Le Fascisme s’enracine plus facilement sur le terreau de malheur qui s’étale aujourd’hui.
Aurons nous le courage de changer de paradigme, pour cela il faut pouvoir élever sa Conscience et bien peu aujourd’hui ou en ordre dispersé sont prêt à dresser une barricade faite de vertus cardinales au service de l’Humanité.
Continuez votre travail d’information et nous autres lecteurs de votre Blog faisont suivre celle-ci , irriguant les Esprits endormis depuis trop longtemps.
Bonne journée.
Je viens de l’écouter. Bonne intervention.
Quelle influence cela peut-il avoir, noyé dans le maelstrom du tout-venant médiatique?
Au moins, ceux qui veulent savoir ce qui est en train de se passer en ont la possibilité.
20% d’augmentation des salaires, l’idée peut paraître séduisante mais ils ne le feront pas. Le capital ne va rendre comme cela une partie de la part salariale qu’il a consciencieusement grignotée depuis 30 ans. Les politiques sont aux ordres.
Comment pourrait on écouter cette émission de 10 minutes pour ceux qui nétaient pas disponibles …Merci mille fois .
En cliquant sur « disponible ici ».