DALL·E toujours fâché avec le texte

17 janvier 2024 17h58

Les effets visuels sont spectaculaires mais mes efforts pour faire écrire à DALL·E des mots et des phrases bien formés restent lamentablement infructueux 😉 .

Graphisme, Intelligence Artificielle

DALL·E

29 réponses à “DALL·E toujours fâché avec le texte”

l’arsène

17 janvier 2024 18h37

Désolé, mais toutes ces images n’arrivent pas à la cheville de celles publiées il y a une quarantaine d’années dans des publications ou revues comme Metal Hurlant , car la forme est importante, certes, mais le fond ici est nullos, rien à voir avec ce que je pouvais lire , la preuve que l’IA n’a aucune âme , ce ne sont que des produits sans aucune consistance, du visuel, certes, mais surtout du vide.

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1. Paul Jorion
  
  17 janvier 2024 20h22
  
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  1. arkao
    
    17 janvier 2024 20h37
    
    La deuxième illustration est générée par DALL.E à mon avis (encore ce problème avec le texte – les mains ça va mieux qu’avant).
    
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2. arkao
  
  17 janvier 2024 20h49
  
  @l’arsène
  N’oubliez pas que nous ne sommes pas vraiment dans le registre de la création artistique mais plutôt dans celui de la production d’images d’illustration à des fins commerciales. Et dans ce domaine les progrès de la machine sont incontestables ce qui va mettre un certain nombre de graphistes au chômage, processus habituel à chaque saut technologique.
  
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3. Jean-Michel Bournoville
  
  17 janvier 2024 20h55
  
  Ah ! …
  
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4. ebolavir
  
  17 janvier 2024 21h21
  
  Pas du vide, cher Arsène, mais du déjà-vu, cette impression que j’ai presque toujours quand je regarde une publicité (et c’est le but, le publicitaire n’a pas intérêt à me faire sortir de chez moi et m’inquiéter). Ça n’empêche pas les œuvres de Dalle d’être plaisantes et évocatrices, comme toute bonne illustration. Claude Lévi-Strauss (Regarder écouter lire) en parlant des images fractales générées par des algorithmes de son temps, disait qu’elles donnaient le même genre de satisfaction esthétique que les ouvrages d’art décoratif qui couvrent des surfaces de motifs.
  
  Dalle ne peut, par définition, produire autre chose que son déjà-vu, les millions d’images identifiées qu’il a avalées et digérées. Le contraire du « au fond de l’inconnu pour trouver du nouveau ».
  
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un lecteur

17 janvier 2024 20h48

Le vocabulaire/couleur, la grammaire/forme, les phrases/les plans, le récit/le film semblent confirmer que discret/continue sont deux langages avec leurs spécificités.

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aslan

17 janvier 2024 21h56

C’est encore peu utilisable et parfois même parasite, mais j’ai trouvé les progrès de l’intégration de texte à Dall-E impressionnants entre la v2 et la v3.

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1. Arthur
  
  19 janvier 2024 5h27
  
  L’esthétique Dall-e qui a envahi ce blog est très uniforme et pauvre en créativité. Cela me rend la lecture et même la visite de plus en plus difficile. Le style de dessin est toujours le même et très ennuyeux. Je crois que l’effet visuel sur l’inconscient a quelque chose de triste et d’indigeste. Rien à voir avec les œuvres de certains artistes qui étaient publiées autrefois et donnaient un réel plaisir à être étudiées en détail. Ici on a juste envie de scroller pour regarder autre chose…
  
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  1. Paul Jorion
    
    19 janvier 2024 11h50
    
    Oui, c’est l’hiver : on manque de lumière, de vitamine D. Mais courage : le printemps est proche, il fera relativement chaud la semaine prochaine 😀 .
    
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    1. Chabian
      
      19 janvier 2024 12h28
      
      Qui a dit : Tout est relatif… ? (Sans doute Aristote, déjà ?)
      
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      1. Grand-mère Michelle
        
        20 janvier 2024 10h34
        
        « Tout est relatif » est une des affirmations de la philosophie bouddhiste(prononcée, en son temps, par le Bouddha Sakyamuni, parait-il… si je ne me trompe…)
        
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    2. Garorock
      
      19 janvier 2024 12h45
      
      Oui, c’est cool! Nous allons bientôt avoir 4 saisons par mois.
      Semaine 1 en moonboots.
      Semaine 3 en burkini.
      Airbnb va pouvoir se développer: la main invisible du climat est en train de s’adapter au marché!
      😎
      
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      1. François Corre
        
        19 janvier 2024 13h57
        
        Ne pas oublier la période mousson éventuelle. 🙂
        Quant au printemps, bah le coup de froid a à peine stoppé la pousse des jonquilles, déjà 15 cm…
        
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  2. Mango
    
    19 janvier 2024 12h01
    
    Je travaille dans le monde de l’art (sans être artiste).
    Même dans ma profession, qui concerne les œuvres classiques, les progrès de l’IA sont chaque jour plus étonnants.
    Le marché de l’art a vraiment changé depuis la création de Dall-E, surtout après l’essor de Photoshop et des arts multimédia.
    Il y a un an ou deux, il y avait une tendance à l’art NFT lié à la cryptomonnaie, mais elle n’a pas duré longtemps.
    Jusqu’alors, il s’agissait d’un système dans lequel les artistes numérisaient leurs propres œuvres d’art et les échangeaient.
    Mais depuis la création de Dall-E, les choses ont totalement changé.
    
    Si vous regardez la tendance des expositions aujourd’hui, il y a un changement complet vers le noir et blanc argentique dans le cas de la photographie, ou l’exposition d’œuvres créées par l’IA.
    De même, le marché de l’art ou les musées et les réactions des collectionneurs sont également partagés.
    Il y a ceux qui recherchent encore les classiques et ceux qui ont intégré l’introduction des nouvelles technologies.
    Sur le marché de l’art français en particulier, il y a beaucoup de collectionneurs traditionnels qui recherchent des œuvres classiques ou qui aiment l’artisanat.
    
    Tout comme la photographie n’a pas été reconnue comme un art pendant longtemps, mais plutôt comme un outil de peinture, il est possible de considérer la création actuelle de l’IA de la même manière.
    Cependant, avec l’avancée de la technologie de l’IA jour après jour, même les plus grands artiste du monde de l’art contemporain reconnaissent aujourd’hui que l’IA a étudié et s’est inspirée de leurs œuvres. Certains artistes renommés se sont inspirés de ces développements et tendances pour créer et réimaginer leurs propres œuvres.
    
    Andy Warhol a été l’un des premiers à intégrer la sérigraphie dans son travail, ce qui permet de produire un nombre infini de pièces identiques.
    Son œuvre est caractérisée par la répétition au point qu’il est difficile de distinguer une photographie d’une peinture et qu’il n’y a pas d’original.
    Ses originaux sont soit Campbell soup soit Marilyn Monroe.
    Ainsi, comme pour la sérigraphie, l’accent n’est pas mis sur la reproduction, mais sur l’apprentissage répétitif de l’IA et la création de nouvelles œuvres.
    Le propriétaire de l’original est-il l’homme qui l’a commandé à Dall-E? Ou est-ce Dall-E qui crée l’original par lui-même ?
    Personnellement, je prévois que la signification des œuvres d’art de l’IA changera et augmentera au fur et à mesure du processus de reconstruction des perceptions des gens à travers les œuvres d’art qu’il crée.
    Le marché de l’art devra évoluer en conséquence.
    
    Bien que je travaille sur le marché de l’art classique, je fais partie des personnes qui viennent sur ce blog pour voir les images toujours diverses et nouvelles que l’IA crée pour accompagner le texte.
    Il y a de nombreuses fois où je suis impressionné par la capacité d’apprentissage et de création de l’IA.
    Vous semblez être quelqu’un qui préfère le travail classique, fait à la main, artisanal.
    
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    1. Grand-mère Michelle
      
      20 janvier 2024 12h09
      
      Les arts, moyens d’expression et de communication trouvés par les êtres humains pour tenter de résoudre leurs difficultés existentielles et relationnelles, ont longtemps été accaparés (« sponsorisés ») par les religions avec le but de les réunir dans des « groupes d’influence » plus ou moins efficaces.
      Depuis qu’ils sont devenus(comme quasiment tout le reste!) des « produits » commercialisables, il devient de plus en plus difficile(même pour leurs auteurs) de discerner la part « authentique » (et éventuellement « nouvelle ») de chaque œuvre…
      
      Le choix de la reproduction sérigraphique par A.Warhol fut, si j’ai bien compris à l’époque où je fréquentais des « pop-artistes », une tentative de perturbation du marché de l’art, de « désacralisation » de la valeur monétaire des œuvres « originales », de dénonciation du détournement des résultats d’expressions artistiques « instinctifs » et gratuits(sans autre intention ni satisfaction que leur réalisation) en « valeurs cotées » et rendus indispensables comme de la soupe (par ex.).
      Tentative qui a échoué, comme son succès l’a prouvé, car il avait sous-estimé la puissance de récupération du Marché liée à une avidité atavique encouragée par la propagande et le publicité…
      
      Bien sûr, dans le domaine des arts comme dans les autres, l’IA ne fera qu’ajouter de la confusion dans l’esprit des populations désemparées.
      Dans le domaine pictural, les seules œuvres d’art qui méritent encore le label « authentique » sont les graffitis spontanés qui fleurissent sur les murs de nos cités(à ne pas confondre avec les fresques « décoratives » et autres slogans politiques « intéressés »).
      Plutôt chercher dans « l’amateurisme » d’artistes/artisans qui pratiquent pour « passer le temps » ou dans « l’art brut » réalisé compulsivement par des personnes « malades »… ou par des petits enfants…
      
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      1. Mango
        
        20 janvier 2024 13h00
        
        Je respecte votre opinion.
        Cependant, les temps ont changé, et je pense que vous devriez quitter l’ « ÉCOLE DES ANCIENS ».
        Même si mon travail dans le monde de l’art est menacé par l’intelligence artificielle (Les professionnels du monde de l’art s’adaptent au changement et trouvent des moyens de faire cohabiter l’IA et l’art). Son intelligence croissante ne peut être ignorée, c’est l’histoire d’aujourd’hui et de demain.
        Je vous recommande la lecture de cet entretien avec un artiste reconnu dans le monde de l’art contemporain : Ai-weiwei.
        
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Arnaud Castex

18 janvier 2024 10h02

Dall-E aurait il dû mal à trouver une forme unifiée à demandé protheiforme. À quand la Subli(A) mation ?

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Petit coton

18 janvier 2024 22h52

Ces images sont extraordinaires, réellement inouïes (ce qui est le comble pour une image) ; essayez donc d’en rédiger une description écrite, vous comprendrez ce que je veux dire ; ce que le taulier prend pour un échec, est une percée figurative extraordinaire.

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1. minibox
  
  19 janvier 2024 0h06
  
  Il n’est pas impossible qu’une partie de l’humour de Paul Jorion vous échappe 😉 .
  
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  1. Petit coton
    
    19 janvier 2024 0h11
    
    hi hi hi, pas impossible en effet.
    
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2. timiota
  
  19 janvier 2024 10h17
  
  Une partie du « confusionnisme lettré » de Dall-E vient simplement de sa connaissance du texte via des versions images de pdf (ou équivalent).
  Cela apparait notamment par l’omniprésence des « cf » et des « fi » d’un seul bloc (c’était un caractère d’imprimerie unique pour les deux lettres, historiquement, ça doit avoir un nom en imprimerie, comme les « sérifs », les « grasses », etc.), ce qui est la convention typographique d’une impression de qualité (et l’avantage de LaTeX sur Word par exemple).
  On voit là que l’IA essaye « d’apprendre à lire » y compris les textes comme des images.
  C’est dual de ce que fait notre cerveau (lire les images comme des textes pour extraire de l’information : où ai-je mis mes lunettes ? et mes clés ?), et l’art et le marketing combinant les deux, via notamment le « tiers cas » qu’est la lecture d’un visage. Faites la manip, si vous ne l’avez jamais faite, de lire l’expression d’un visage retourné haut bas, le cerveau n’en peut mais et ne reconnais pas les expressions des émotions standard (peur, surprise, tendresse,colère…). Les visages sont un gros morceau de l’art (occidental…), structurant, et le marketing l’a bien compris, cherchez des pubs ou des unes de magazine au Relay ou au kiosque du coin qui n’arborent PAS de visage, et vous tombez sur des niches franchement étroites, niveau La vie du Rail, et encore.
  Gageons que l’IA ne sera néanmoins pas à grand peine pour apprendre quelques styles tombés dans la demi-obsolescence comme le roman-photo. Des figures avec légendes sont souvent autrement évocatrices que les mêmes sans légende, notamment dans la combinaison « visage » et type d’invite de ce visage et texte.
  
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  1. Petit Coton
    
    24 janvier 2024 12h12
    
    J’ai effectué une reconnaissance du texte de la septième image, celle avec la pelote de fil de fer non barbelé au centre, puis j’ai demandé à GoogleBard de traduire en français. Entre autres curiosités, je cite :
    
    « Voici une traduction plus détaillée du texte, phrase par phrase:
    The rotal andermast of inocal cystonbion decomeice, aed unctimacerala is inipiciovel mechuit malKets.
    
    L’approche proposée consiste à utiliser un modèle hiérarchique récursif pour apprendre une représentation des données. »
    
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petit coton

19 janvier 2024 0h09

J’ajoute qu’on serait curieux de connaître les _prompts_ à l’origine de ces images qu’aucun ésprit humain ne pourrait concevoir.

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1. Paul Jorion
  
  19 janvier 2024 1h19
  
  « Illustrations representing the combined themes of Stephen Wolfram’s and Paul Jorion’s critiques of economic and social thought. Each section depicts a different critique ».
  
  illustrations représentant les thèmes combinés des critiques de la pensée économique et sociale de Stephen Wolfram et Paul Jorion. Chaque segment représente une critique différente.
  
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Ruiz

19 janvier 2024 5h13

Justement le traitement des textes qui nous apparaît approximatif, n’est-il pas le parfait reflet de la compréhension réalisée, celle d’une intelligence en construction à un niveau d’un enfant pré scolaire.
Le rendu corresponds à l’effet intérieur produit par de tels textes (s’ils étaient correct !).
Que ce passerait-il si l’exercice était fait en serbo-croate ?
Y verriez-vous une quelconque anomalie ?
Dans un autre alphabet (cyrillique, hébreu, arabe) en chinois ?

C’est peut être quand les textes nous apparaîtront bons qu’il faudra nous méfier.

Quand l’enfant va lire en enfer.

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Hervey

19 janvier 2024 11h30

Possible que DALL-E ne soit pas créatif.
Il ne parvient pas à interpréter simplement quelque chose de complexe comme peut le faire un bon dessinateur de presse (mais idem pour la poésie).
Personnellement je ne saisis pas le message dans cet amoncellement de détails. Je vois bien l’embouteillage, le surplus, l’amoncellement comme résultat d’une pagaille monstre mais ça s’arrête là.

Un dessin très chargé de Sempé, par exemple parvient à ses fins immédiatement.

https://cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/liberation/I3E64MX4LBGJ5BMDLD2HNIAYW4.jpg

Avec DALL-E je cherche sous l’image le code manquant.
https://questcequecest.com/wp-content/uploads/2021/04/Securite-Mot-de-passe-Password.png

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Chabian

19 janvier 2024 19h16

Les nouveaux utilisateurs de l’IA sont des artistes !
https://www.rtbf.be/article/la-minute-insolite-un-bonobo-est-parvenu-a-battre-le-boss-de-fin-de-minecraft-11315581

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Garorock

19 janvier 2024 20h42

» Une analyse du FMI , le prêteur international en dernier ressort, indique qu’environ 60 % des emplois dans les économies avancées comme les États-Unis et le Royaume-Uni sont exposés à l’IA et que la moitié de ces emplois pourraient être affectés négativement. Mais la technologie contribuera également à améliorer la productivité de certains êtres humains, à mesure que l’IA améliore leurs performances, indique le rapport. Selon le FMI, les emplois les plus sûrs et les plus exposés sont ceux qui présentent une « forte complémentarité » avec l’IA, ce qui signifie que la technologie facilitera leur travail plutôt que de le remplacer entièrement. Cela inclut des rôles comportant un degré élevé de responsabilité et d’interaction avec des personnes, telles que des chirurgiens, des avocats et des juges.

Les emplois à forte exposition et à « faible complémentarité » – c’est-à-dire le potentiel d’être remplacés par l’IA – incluent le télémarketing ou le démarchage téléphonique pour proposer des biens ou des services. Les métiers à faible exposition comprennent les laveurs de vaisselle et les artistes, a indiqué le FMI. »

» L’année dernière, l’Organisation de coopération et de développement économiques a déclaré que les professions les plus exposées à l’automatisation basée sur l’IA étaient les emplois hautement qualifiés et représentaient environ 27 % de l’emploi dans ses 38 pays membres , dont le Royaume-Uni, le Japon, l’Allemagne, l’Allemagne et le Royaume-Uni. États-Unis, Australie et Canada. Les professions qualifiées telles que le droit, la médecine et la finance sont les plus menacées. »
https://www.theguardian.com/technology/2024/jan/15/ai-jobs-inequality-imf-kristalina-georgieva

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