Europe : La traduction de l’implicite en explicite est impérative

Si vous suivez la discussion qui fait rage en ce moment, ouverte par le billet de Zébu (Une manoeuvre grossière mais habilement menée) me reprochant d’avoir rejoint l’appel Brexit : vingt intellectuels eurocritiques lancent un appel pour un nouveau traité, vous aurez remarqué comme moi que tous les contributeurs du blog de la première heure se retrouvent à nouveau réunis dans cette discussion. C’est une excellente chose, même si les positions sont tranchées de part et d’autre, et les propos parfois peu amènes. Ce qui apparaît en surface est du non-dit : beaucoup de non-dit entre nous, beaucoup de non-dit sur l’Europe, son histoire, ses inféodations, anciennes, actuelles et potentielles.

La traduction de l’implicite en explicite est impérative, c’est son manque qui empêche l’apparition d’une utopie rassemblant les bons esprits et les forces qu’ils représentent dans un combat commun. Continuons jusqu’à ce que les enjeux véritables apparaissent en pleine lumière.

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