Non, une combinaison d’immobilisme et de mise en application des rêves les plus fous d’un syndicat patronal, n’équivaut pas à une politique : ce n’en est que la caricature. Et ceci serait vrai même pour un gouvernement qui s’affirmerait lui sans ambiguïté comme étant de droite.
Non, le remaniement ministériel n’est pas le nec plus ultra de la remise en question d’une caricature de politique lorsque celle-ci est, comme c’était à prévoir – et avait d’ailleurs été prévu, en rade, deux roues dans le fossé.
Il est certain que cette histoire fait mauvais genre. Quoi, des journalistes du service public, normalement dévoués au sacerdoce de…