Alors que chacun y va dans l’affaire BNP-Paribas de son couplet persécutoire (même Michel Rocard – mamma mia ! – s’y colle aujourd’hui avec son Affaire BNP : les États-Unis coupables d’abus de pouvoir [authentique !]), le Wall Street Journal nous apprend ce soir que Koen Geens, le ministre belge des finances du gouvernement sortant, « a exprimé son inquiétude quant à la gravité des charges contre BNP-Paribas et a demandé à rencontrer bientôt à Bruxelles le P.D.-G. de la banque, Jean-Laurent Bonnafé […] M. Geens ‘souhaite se faire une opinion précise quant aux leçons que les dirigeants et l’ensemble des responsables ont tirées de ce qui s’est passé, y compris en matière de transparence à l’égard des actionnaires’, selon les propos du ministre. »
Ce qui confirme que ramper est un choix, et non une obligation.
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