« Mes vacances à Morro Bay » et « Moon River », par Éliane Chaponik

Cher monsieur, c’est étrange mais la lecture de votre livre m’a fait penser à la chanson « Moon River » avec ses paroles décousues, où l’on passe de ce que l’on va faire : traverser la rivière… un de ces jours, à un mystérieux dream maker briseur de coeur, que l’on va suivre partout où il ira… Ensuite de deux personnes qui semblent ne pas savoir que faire à part vouloir peut-être parcourir le monde : il y a tant de choses à voir… on se retrouve là où finit l’arc-en-ciel en compagnie de my huckleberry friend, « moon river and me ».

Mais voilà, il y a la musique très nostalgique. C’est cette valse lente que l’on entend au-delà de votre écriture…

Cordiales salutations

Partager :

Contact

Contactez Paul Jorion

Commentaires récents

  1. Je crois que je vais utiliser le chanvre qu’il me reste pour me pendre… 😉

  2. Trollichon, on pourrait peut-être se tutoyer maintenant. Tu souhaites que je m’interroge sur cette clé qui ouvrirait toutes les portes…

  3. Dans ce livre, l’auteur explique que l’annonce de l’avènement de la singularité est le fait de quelques individus qui sont…

  4. Bonjour dd, Je n’ai pas lu ce livre, mais effectivement j’ai les plus grands doutes quant à la réalité de…

  5. Thom serait resté droit dans ses bottes ! Je ne sais pas quand il a écrit ce qui suit mais…

Articles récents

Catégories

Archives

Tags

Allemagne Aristote bancor BCE Boris Johnson Bourse Brexit capitalisme centrale nucléaire de Fukushima Chine Confinement Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon John Maynard Keynes Karl Marx pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés spéculation Thomas Piketty Ukraine ultralibéralisme Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »

Meta