Et à l’arrêt du bus il y a…
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À part les 2 Michel, Yakovleff qui est drôlement marrant, et Goya qui danse comme un dieu, le reste ennuierait…
*Godot est mort !*
Et à l’arrêt du bus il y a…
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À part les 2 Michel, Yakovleff qui est drôlement marrant, et Goya qui danse comme un dieu, le reste ennuierait…
Compagnon d’armes quoi ! Vétéran de la lutte contre le tyrannie ! Ça crée des liens …
Et Brian Eno organiser un « concert for Palestine » dans le Wembley Arena du même Londres… https://www.theguardian.com/commentisfree/2025/sep/17/gaza-brian-eno-concert-for-palestine-wembley-nelson-mandela (pas comme le concert…
Quand on n’a pas un « soi » très solide, on devient une feuille ballottée par les flots médiatiques et les tourbillons…
@ Gaston qui écrit : « …et peu de gens, semblent s’en rendre compte ». Je crois au contraire que tous nous…
18/9 0h18 C’est fou… Je cherche le sujet… rien dans mon regard sur la presse française… » Les convoyeurs attendent…
Tu valides ?
Le rêve de 16h25 (RV) … La réalité de fin de journée : (MDP) » Plusieurs pays, dont l’Allemagne ou…
Yep! Content que tu aies regardé.* T’as vu à la fin le québéquois qui parle du boycott? Et l’autre qui…
@ Vincent Oui, la situation est très très grave et peu de gens, semblent s’en rendre compte. Il ne fait…
Allemagne Aristote BCE Bourse Brexit capitalisme ChatGPT Chine Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grands Modèles de Langage Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon Joe Biden John Maynard Keynes Karl Marx LLM pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés Singularité spéculation Thomas Piketty Ukraine Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »
4 réponses à “« Dix-sept portraits de femmes » II. La femme invisible”
Je m’interroge :
Si j’éprouve un vif plaisir à lire cette histoire, c’est sans doute parce que l’auteur prend goût à l’exercice d’autant que le raccord avec la précédente en fait une monnaie à deux faces avec pour parfum un certain dépit rendu visible par la chute d’une troisième.
Il se passe vraiment beaucoup de choses en quelques phrases.
En tous cas , faire le portrait de la femme invisible , même Léonard ne l’avait pas tenté .
Très intéressante cette réaction sur l’aspect sexué ou non d’une tenue vestimentaire.
Pourquoi une tenue « stricte et chic » de couleur noire n’émoustille pas vos sens ? On peut suspecter que cela renvoie à la thématique du chapitre précédent. Ce qui est assez déroutant. Si le vêtement est bien marqueur de catégories sociales, culturelles et géographiques, en quoi cela constituerait-il un frein pour des relations sexuelles temporaires (on ne parle pas alliance matrimoniale, évidemment) entre des individus de différents groupes ? Ou alors j’ai mal saisi, ce qui est possible.
Si vous interprétez le port de la robe en coton et les pieds nus comme un message codé sur la disponibilité sexuelle, vous allez vous attirer les foudres de la nouvelle génération de féministes 🙂
Grandiose l’histoire de la luette ! Du Paul Jorion comme on aime !
Une femme – très milieu de la courbe de Gauss, je vous assure – m’a un jour (± 1998) expliqué avec moult détails, le code de disponibilité sexuelle. Il s’est peut-être perdu depuis et la « nouvelle génération de féministes 🙂 » n’est en courant de rien, mais l’une ou l’autre d’entre elles a peut-être encore une grand-mère qui vivait en 1998, et qui pourra lui expliquer comment on vivait dans l’ancien temps.