Jean-Pierre Mocky, qui nous a bien fait rire – mais d’un rire tout particulier : celui du cancre, de l’insolent, du rebelle-à-tout faire.
Il tournait tout ce qui lui passait par la tête, dans un style puis dans un autre, ça plaisait ou pas au public, il s’en foutait, trouvant son inspiration dans sa foi en lui-même et dans rien d’autre, confiant au monde le soin de s’adapter comme il le pouvait au cinéma sous sa forme à la fois brute et purifiée telle qu’elle bouillait en lui et telle qu’elle émanait de lui.
Adieu. Ou à plus tard (j’aimerais bien !).
@Vincent Rey Bien sûr, l’éventuelle extermination/disparition (prématurée) de l’espèce humaine est un souci auquel il convient de penser. Mais sans…