« Jeux interdits »

Sur un plan purement pratique, le sens moral, ça fonctionne comment ?

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18 réponses à “« Jeux interdits »

  1. Avatar de Lucas
    Lucas

    En faite le plus grand des péchés c’est le manque de sincérité. Ça chosifie. C’est pas très pratique, surtout pour qu’on puisse fleurir… oups! S’épanouir.

    1. Avatar de Lucas
      Lucas

      Parlons situation
      Si les traits à la craie sont pas trop partis avec le temps la pluie et les crachats
      À la marelle on est pas on est pas en procession on est seul et à cloche pied.

    2. Avatar de Lucas
      Lucas

      Croche ! Mais c’est joli cloche …

      1. Avatar de Lucas
        Lucas

        Pour la forme, c’est l’image de trop .

    1. Avatar de arkao

      @Hervey
      Ça c’est une œuvre qui serait censurée sur Facebook, Instagram et compagnie.
      C’est de Balthus ?

      1. Avatar de Paul Jorion

        Balthus … bien entendu.

        Mais il y aussi Léonor Fini, et Paula Rego.

      2. Avatar de Lucas
        Lucas

        À chaque commentaire je pensais à elle en plus .

  2. Avatar de juannessy
    juannessy

    Fernando Sor a décidément inspiré des  » confessions » très diverses !

    Situationniste ? On se demande aussi s’il n’y avait pas quelque chosé comme ça , en visitant la boutade de Jean Yanne , quand vous avez échangé avec Frédéric Taddéi sur RT ….

  3. Avatar de Juillot Pierre
    Juillot Pierre

    Qui jouent aux « jeux interdits », « dans le sens pratique » – que j’interprète dans ce billet mettant en exergue tant d’ambiguïtés, mises en parallèle avec le commentaire suivant, entre guillemets- entre tous les protagonistes électoralistes, économiques, financiers…. de la perte de sens moral et éthique, cherchant à tirer vers eux… une couverture « vertueuse »… pour draper leur manière de repousser sans cesse les frontières de la « morale » individualiste (dans un « monde à voir » s’effondrer le sens de l’intérêt général, du bien commun, des « Etats… » dont même la providence est privatisable, « segmentable », « technocratisable », « digitalisable »…) et l’incivilité de l’adversité… d’autrui, du pauvre, du et/ou de la réfugié.e… jusqu’à repousser ce que l’effondrement des frontières morales et éthiques collectives, laisse comme ruines sur lesquelles faire croire y trouver des « aubaines », « opportunités »…?

    « Il paraît qu’il faudrait prêter au discours de « Jupiter », ce « roi ne touche plus, parce qu’il ne peut pas te guérir de la covid-19 », ayant emprunté la formule « quoi qu’il en coûte » à Churchill, une dimension pareillement rayonnante au niveau international et surtout Historique…

    Mais est-ce que ce personnage historique décédé mais a qui est prêté des intentions, à « faire parler les morts », à concédé à ce que les USA lui vendent les armes dont la nécessité, l’essentialité en terme de subsistance, d’urgence, pour mener la guerre, moralement, ne pouvaient souffrir de marchandage, quand seule la solidarité, gratuité, permirent de l’emporter, convaincre « l’opinion »… ?

    Qu’ont donc fait la macronie, l’extrême droite et droite extrême, pour empêcher la « main invisible » des « marchés », de spéculer sur la hausse ou baisse des stock gérés en flux tendu, et des prix… de masques, gel hydroalcoolique, réactifs de tests, médicaments par rapport aux séquelles et traumatismes d’un séjour en réa, respirateurs, jusqu’aux nombre de places manquantes en lits de réa… quand ce qu’il coûta en vie n’ayant pas pu être sauvé – il en coûte et coûtera encore plus, avec les pathologies chroniques, des plus pauvres ne pouvant, ni ne pourront être soignées si rien ne change – rapportera toujours aux actionnaires et propriétaires privés d’entreprises, multinationales… assistés sans contreparties ?
    Qu’ont donc fait les mêmes lorsque la gestion néolibérale de la crise sanitaire, « sociétale », « climatique »… lors du premier confinement, qui mis fin à la distribution solidaire et gratuite, et/où « à pas chère »… de repas fournis par les cantines scolaires, territorialités aux enfants de familles pauvres en difficultés… et que seuls les « grandes enseignes de la distribution », les GAFAM, la « start-up nation » quoi… leurs actionnaires, « grands patrons, CSP+ en résidence secondaire…. parièrent sur l’aubaine de pareille privatisation/privation… et gagnèrent gros sur pile :la hausse ou baisse des stocks gérés en flux tendu (pénuries, « problèmes d’approvisionnement », etc), et des prix, des biens de premières nécessité sanitaires (comme le « vaccin miraculeux » contre la covid-19, dont sa « méthode innovante » prend la pari de faire de « nous » des cobayes,sans se soucier des effets secondaires de long terme, du « coût » pour la santé publique…) alimentaires., d’hygiène, de connectivité, d’accès à la culture, à l’éducation, etc…?

    Alors que face ; le chantage à l’emploi, les intentions de baisser les salaires de 20 %, de « nous » faire sacrifier des RTT, congés payés, majorations d’heures sup, de « nous » faire travailler le dimanche et en soirée dans les commerces… de mettre fin à la suspension des « réformes structurelles » néolibérales de l’assurance chômage, des régimes des retraites… et autres lois de « Sécurité Globale »…. ne sauveront certainement pas les vies des personnes dites à risques, fragiles, vulnérables, brutalités en toute impunité lors des contrôles aux faciès, « manifestations interdites », « discriminations systémiques » (dans les 80 % d’embauches ne se faisant qu’en CDD très courtes durées, temps partiel subi, « travail gratuit », « bénévolat subi » en « terre du concordat », discriminées dans l’accès au logement, et dans l’accès au minima sociaux – NON RECOURS impactant plus de 50 % des « bénéficiaires du RSA ne touchant en réalité aucun « pognon de dingue mis dans les minimas qui fait que les pauvres le restent et se déresponsabilisent ») ne sauveront pas plus les personnes victimes d’inégalités territoriales, scolaires, « de destin »… cumulant non pas des mandats… des « représentativités électorales… mais des facteurs multiples de comorbidité, la saturation des services publics hospitaliers, le manque et épuisement du personnel de santé publique, la désertification des services publics en zones péri-urbaines et rurales, l’alignement de l’âge de départ à la retraite – dont l’espoir de la vivre en bonne santé pour les plus précaires, pauvres recul – aux taux de mortalité de ce coronavirus, en annonçant bien d’autres… ? »

  4. Avatar de juannessy
    juannessy

    Ça « fonctionne » , le « sens » moral ?

    Ou ça « s’accepte » comme la condition de « l’humain  » ?

    Auquel cas fredonner Fernando Sor n’est qu’un exutoire du corps contre la raison .Pour une fois a posteriori !

    Je vais réviser Kant qui n’a pas pu connaitre Sor , et vérifier si mon  » éthique » personnelle s’y retrouve .

    1. Avatar de Paul Jorion

      Vous ne pouvez dire mieux : jamais je n’oserais prétendre que Fernando Sor n’est qu’un exutoire de la raison contre le corps !

      1. Avatar de juannessy
        juannessy

        On est d’accord .

        Mais la tournure  » ne que » , dans le contexte où je l’entendais , n’a d’original que la deuxième restriction à  » a posteriori  » , voire à une troisième à  » la morale  » .

        PS : je ne sais pas si Lacan est dans le coup , mais à l’instant où j’écris , je vois le graphe d’évolution du Dow Jones à la place du premier lien vidéo de Devos que j’avais joint . ( Devos = Dow Jones ?)

  5. Avatar de un lecteur
    un lecteur

    Le sens moral est au service des parents égoïstes. Reporter/programmer sur sa descendance les codes, la bande-son d’une tragédie ordinaire, pour prolonger sa propre vie au-delà de sa mort.

  6. Avatar de PASQUET Régis
    PASQUET Régis

    1 /  » … deux filles dont l’une a une dizaine d’années et l’autre, quatorze ou quinze.  »

    … quatorze OU quinze ?

    Écrire  » une quinzaine d’années  » n’aurait pas suffit, n’est-ce pas, à justifier le titre du billet, à suggérer son interprétation et l’ambiguïté qu’il porte ?

    2 / Quant à la mère, son utilisation de l’expression  » au jour d’aujourd’hui  » peut donner à penser que malgré ses efforts, elle laisse entr’apercevoir un réel manque d’élégance.

    1. Avatar de Paul Jorion

      La référence littéraire, c’est bien entendu (en beaucoup plus rapide et moins sulfureux !) le Lolita de Nabokov. Dans le roman, Lolita a 12 ans. Kubrick avait choisi pour le film de lui donner deux ans de plus.

      Le vrai nom de Lolita est Dolores Haze. Les amateurs de séries auront noté que dans Mr. Robot, le nom d’emprunt de Darlene est précisément « Dolores Haze ». Nul parmi ses interlocuteurs ne tique jamais à l’entente de ce nom, je soupçonne Sam Esmail d’en avoir fait un symbole de l’inculture des Américains d’aujourd’hui.

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