Kris Kristofferson (1936-2024)

Au cinéma, ici dans le Convoy (1978) de Sam Peckinpah, aux côtés d’Ali McGraw

En duo avec Johnny Cash

En duo avec Rita Coolidge, son épouse à l’époque

L’interprète, brève compagne, qui lui assura la notoriété : Janis Joplin …

et … autre interprète mémorable de ses chansons, l’incontournable Jerry Lee Lewis

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17 réponses à “Kris Kristofferson (1936-2024)

  1. Avatar de Vincent Teixeira
    Vincent Teixeira

    Au cinéma, je retiens avant tout ses incarnations dans le sublime « Pat Garret and Billy the Kid » du même Peckinpah, et surtout « Heaven’s Gate » de Cimino (pour moi, un des plus grands films du cinéma américain)

    1. Avatar de tata
      tata

      Je vous trouve un peu tout seul et votre commentaire m’amene a reagir…

      (1)
      Il ne faut pas le dire trop fort car c’est un tabou, mais, historiquement, une part importante de la culture americaine vient de d’allemagne.
      Et la country qui etait, c’est une image pour me faire comprendre, liee en quelque sorte a la fete de la biere en Allemagne est devenu un identifiant culturel assez catastrophiphe au USA.

      Tres recemment encore, un des chanteurs de country les plus connu aux USA a refuse d’entendre des chanson country car les interpretes etaient noirs: des negres en gros.

      ON CROIT REVER DANS CES USA, QUI PAR CERTAINS ASPECTS, SONT COMPLETEMENT DECADENT ACTUELLEMENT.
      Je pense que les premices de cette decadence actuelle et ciblee coincide avec les accords a l’OMC entre la Chine et les USA le 11 decembre 2001, 3 mois apres le 11 septembre 2001.

      Mr Kris Kristofferson est pour moi, entre autre, un chanteur qui a essaye sans succes, et personne n’a reussi veritablement, a changer la musique country. Il faut du courage pour y croire, je n’y ai pas cru et j’ai presque banni cette musique de mes centres d’interets (J’ecoute pourtant toute sorte de musique mais pas de country sauf dans la serie « Sherif fait moi peur » en gros).

      (2)
      Vous semblez faire l’impasse sur une chose tres concrete concernant le film « Heaven’s Gate » qui est d’une importance cruciale pour le cinema americain.

      Apres « The Dear Hunter », Mr Cimino que j’ai pu rencontrer « de loin » a Paris dans un grand cinema Parisien lors d’une projection de ce Film (Une amie participait a l’organisation de l’evenement), Mr Cimino, donc, s’est pris un peu pour le dieu du cinema et a failli detruire tout le cinema interressant americian avec ce film « Heaven’s Gate ».

      Le film « The Dear Hunter » est en grande partie une reussite grace a l’enorme travaille Mr De Niro (enorme nonSoi) et aux performance des autres acteurs (tous ont du nonSoi).
      Mr De Niro a fait « Taxi Driver » lors de mon annee de naissance et a change enormement de code du cinema: il a change par exemple tous les films de poursuites en voiture avec le film Ronin, il a refinit les films sur les organisations criminels grace a son seul film « Il etait une fois le Bronx » (Son film le plus complexe pour moi) et la liste de tous les changements des codes du cinema est bien plus longue, peut-etre un film sur deux! C’est incroyable, ce qu’a fait Mr De Niro.

      J’ai fait « jusqu’au bout » un film, donc je sais un peu analyser un film du point de vue du decoupage qui est ce qui fait qu’on trouve un film agreable ou que cela devient extraordinaire: la facon de filmer coincide avec le scenario ce qui est tres complexe car cela demande d’ajuster pleins de code du cinema et donc de redefinir de nouveau code pour un scenario precis. La pluspart du temps le realisateur le fait de facon intuitive. Ce film a ete projete 2 fois et a cree une histerie generale: la moitie des spectateurs etaient bien trop boulverse (je trouvais), l’autre moitie voulait nous interdire. Ce film parlait de choses anodines comme des anecdotes sur le travail, ou sur l’enfance et sans grand interet! Mais on avait tellement travaille la realite des plans et du jeu des acteurs que les spectateurs avait l’impression d’avoir une vie ininterressante par rapport aux acteurs. Bref, j’ai tout arreter, c’etait bien trop delirant, mais j’ai comme meme garder le film chez moi.

      Mais Mr Cimino a aussi fait un film super et tres courageux « Year of the Dragon » en 1985 avec Mickey Rourke (enorme nonSoi aussi) car ce film parle d’un sujet tres delicat aux USA, celui des quartiers Chinois qui sont gouvernes dans les annees 80 par les triades Chinoises et qui sont des experts en corruption. Resultats: presque aucune surveillance policiere. Le traffic de drogue dans les annees 80 representait 1% du PIB americain…
      Regardez ce que represente le crime organise Chinois par rapport aux autres organisations criminels des autres pays, vous serez surpris par les chiffres!

      1. Avatar de CORLAY
        CORLAY

        Bonsoir Tata, dans v/com. de ce jour à 5h34, vous parlez des accords à l’OMC entre Chine et les USA en décembre. C’est un paragraphe qui me semble important sur les échanges et la bonne régulation de ceux-ci (trade exchanges/money exchange/trade, etc… avec autre pays. Un autre point important : corruption – Mr P. Jorion a remis sur ce blog (Vidéo/texte) à ce sujet. Dernier point, c’est le chiffrage de ventes de drogues dans le monde entier et ses effets… Vous parlez de chiffre, l’IA peut-elle les rendre publiques/visibles….Bonne soirée, Isabelle

        1. Avatar de tata
          tata

          Bonjour Corlay,

          Pour moi aussi l’entree de la Chine dans l’OMC en decembre 2001 est un momemt important et catastrophique.
          C’est le debut d’une mondialisation sans regles ou on discute avec des dictatures comme si c’etait des regimes normaux.
          Les journaux TV n’ont donne qu’une importance tres faible a cette nouvelle
          place de la chine dans les echanges mondiaux alors que ca a ete un changement radical pour le monde et la finance, je crois.
          La Chine, pendant 20 ans a partir de 2001 et jusqu’au Covid est devenu progressivement l’usine du monde.

          L’occident et surtout les USA se sont accommoder de ce nouveau rapport commerciale. Cela me semble tres naif de croire que la democratie peut venir de l’enrichissement d’une partie des chinois et non d’une volonte de garantir des droits
          aux individus.
          Avec le Covid, on a enfin pu mesurer et constater les discours vraiment mensonger et agressif du regime Chinois.
          Et plus personne ne parle de la suveillance des chinoise avec le systenme de point des smartphone qui « mesure » si vous etes ou non « un bon chinois ».

          Mais on a pu voir de l’espoir dans la jeunesse chinoise avec par exemple une emission
          tres populaire « Rap of china » qui a ete vue par des centaine de millions de chinois.
          Je ne sais pas si vous aimez le rap, mais j’ai decouvert beaucoup de musicien a cet occasion:
          Sur la chaine sze_ Xiang (yelloOneOne) de youtube vous pouvez trouver plein de music que je trouve interressante:
          Ici GAI:
          https://www.youtube.com/watch?v=gDa4yqjtLpw&ab_channel=sze_Xiang%28yelloOneOne%29

          Je n’ai pas compris a quoi vous faites reference lorsque que vous ecrivez:
          « corruption – Mr P. Jorion a remis sur ce blog (Vidéo/texte) à ce sujet »
          Mais le sujet m’interresse beaucoup.

          Pour savoir si L’I.A. peut nous permettre d’evaluer le marche de la drogue dans le monde, je ne sais pas du tout.
          En principe, si on fourni a une bonne I.A. des informations pertinentes et les bonnes questions, je ne vois pas pourquoi elle n’arriverait pas a identifier les principaux problemes.
          Mais je ne suis pas un specialiste.

  2. Avatar de Vincent Teixeira
    Vincent Teixeira

    Je ne parlerai pas de la musique country, que j’écoute volontiers, mais très peu, et dont je connais mal l’histoire.

    Quant à Cimino, vous prêchez un « converti », car je suis grand admirateur… et encore une fois « Heaven’s Gate » est au firmament pour moi, aussi bien le scénario, les acteurs, la musique (la scène du bal en patins à roulettes avec David Mansfield au violon est d’anthologie !), les images, les cadrages, etc.
    Film épique, anti-western, alternant scènes de grandeur, scènes intimistes (l’intrigue du triangle amoureux) et scènes purement esthétiques et film politique, hommage aux opprimés, aux résistants contre le fascisme et la haine ordinaire (rien n’a changé, semble-t-il), aux « enfants du Paradis » massacrés, sacrifiés… la thématique taboue de la lutte des classes que l’Amérique ne veut pas voir. Comme le dit un des personnages (John Hurt) dans le film : « ça devient dangereux d’être pauvre dans ce pays »…
    Ce film signait un peu la fin du Nouvel Hollywood et du cinéma d’auteur… et il fut un fiasco extrême aux USA, un gouffre financier… car l’Amérique entrait dans l’ère Reagan, pensait renouer avec le « rêve américain »… et ne voulait surtout pas voir, au sortir du bourbier vietnamien, l’envers de ce rêve…

    1. Avatar de tata
      tata

      Je suis d’accord avec vous sur le grand interet de ce film « Heaven’s Gate » mais quand vous dites « …un gouffre financier… car l’Amérique entrait dans l’ère Reagan,… »
      Cela me parait inexacte en grande partie meme si il y a une petite part de verite, c’est Mr Cimino qui a fait n’importe quoi en tant que cineaste et en terme financier, son comportement a ete vraiment irresponsable. Je vais m’expliquer.

      Si vous regardez la page wikipedia sur ce film:
      https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Porte_du_paradis#Production
      Vous verrez qu’il a, par exemple, exige un ecartement precis d’une rue, ce qui a ete fait, puis a changer d’avis. Mais ce n’est pas tout! Les autres responsables du tournage ont essaye de le convaincre de refaire le decor uniquement d’un cote de la rue mais il a refuse! Il a fallu refaire les 2 cotes de la rue…

      Si cela, c’est pas n’importe quoi, qu’est ce que c’est?
      Mr Cimino s’est pris pour un genie qui n’avait de compte a rendre a personne ce qui n’a aucun sens quand vous faites des films: c’est un travail collectif, vous devez en permanence ecouter differents avis car vous n’etes absolument pas capable, seul, de tout maitriser. La seul obsession que vous pouvez garder en tete, c’est que ce qui compte le plus, c’est le resultat final: ce qu’oublie assez souvent les dizaines ou centaines de personnes avec qui vous travaillez.

      Quand vous essayez de faire des films, vous arrivez a la conclusion (et Mr Cassavetes etait d’accord malgre ces efforts pour s’afranchir le plus de cela) que c’est avant tout la question de l’argent qui finira par dominer tous les autres parametres.

      Je voulais faire des films et j’ai fini par faire de la science a cause de ce que je raconte et aussi car on ne peut pas apprendre les maths apres 40 ans tellement il faut habituer son cerveau a etre toujours dans la logique, dans le rationnel.

      « Les ruses de la raison » (expression de Hegel (Je crois) reprise par Mr Jorion auquel je n’avais pas du tout pense: cela ressemble a un point fixe auquel les differents dialogues finirairaientt par se reduire
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9or%C3%A8me_de_Knaster-Tarski#Applications )
      a voulu que je me retrouve maintenant confronte a des problemes pratiquement completement irrationnel dont je ne peux jamais prouver l’existence pour des raisons tres simples: il suffit que la personne, « le mechant », qui fait ces choses invraisemblables, incroyables, inimaginables, effroyables, arrete de les faire pour que je ne puisse pas prouver leur existence. Ainsi, plus rien n’est prouvable: je suis coincer et seul avec « les gentils eveilles » a etre certain de l’existence de cette horreur depuis plus de 10 ans…

      Mais, j’ai du temps car mes proches sont partis en WE (ma situation personnelle est devenu rocambolesque) et je vais pouvoir, en principe, pouvoir expliquer comment j’arrive tres souvent a echapper au paradoxe du menteur
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Paradoxe_du_menteur
      Qui est un vrai paradoxe: il n’a pas de solution en principe.
      La solution qui n’est jamais certaine devient tres fiable mais cela me demande d’imaginer beaucoup de choses.
      Je l’ai trouve grace a un episode d’un dessin animes de mon enfance qui m’avait fascine tres longtemps (un probleme avec une astuce assez logique).
      Mais cela va me prendre du temps a expliquer mais vous pouvez etre surpris: cet echapatoire me semble fascinant: j’ai mis des annees a en avoir l’idee et aussi a savoir m’en servir..

      1. Avatar de Vincent Teixeira
        Vincent Teixeira

        Je ne suis pas du tout d’accord avec ce que vous dites de Cimino et ce film (que j’ai vu et revu au moins 10 fois).
        Certes, on pourrait dire qu’il a été « mégalomane »… beaucoup d’artistes l’ont été… et alors ? et c’était un artiste, avant tout. Par ailleurs, la production lui avait donné carte blanche… on peut toujours dire qu’il en a abusé… peu importe. C’est le résultat qui compte : le film est là, reste, sublime et étourdissant même, très fort (aussi bien esthétiquement que politiquement).
        Sauf que les Américains et (surtout) la critique, assassine, l’ont férocement descendu – et ont d’ailleurs ruiné sa carrière. On peut toujours dire qu’il en aurait « trop fait » (?) ; un véritable artiste se doit avant tout d’être libre (même si, a fortiori dans le cinéma, vu l’argent qu’il génère et la masse de gens qu’il entraîne dans sa mise en oeuvre, le réalisateur est loin d’être seul ; mais peu importe – combien de réalisateurs américains ont été en lutte avec les grands studios !) Tous les grands artistes, créateurs ou « génies », comme disait V. Hugo, sont peu ou prou dans l’excès.

        Certes, Cimino a explosé tous les budgets, mais la question profonde (et essentielle) est bien au-delà de l’argent (dépensé) – vous citez Cassavetes, mais celui-ci a fait des films avec des moyens (dans tous les sens, décors, lieux de tournage, casting, etc.) infiniment moindres – ce n’est pas du tout le même cinéma, beaucoup plus intimiste chez Cassavetes. On ne va pas comparer la production et le coût d’un film de Bergman ou aujourd’hui Farhadi ou autres, avec celle d’un Coppola, etc.

        Concernant ce film, je me rappelle très bien ce qu’en a dit Isabelle Huppert (qui a porté le film lors de sa ressortie en salles dans sa version intégrale) :
        « On doit en parler ! Ce fut un massacre critique aux Etats-Unis sur le thème « c’est un crime de dépenser des millions de dollars pour un film artistique ». »

        et Cimino lui-même, notamment dans une longue interview (incluse dans les bonus d’une édition DVD), où on découvre un type d’une immense culture – c’était un très grand lecteur – et d’une grande finesse en même temps qu’un combattant… de la liberté. Je le cite :
        « Vous n’imaginez pas l’inculture et la stupidité des critiques américains. Plus fondamentalement, je crois que ce film touche aux racines de l’Amérique, qu’il s’intéresse à ces hommes et ces femmes venues d’Europe, qui furent des pionniers et qui n’étaient pas tous des figures héroïques. C’est un film sur la lutte des classes et ça, l’Amérique n’aime pas, elle se berce du rêve que les Etats-Unis sont le paradis de la classe moyenne. Ce n’est pas un western, ce n’est pas un film strictement politique. Tout le film peut être considéré comme un rêve, un flash-back, un souvenir, surtout dans la version longue qui sort aujourd’hui. Disons que c’est un film animal, voire bestial, sur la démocratie. »
        Au-delà des questions de budget et d’argent, profondément, c’est bien cela qui a gêné le public et la critique américaine à l’époque…

        PS : heureusement que les artistes et créateurs ne sont pas enfermés dans la logique et le rationnel… le rationnel n’étant qu’une île dans un océan d’irrationnel…

        1. Avatar de tata
          tata

          Bonjour Mr Woo Fon. Excusez-moi je me trompe de nom, Mr Vincent Teixeira,

          « … et alors ?  »
          « … peu importe »
          « l’ont férocement descendu –  »
          « mais peu importe – »
          Tout ce qui precede, ce ne sont pas des arguments, je crois.

          « est bien au-delà de l’argent (dépensé) » Je dis justement que c’est la contrainte principale: Je vous rappelle que j’ai fait des films…

          « films avec des moyens (dans tous les sens, décors, lieux de tournage, casting, etc.) infiniment moindres:
          Mr John Cassavetes a fait des films et Columbo avec ses amis, ils ont commence a avoir de vrais bugets apres « Une femme sous influence » mais meme ses films ont coute plusieurs millions de dollars.

          « C’est le résultat qui compte »: heureusement qu’il y a eu « Star Wars », « E.T. », « Indiana Jones’, « Retour vers le furtur », etc… qui ont sauve une certaine independance des producteur face au systeme Hollywoodien.

          « où on découvre un type d’une immense culture – c’était un très grand lecteur – et d’une grande finesse en même temps qu’un combattant… de la liberté. » : c’est en partie du gros blabla et des apparences, a mon avis.

          « Vous n’imaginez pas l’inculture et la stupidité des critiques américains. » Vous ne me connaissez pas.

          « Plus fondamentalement, je crois que ce film touche aux racines de l’Amérique…sur la démocratie. » Je suis d’accord avec cette partie globalement.

          « PS : heureusement que les artistes et créateurs ne sont pas enfermés dans la logique et le rationnel… le rationnel n’étant qu’une île dans un océan d’irrationnel… »

          Ce PS, je vais vous en parlez:
          Je pense que le milieu des emotions, c’est la logique, autour il y a le raisonnable puis le rationnel (c’est complique a expliqueer cette partie rationnel car elle peut devenir problematique), puis l’emouvant, puis lexcessif et enfin l’extremisme.

          1. Avatar de Vincent Teixeira
            Vincent Teixeira

            Monsieur ou Madame (?) Tata (en français on écrit M. et non Mr), que vous ayez fait des films ou non ne m’intéresse guère… Et Cimino ne faisait pas du « bla bla » – son film en est la preuve.
            Désolé, les créateurs et artistes (heureusement) ne sont ni des comptables, ni des logiciens ni des mathématiciens (fort heureusement !).
            PS : il y a un abîme entre les millions des films de Cassavetes (merci de me rappeler avec qui il a tourné) et ceux des grosses productions cinématographiques…

            1. Avatar de tata
              tata

              Mr Woo Fon, euh, je confonds encore avec Mr Vincent Teixeira,

              (Excusez moi, j’ai eu tellement de discussions avec Mr Woo Fon:
              inutiles pour moi mais reelement utile dans le monde de Mr Woo Fon)

              « que vous ayez des films ou non ne m’intéresse guère… »
              Ca m’a servi a comprendre comment ca marche pour faire un film de faire justement des films.

              « Et Cimino ne faisait pas du « bla bla » – son film en est la preuve. »
              J’ai dit que ce film etait super, donc?

              Mais Mr Cimino a aussi fait du blabla, par exemple sur les grands espaces americains: regardez la chambre de Mr Van GoGh (enorme nonSoi), elle est toute petite mais d’une importance si grande, pour certains.

              ni des comptables, ni des logiciens ni des mathématiciens (fort heureusement !).
              Voila des livres de comptabilite qui peuvent servir a tout le monde de Anne Delaby.
              C’EST DE LA COMPTABILITE POUR QUE CHACUN ARRIVE A MONTER UNE PETITE ENTREPRISE SI ELLE LE SOUHAITE

              https://www.amazon.fr/s?k=Anne+delaby&__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&ref=nb_sb_noss

              Quelqu’un de tres tres proche de moi est comptable, (Mr Woo Fon, lui, le savait)

              VOUS REMARQUEREZ QUE POUR CETTE HISTOIRE D’ECRITURE INCLUSIVE, J’AI DECIDE DE METTRE LE PLURIEL ET LE GENERIQUE AU FEMININ, CONTRAIREMENT A Mr WOO FON, CELA ME PARAIT BEAUCOUP PLUS ADAPTE AUX ENFANTS COMME SOLUTION.

              P.S.:
              Je voulais juste expliquer qu’un film, ca coute de tout facon cher.
              Nous n’allons pas nous perdre betement dans des mechancetes, je viens pas voir le blog de Mr Jorion pour cela et vous non plus Mr Vincent Teixeira, j’en suis convaincu.

              1. Avatar de Vincent Teixeira
                Vincent Teixeira

                la comptabilité (pas plus que votre Woo Fon) ne m’intéresse nullement. Et, ne vous en déplaise, les grands artistes et créateurs se désintéressent de cette « criminelle légèreté » qui fait que les chiffres, « la gouvernance par les nombres » sont devenus l’étalon de notre « modernité »…
                Restons en là entre nous, svp.

                PS : « Je voulais juste expliquer qu’un film, ca coûte de tout façon cher. » Truisme insignifiant.

              2. Avatar de Vincent Teixeira
                Vincent Teixeira

                Votre esprit comptable-logico-rationnel m’a soudainement rappelé Primo Levi… (excusez) :
                « Auschwitz, un de ces noms qui définit à lui seul un pan de l’Histoire de l’Humanité, réalise au XXe siècle la fusion de l’antisémitisme et du racisme avec la prison, l’usine capitaliste et l’administration bureaucratico-rationnelle. Auschwitz constitue une synthèse unique de différents éléments que l’on trouve dans d’autres crimes ou génocides du XXe siècle, une synthèse rendue possible par son ancrage dans le système social, technique, industriel, bref dans la rationalité instrumentale due à l’espèce « Homo sapiens sapiens » ».

        2. Avatar de Garorock
          Garorock

          Un pouce pour Vincent T !

    1. Avatar de tata
      tata

      @Vincent Teixeira

      Merci pour le lien.
      Je l’ai en dvd aussi.

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