Que vais-je faire du reste de ma vie ?, le 5 septembre 2020 – Retranscription 

Retranscription  de Que vais-je faire du reste de ma vie ?, le 5 septembre 2020

Bonjour, nous sommes le samedi 5 septembre 2020 et, comme vous le voyez, je suis rentré chez moi. Vous le reconnaissez aux murs encombrés et on devine d’ailleurs… Tiens, je vais vous montrer ça. On devine d’ailleurs le dernier tableau qui n’est pas encore pendu au mur. Je vais en profiter pour vous le montrer. Alors, je ne sais pas trop comment on fait pour vous montrer ça. Il faut que je fasse comme ça, quelque chose comme ça. Alors, est-ce qu’on le voit ? Ouais, on le voit, voilà. Vous voyez, c’est du même style que ce que j’ai jusqu’ici. C’est un Gary Baseman. Voilà.

Bon, ce n’est pas de ça que je voulais vous parler. Ma vidéo va s’intituler : « Que vais-je faire du reste de ma vie ? ».

Il y a une raison à ce que j’appelle ça comme ça et la raison, c’est le fait que je vienne de terminer, avant-hier, à 18h50, je le sais parce qu’on m’attendait pour partir en direction du village où il y avait le restaurant, et j’ai terminé ça 10 minutes avant le dernier délai, le deadline qu’on m’avait donné, mais j’y suis arrivé. C’est parti [La chute de la météorite Trump. Tome 2. « Haute trahison »]. C’est parti, aux Éditions du Croquant et donc, maintenant, on est lancé dans le processus de publication.

C’est un travail de 5 ans. Ma vie s’explique depuis les 15 dernières années par tranches de 5 ans vous le savez sans doute. Pendant 5 ans, j’ai alerté le monde, sans grand succès, sur le fait qu’il y aurait une crise et que cette crise serait déclenchée par le secteur du subprime aux États-Unis, secteur immobilier : celui des emprunteurs dont les moyens financiers sont limités.

J’ai préparé tout ça. J’ai annoncé ça pendant 5 années et puis, qu’est-ce qu’il s’est passé ? Ça a eu lieu et là, pendant 5 ans, on m’a demandé : « Pourquoi ne vous a-t-on pas écouté ? ».

C’est Karl Marx qui avait dit « L’histoire a toujours lieu deux fois et la seconde, c’est une farce » [« Hegel fait quelque part cette remarque que tous les grands événements et personnages historiques se répètent. Il a oublié d’ajouter : la première fois comme tragédie, la seconde fois comme farce »]. J’espère que la seconde fois sera une farce. Pourquoi ? Parce que pendant 5 ans maintenant, je vous ai annoncé une autre catastrophe. Je l’ai annoncée au cours de l’année 2015 : qu’elle se préparait et ensuite, le 9 novembre 2016, j’ai fait un billet ici qui s’appelait : « Un proto-fasciste va diriger la première puissance mondiale ».

J’ai employé le mot « proto-fasciste ». Aux États-Unis, il a fallu à peu près 4 ans de plus pour qu’on commence à prononcer ce mot. En fait, on ne le prononce que depuis, allez, au grand maximum 6 mois. Tout le monde en parle maintenant parce que l’avènement du proto-fascisme est en train de se préparer activement de son côté à lui, et devant l’impréparation totale des autres.

Et donc, moi, j’ai un livre qui va sortir dans les semaines qui viennent (le temps qu’on le sorte, qu’on le publie). C’est quand même calculé pour que ça sorte avant le 3 novembre, le jour des élections et, dans ce livre qui est le 2e tome d’ailleurs, le 2e tome d’un livre qui s’appelle « La chute de la météorite Trump ». Le 1er tome s’appelait « Un objet populiste mal identifié ».

Aussitôt que j’ai eu terminé le premier tome, l’année dernière, j’ai dit : « Bon, le second tome s’appellera ‘Haute trahison’ ». J’ai hésité un petit peu en cours de route et puis, à l’arrivée, je me suis dit : « Non, c’est de ça qu’on parlera un jour ». Espérons que ce ne soient pas uniquement des gens en prison qui en parlent… pour autant qu’on les laisse encore parler.

Une montée au pouvoir, La Résistible Ascension d’Arturo Ui, de M. Donald Trump qui avait donné la couleur. Il avait expliqué de long en large qu’il était un proto-fasciste en 2015 ou début 2016, durant la campagne électorale. Ça ne faisait pas un pli pour moi. Malheureusement, ce n’était pas le cas pour la quasi-totalité du reste du genre humain.

Qu’est-ce qu’il faudrait ? Il faudrait connaître l’histoire je suppose. Il faudrait connaître peut-être un peu le personnage d’Hitler et là, il faut quand même recommander toujours M. [Joachim] Köhler et son livre sur la formation du jeune Hitler comme disciple enthousiaste du Wagner mais pas du Wagner musicien, du Wagner théoricien dissimulé de l’antisémitisme, publiant des ouvrages anonymes contre les musiciens, les artistes juifs, mais un véritable traité d’antisémitisme théorique au point que d’ailleurs, il ne s’en cachera plus à la fin de sa vie et il republiera sous son propre nom les mêmes écrits avec les conséquences qu’on connait, d’avoir un disciple particulièrement… Il y en avait un autre. Il y en avait un autre. Il y a un certain Friedrich Nietzsche. Là aussi, il faudra un peu réfléchir un jour à Friedrich Nietzsche dans les mêmes termes qu’on parle de Heidegger. Ça fait longtemps qu’on pose la question du rapport entre le nazisme théorique et Nietzsche mais on avait pris l’habitude, là aussi, comme avec Heidegger, de lui trouver des excuses en disant : « C’est sa sœur qui a tout fait ! C’est elle qui est allée voir dans ses manuscrits des trucs qui étaient dégueulasses. Elle en a inventés ! ». Ce n’est pas vrai, c’est bidon : non, Elisabeth a vraiment réuni des choses qui étaient déjà là. La preuve, c’est qu’on a pu les voir dans les écrits posthumes : Ecce Homo et dans L’Antéchrist.

Voilà ! Qu’est-ce qui va se passer pour moi ? Cinq années à préparer, à parler de la crise des subprimes. Cinq années à en parler après, après coup, ce qu’on aurait dû faire, pourquoi il aurait fallu m’écouter, et quelques autres : Mme Ann Pettifor, M. Roubini, M. Steve Keen, M. [Wynne] Godley. Pourquoi ne nous a-t-on pas écoutés ?

Il y a d’ailleurs, vous le savez, en décembre, un grand colloque sur « Pourquoi n’a-t-on pas écouté les prophètes ? » et certains d’entre nous, certains des prophètes non-écoutés, serons là pour dire ce que nous en pensons.

Qu’est-ce qui va se passer dans les 5 ans qui viennent ? C’est très simple. Vous avez compris, ou bien Trump passe et, dans ce cas-là, moi, j’ai du boulot assuré pour 5 ans : on va me dire « Pourquoi, M. Jorion, ne vous a-t-on pas écouté pendant les 5 ans où vous tapiez sur votre casserole, votre gong, comme le prophète Philippulus ? ».

La différence, c’est que j’avais l’occasion d’être davantage entendu sur Trump parce que j’ai un blog que vous lisez. Cela dit, une publication quelconque m’a-t-elle jamais interviewé sur Trump ? M’a-t-on jamais demandé de participer à une émission de radio ou à une émission de télé à propos de Trump ? Non. Quand on m’invite, c’est encore toujours parce que j’ai prévu la crise des subprimes. Le monde du journalisme, comme le monde en général, est toujours en retard d’une guerre. Voilà.

Prions, mes frères, que Trump ne passe pas et que, dans les 5 ans qui viennent, je puisse enfin faire autre chose que de prévoir des catastrophes qui viennent et après, qu’on m’interroge sur le pourquoi [on ne m’a pas écouté].

Le pourquoi, en fait, il est très simple. J’y ai pensé l’autre jour quand un type, d’un air très courroucé, là, sur le blog, a dit : « Mais vous êtes un alarmiste ! etc. ». Et je m’imaginais le personnage et je l’ai reconnu : c’est le même personnage qui, dans 3 mois, dans 3 ans, me dira : « Mais M. Jorion, pourquoi est-ce que personne ne vous écoutait ? ». Parce que, souvent, ce sont les mêmes qui ont répété « Alarmiste ! » et qui, après, vous disent : « Mais pourquoi on ne vous écoutait pas ? » comme si c’étaient d’autres personnes qui n’avaient pas écouté mais non, c’est les mêmes, c’est les mêmes ! Voilà. Donc, l’histoire, on peut la prévoir et, si on la prévoit, on est un alarmiste et après, on vous demande quand même, ça vous permet de manger : on vous paie un peu pour expliquer pourquoi les gens sont si bêtes et pourquoi on ne vous a pas écouté…

Alors, espérons, espérons que j’aie un peu de temps pour faire autre chose qu’expliquer pourquoi on ne voulait rien voir, pourquoi on ne voyait pas que ce type était non seulement un fasciste mais qu’il prévoyait son arrivée au pouvoir, que quand il virait le directeur de La Poste, c’est parce qu’il jouait aux échecs avec 3 coups d’avance et qu’il savait que les gens qui voteraient pour son adversaire seraient des gens qui recourraient plus massivement que ses partisans à lui au vote par correspondance.

Ce n’est pas lui [évidemment] : il est trop un « génie confirmé » [ses termes] pour avoir pensé à tout ça mais il y avait des gens à côté de lui, qui sont toujours là (Steve Bannon) qui sont, eux, des gens qui savent jouer aux échecs en avançant leurs pièces en pensant aux 6 coups qui vont venir par la suite.

Ce ne sera pas Trump qui aura gagné : ce sera le suprémacisme blanc et les gens pas cons dans le suprémacisme blanc qui auront… d’ailleurs, beaucoup viennent de l’extrême-gauche n’est-ce pas ? C’est toujours comme ça, qui auront joué cette carte-là et qui auront gagné. Malheureusement pour le reste du monde… D’abord, pour les Américains, ça ne sera pas drôle déjà pour commencer et pour le reste du monde, ça va être la voie royale vers des guerres généralisées. Alors, on me dit : « Oui, mais Trump, vous avez pas vu, c’est le gars qui refuse de faire des guerres ! ». Ouais, ouais… C’est « le gars qui refuse de faire des guerres ». Mais là aussi, je ne mettrais pas un dollar sur le fait que ce soit vraiment un gars qui refuse de faire des guerres. Non, non : il fait les guerres et il fait les guerres quand il est prêt. En fait, quand je dis « quand il est prêt », c’est quand il peut faire une bonne diversion sur autre chose qui est en train de lui tomber sur le coin du nez.

Alors, espérons, espérons qu’il ne passe pas et que je puisse consacrer, s’il me les reste, les 5 années qui viennent à autre chose, à ce que j’ai envie de faire depuis un certain temps, que j’ai déjà commencé à faire, qu’on m’aide à faire aussi. On m’aide en m’ayant confié un cours d’anthropologie interculturelle à l’Université Catholique de Lille l’année dernière. On m’aide en me demandant, parce que les étudiants ont beaucoup aimé ça, de faire maintenant un cours en plus d’histoire des doctrines anthropologiques. Mais, je ne vais pas faire un livre d’histoire de l’anthropologie. Je vais faire un livre sur « Qu’est-ce que c’est que l’être humain ? » mais ce sera un livre autobiographique. Ça fait, voilà, 12 ans qu’on me demande de faire des mémoires. Je ne vais pas faire des mémoires mais je vais faire une réflexion de type autobiographique sur ce que c’est que l’Homme. Il y a des précédents à ça. Il y a des gens qui ont fait ça. Montaigne a fait ça. Lévi-Strauss a fait ça dans « Tristes tropiques ».

Ce que je vais faire, il y aura des gens qui diront : « Oui, voilà, c’est un peu comme ‘Tristes tropiques’ de Lévi-Strauss » mais il y aura une différence, une différence fondamentale que vous devinez déjà si vous connaissez un peu Lévi-Strauss et que vous me connaissez moi. Le portrait, le panorama de l’être humain, que fait Lévi-Strauss, c’est un panorama dans lequel l’émotion, l’affect est absente. Bon, le livre est de quoi ? 1955 si j’ai bon souvenir [correct]. En 1962, 7 ans plus tard, c’est Lévi-Strauss qui fait « La pensée sauvage » où il s’intéresse à tous ces phénomènes dont Lévy-Bruhl avait parlé en disant : « C’est l’affect. C’est l’émotion. C’est un monde – ‘la mentalité primitive’ – c’est un monde où on classe le monde autour de soi en fonction des émotions qu’il produit » et Lévi-Strauss avait dit : « Non, non balivernes. Cette pensée sauvage, en fait, c’est simple. C’est une façon de résoudre des problèmes intellectuels » et ça, bon, c’est simplement le portrait tout craché de Lévi-Strauss, c’est-à-dire de croire que les problèmes de l’être humain, de la race humaine, du genre humain, ce sont des problèmes purement intellectuels. L’intellectuel, il vient après : on a pu entretenir des prêtres et des intellectuels quand on avait résolu déjà la plupart des problèmes importants, quand il y avait assez à manger pour tout le monde et qu’on pouvait distribuer ça de telle manière que le prêtre et l’intellectuel ne devaient pas aller eux-mêmes dans les champs. Mais sinon, l’émotion, il suffit de regarder Trump. Les gens qui ont suivi, qui suivent toujours Trump, ce n’est pas pour essayer de résoudre un problème intellectuel ! C’est pour essayer de résoudre un problème de l’ordre de l’affect, un problème émotionnel.

Donc, oui, si la question posée au départ : « Qu’est-ce que c’est que l’être humain ? » sera la même dans « Tristes tropiques » et dans le bouquin dont j’ai déjà écrit 3 ou 4 pages. Je vais me mettre à la suite : j’ai quand même jusqu’au 3 novembre, de toute manière, enfin j’espère, pour pouvoir commencer à écrire quelque chose. Ça ne sera pas « Tristes tropiques ». Ce sera une toute autre histoire. Lévi-Strauss représentait un échantillon de l’être humain, moi aussi. On a chacun un point de vue qui est fondé sur la personne qu’on est.

Exemple : je viens de passer des vacances en famille et on a décidé de faire une très très grande fête de famille, voilà, un truc qu’on n’a pas fait depuis, je ne sais pas, une quinzaine d’années. On va refaire ça, et ça, c’est le genre de famille qu’on est. Et en y réfléchissant, à qui est-ce qu’on peut inviter, qui est-ce qu’on ne pourra pas inviter, on s’est dit : « Nous avons une chance extraordinaire parce que, dans la plupart des familles – et là, je ne sais pas, je parle de 100 personnes – dans la plupart des familles où on évoque 100 personnes qu’on pourrait inviter, c’est vrai, la plupart des familles, on dit ‘Si on invite X, on ne pourra pas inviter Y parce qu’ils sont brouillés’, etc. ». Et là, dans la famille, il y a des Jorion qui sont Belges, des Américains, des Français, [des Britanniques], il y a beaucoup de Néerlandais puisque c’est là qu’est la racine, on va pouvoir réunir tout ça sans se poser la question de savoir si X ou Y est brouillé avec Z ou W. Le problème ne se pose pas.

Donc, c’est peut-être un échantillon tout à fait particulier, les Jorion, je le dis tout de suite et je le dirai au fur et à mesure mais, quand on est anthropologue, on a quand même l’occasion de se retrouver dans des tas de situations où, ou bien on ne comprend rien à ce qui se passe et, dans ce cas-là, on ferait mieux de faire un autre métier, ou bien on arrive à devenir j’employais le mot « caméléon » l’autre jour, on parvient à devenir quelqu’un d’autre. On parvient à devenir quelqu’un d’autre, dans une autre occupation, dans une autre culture et on parvient à penser dans cette autre culture, penser peut-être dans une autre langue. Et là, je crois que ça aide au départ, si on est né dans un milieu biculturel, si on est né dans un milieu bilingue où on parle parfaitement deux langues. C’est le cas de quelques-uns de mes enfants aussi. Ça vous aide ensuite à être anthropologue. Vous êtes déjà deux personnes différentes parce qu’il n’y a pas les mêmes mots, parce qu’à des notions plus ou moins similaires, des émotions différentes sont associées et donc, vous pouvez le faire une 3e fois, une 4e fois à ce moment-là : vous êtes disponible à ce genre d’identifications multiples. Et donc, vous n’êtes plus simplement je dirais, un petit échantillon de quelque chose : vous pouvez devenir un échantillon plus conséquent, plus cohérent, qui peut voir une multitude de points de vue.

Dans mon cours d’anthropologie interculturelle, comme plat de résistance, je parle de la conquête du Mexique et du Pérou par les Espagnols. Il y a là deux cultures, deux cultures brutales – j’emploie le mot pour les deux – deux cultures brutales qui entrent en contact et ça produit une déflagration qui, voilà… et c’est documenté, c’est documenté, on a des textes des Espagnols, on a des textes qui sont faits par les gens qui sont envahis et massacrés. On peut voir ce que ça donne, deux cultures qui ne soupçonnaient absolument pas l’existence de l’autre, qui sont des cultures brutales chacune à sa manière et le cocktail est explosif. Il y a là du matériau.

Je ne parlerai pas que de ça : je parlerai du fait d’avoir été pêcheur en mer, je parlerai du fait de connaître un peu, quand même pas mal, l’Afrique de l’Ouest côtière, d’être devenu des tas de choses moi-même par ce caméléonage que les circonstances ont imposé, parce qu’on recherchait mon talent dans des domaines qui ont changé avec l’actualité.

Alors, je vais prier que Trump ne soit pas élu une seconde fois, d’abord pour nous tous : pour le sort de l’humanité et ensuite pour moi-même, pour pouvoir me consacrer d’un cœur un peu plus léger à cette réflexion générale sur le genre humain, en espérant qu’il lui restera quand même quelques années pour… lire mon livre et pour y réfléchir.

Voilà, allez, à bientôt !

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