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Ce dialogue dans un vieux western (?) qui se passe chez les quakers (?) qui bêchent durement la terre :…
*Godot est mort !*
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Le donald s’amuse. Il ne s’est jamais autant amusé! Il est l’animateur global d’un « the apprentice » mondial! Plus fort qu’Elvis…
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@Grand-mère Michelle Comme les deux prix Nobel attribués à Maria Salomea Skłodowska, de l’empire russe, pour faire plaisir aux féministes…
Il s’était choisi un maitre pour l’accompagner dans ses études … heureux des bons résultats, il le cite et lui…
Le coca-cola est bon, mais lui il a l’vin mauvais ! 😇
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Une réponse à “L’Angleterre (1959-63) – « Look Back in Anger »”
Ce texte de David Olusoga, qui a fait ses débuts à Bristol,
https://www.theguardian.com/world/2020/jun/11/i-shared-my-home-with-edward-colston-for-more-than-20-years-good-riddance
me semble un très bon écho de ce qui se passe « dans la vraie vie », autour des Colston et autres, à Bristol en particulier.
Ce qui est devenu insupportable, c’est l’effort d’un ou deux siècles de « blanchissement de réputation »
qui fait que seulement leur côté philanthrope a été gardé au fronton de l’histoire, tandis que
tout le reste de l’histoire des traites, jusqu’au dernier remous du « Windrush » (les gens, jamaïcains surtout, du Commonwealth
revenu au Royaume Uni en 1948, et qui ont peiné à être reconnu comme citoyens sous les mandats récents de Cameron et surtout May,
la ministre Amber Rudd étant partie de l’histoire (comparée aux recrues trumpiennes, elle avait pourtant l’air intelligente)), tout cela, donc,
était gommé, repoussé dans les coins.