On m’oppose souvent dans des débats, des émissions de télé ou de radio, comme une évidence sidérante par son irréfutabilité, que le capitalisme nous a tous rendus très riches. À quoi je réponds invariablement que selon moi nous serions 100 fois plus riches SANS le capitalisme.
La vérité c’est que la nature était à ce point généreuse envers nous que le capitalisme dans sa rapacité sans bornes n’était pas parvenu à l’épuiser. Mais il y a des limites à tout et le miracle touche à sa fin.
(suite) Une fleur de lis émergeant « bottom-up » d’un toupet de roseaux ? Ou une fleur de lis se nourrissant « top-down »…