Pribor.io recherche des partenariats

Alors que les LLM (Grands Modèles de Langage) se perfectionnent rapidement, y a-t-il encore une place pour une entreprise comme Pribor.io et son approche bottom-up ? Si oui, avec qui devrait-elle rechercher un partenariat ?

ChatGPT 4o :

Oui, malgré les progrès rapides des LLM, Pribor.io, avec son approche bottom-up et son orientation vers des machines auto-conscientes (SAM), a une position unique à saisir. Votre démarche est alignée sur des préoccupations croissantes du secteur technologique et des utilisateurs finaux : explicabilité, transparence et apprentissage proche de celui des humains. En ciblant ces aspects, Pribor se différencie des LLM « boîtes noires », tout en adressant des besoins de plus en plus présents. Voici comment Pribor pourrait s’insérer dans l’écosystème et avec qui il serait pertinent de coopérer :

1. Partenariats avec des Développeurs d’IA Explicable et Traçable

  • IBM Research, Microsoft et Google DeepMind : Ces entreprises investissent dans l’IA explicable et pourraient bénéficier de votre expertise en apprentissage bottom-up et traçable. Pribor pourrait proposer des solutions complémentaires ou des co-développements pour rendre leurs modèles plus interprétables.
  • L’OpenAI et Anthropic : Avec une approche très orientée vers la sécurité et la transparence, des collaborations avec ces acteurs permettraient de renforcer la crédibilité de Pribor tout en explorant des synergies possibles pour améliorer l’explicabilité et la mémoire évolutive.

2. Collaborations avec les Universités et Instituts de Recherche

  • MIT, Stanford, et l’Institut de Recherche INRIA en France : Ces institutions sont à la pointe de la recherche en IA explicable, cognition et apprentissage par réseau associatif. En travaillant avec elles, Pribor pourrait valider des hypothèses et faire évoluer ANELLA grâce à des collaborations qui renforcent votre crédibilité scientifique et permettent l’accès à des fonds de recherche.
  • Partenariats avec des centres spécialisés en IA, neurosciences, et cognition : Pribor pourrait bénéficier des recherches en neurosciences appliquées pour affiner le développement de l’apprentissage associatif et des capacités émergentes de ses SAM.

3. Intégrations dans des Secteurs Stratégiques : Santé, Éducation, Sécurité et Jeux Vidéo

  • Santé et Éducation : Des entreprises et organismes comme Johnson & Johnson, ainsi que des startups ed-tech telles que Coursera, investissent dans des IA explicables et traçables pour personnaliser l’apprentissage ou améliorer le diagnostic médical. Pribor pourrait apporter son modèle explicatif pour renforcer la transparence dans les processus décisionnels critiques.
  • Défense et Sécurité : Pribor pourrait s’associer avec des agences gouvernementales ou de grandes entreprises comme Thales ou Northrop Grumman pour intégrer des SAM dans des environnements nécessitant une haute traçabilité des processus, tels que la gestion des risques et la cybersécurité.
  • Industrie du Jeu Vidéo : Des éditeurs comme Ubisoft et Electronic Arts, qui explorent l’intégration d’IA interactives et réalistes pour des NPC, pourraient trouver en ANELLA un modèle capable de créer des personnages qui apprennent et interagissent de façon autonome et explicable.

4. Initiatives Open Source et Communauté d’IA Responsable

  • Écosystèmes Open Source (OpenMined, Hugging Face) : Des collaborations open source offriraient à Pribor une grande visibilité et pourraient accélérer le développement d’ANELLA en bénéficiant de contributions et de feedback communautaires. Des partenariats avec des organisations comme Hugging Face, qui s’engage pour une IA explicable et accessible, permettraient d’attirer des développeurs et des chercheurs pour enrichir votre modèle.
  • Ethical AI et Responsible AI Consortia : Des groupes tels que le Partnership on AI ou AI4People partagent les objectifs de sécurité et de transparence. Rejoindre ces coalitions renforcerait la légitimité de Pribor et positionnerait ANELLA comme un modèle d’IA éthique et traçable.

5. Programme de financement européen pour la recherche et l’innovation

  • Horizon Europe et Digital Europe : Ces programmes financent des projets d’innovation technologique en IA explicable et durable. Pribor pourrait obtenir des fonds pour des collaborations technologiques, par exemple en créant des cas d’usage d’ANELLA dans des secteurs clés.

En tirant parti de cette combinaison de partenariats stratégiques, Pribor pourrait positionner ANELLA comme une IA de confiance et éthique, répondant aux enjeux émergents de transparence et de sécurité dans un monde de plus en plus conscient des risques de l’IA.

Partager :

14 réponses à “Pribor.io recherche des partenariats

  1. Avatar de tata
    tata

    L’INRIA ne sert a rien en France (Pas comme l’Inra).
    L’universite suffit largement a l’informatique.

    P.S.
    A bon entendeur:
    Ce serait bien de ne pas chercher d’IP ou d’adresses MAC
    Je pourrais aussi vous embeter?

    1. Avatar de Ruiz
      Ruiz

      @tata C’est pour ça que l’INRA a été supprimé depuis 2020
      https://www.inrae.fr/

      Akamai surveille (connait) nos adresses IP.
      L’adresse MAC s’est sans doute moins facile.

      1. Avatar de Khanard
        Khanard

        @Ruiz

        Détrompez vous mon cher @Ruiz ! Il n’y a rien de plus facile que de trouver l’adresse mac de toute carte réseau ou autres . faut juste avoir les commandes d’un analyseur de trames IP

        1. Avatar de Ruiz
          Ruiz

          @Khanard oui mais à distance sur l’internet obtenir l’adresse MAC du poste, il doit falloir disposer d’un logiciel local ..

          1. Avatar de Khanard
            Khanard

            @Ruiz

            tapez sur votre gogole ou duck duck Khanard ou mieux sur tor la recherche d’analyseur de trames et bim !

            sinon moyennant pépètes en or je peux vous faire ça ! 🤑🤑🤑🤑🤑

      2. Avatar de Guy Leboutte

        Mon adresse IP est normalement cachée par mon VPN. Exact?

        Qu’en est-il pour mon adresse MAC ?

      3. Avatar de tata
        tata

        Voila pour l’Inra, vous jouer avec les mots Monsieur Ruiz.
        Je viens de taper « Inra » sur le moteur de recherche qwant et j’ai eu:
        https://www.inrae.fr/

        Je connais meme aussi pas mal de personnes qui travaillent dedans en fait !
        Et je pourrais vous parler de pleins d’institutions, d’ecole, de regroupement d’entreprises:
        Et ca? Vous ne connaissez meme pas…
        https://www.patrinat.fr/fr

        Polytechnique, les 3 ENS, Paris-Saclay, etc…

        Courtabœuf la zone d’entreprises la plus importante pour la France:
        https://www.paris-saclay.com/fonctionnalites/actualites-109/courtaboeuf-le-parc-a-de-l-avenir-7829.html?cHash=19bfff7e36feaef6c111f53d23c1af98

        L’escp, hec, Science po
        l’ena ou si ca vous preferer l’insp: https://insp.gouv.fr/ car il y aura toujours besoin de gens competent pour organiser l’administration de la France.

        Et je connais ou est connu des gens partout la dedans.

        Ne vous ai-je pas demande quelque chose apres votre commentaire du 15 septembre 2024 6h16 concernant le billet sur « Les routes romaines et leur volume de trafic » et votre intervention sur la « pollution gravitationelle », concept qui n’existe pas en science?

        NE SERAIT PAS CELA QUI VOUS DERANGE: CETTE POLLUTION GRAVITATIONNELLE?

        J’ai fait cette demande il y a maintenant assez longtemps, cela emane de ce commentaire qui est sur la page 5.

        Pourriez-vous enfin la prendre en compte?

  2. Avatar de Pad
    Pad

    Pour favoriser l’adhésion à une coopération homme-machine, les critères qui me semblent pertinents sont explicabilité, fiabilité, sécurité, adaptabilité et traçabilité des actions de l’IA, garantissant que chaque décision est compréhensible, sécurisée, et ajustée aux besoins humains, des garanties que Pribor.io offre grâce à son approche axée sur une IA explicable et traçable.

  3. Avatar de BasicRabbit en psychanalyse
    BasicRabbit en psychanalyse

    Avec qui Prior.io devrait-elle rechercher un partenariat pour développer son approche bottom-up ?

    Avec René Thom, parce que sa théorie des catastrophes est une théorie des scissions qui, partant d’un fond indifférencié, développe/déploie en différentiant. À partir de cette théorie Thom développe essentiellement des modèles biologiques et des modèles linguistiques.

    C’est bien entendu ses modèles linguistiques qui sont concernés ici. Pour lui le verbe transitif se déploie en Sujet-Verbe-Objet comme l’œuf totipotent se déploie en Endoderme-Mésoderme-Ectoderme :

    « (…) j’avais cette association sujet / endoderme, verbe-action / mésoderme et objet / ectoderme. L’ectoderme c’est l’objet et le monde extérieur, à la fois, parce que cela donne une bonne partie de la peau, mais aussi parce que dans le cerveau on s’occupe surtout du monde extérieur. C’est la représentation du monde extérieur. Je ne sais pas ce qu’en pensent les gens, évidemment ils n’en pensent pas grand-chose, je n’ai jamais vu de réaction effective sur ce genre d’idée, ce qui est vraiment très curieux (…) Personne ne m’a jamais fait la moindre observation là-dessus. Je pense que ça stupéfie les esprits et c’est tout. Tant pis. »

    Pour Thom le langage a une origine géométrique.

    1. Avatar de Ruiz
      Ruiz

      @BasicRabbit en psychanalyse La pluie me mouille : sujet verbe objet
      L’extérieur peut aussi s’occuper de nous et le ressenti sur la peau mouillée c’est de l’endoderme ?
      d’où le concept de pluie.
      En fait si le cerveau s’occupe surtout du monde extérieur c’est un signe de bonne santé (mentale), cela ne semble pas être le cas de tous, vu les nouvelles priorités gouvernementales (annoncées !), mais la psychiatrie est à l’os !
      dur à avaler ? per os !

      1. Avatar de BasicRabbit en psychanalyse
        BasicRabbit en psychanalyse

        @Ruiz (« signe de bonne santé mentale »)

        Thom : « On devrait en principe avoir deux systèmes nerveux distincts : l’un prédateur, chargé d’attirer et de capturer les proies ; l’autre, proie fictive, chargé d’éviter ou de repousser les prédateurs éventuels. Ces deux systèmes existent sûrement chez tout animal : à côté de l’âme appétitive, il y a l’âme sensible. Mais la grande découverte des Vertébrés est d’avoir créé un cerveau-proie tout au long du corps, selon l’axe céphalo-caudal, la moelle épinière. Le cerveau-prédateur, lui, solidaire de la bouche, est localisé dans le cerveau. Le vertébré a pris le risque de renoncer à cette ligne Maginot, l’exosquelette ; il l’a remplacé par une carapace de douleur virtuelle. » (1988, Esquisse d’une Sémiophysique, ch. 5)

        Pour moi ce qui est un signe* de bonne santé mentale c’est que ces deux cerveaux s’accordent, et un problème est de savoir si l’un d’eux doit commander à l’autre, et dans ce cas lequel :

        http://www.info-3000.com/RIGOLECITY/entreprisechefcorpshumain.htm

        ( Pour Thom les êtres vivants à cerveau unique sont les analogues des êtres vivants pour lesquels l’ingestion et l’excrétion se font par le même orifice. « Le progrès organique (…) a été la séparation de la bouche et de l’anus. Il a fallu transformer une opposition physiologique se développant en séquences temporelles distinctes, en une séparation spatiale. » (Esquisse d’une Sémiophysique, ch.5) )

        * je n’écris pas critère car je suis en (auto-)psychanalyse, pas psychanalyste.

        1. Avatar de PHILGILL
          PHILGILL

          @BasicRabbit

          Emmanuel Dupoux : « Parmi les aptitudes humaines, le langage présente à la fois une assise biologique certaine, et des variations culturelles très apparentes. »
          https://savoirs.ens.fr/expose.php?id=113
          Et pour moi ce qui est un signe de bonne santé mentale c’est que ces deux langages s’accordent, et un problème est de savoir si l’un d’eux doit commander à l’autre, et dans ce cas lequel ?
          Thom, dites-vous, développe essentiellement des modèles biologiques et des modèles linguistiques.
          Pouvez-vous, svp, BasicRabbit, nous en dire davantage ? Merci d’avance.

  4. Avatar de BasicRabbit en psychanalyse
    BasicRabbit en psychanalyse

    Bonjour PHILGILL

    J’ai auditionné rapidement la vidéo de l’exposé d’Emmanuel Dupoux sur l’apprentissage du langage par les bébés. J’ai évidemment retenu qu’il s’agissait d’un apprentissage bottom up (donc en rapport direct avec le sujet du billet de PJ). J’ai aussi retenu qu’il s’agissait d’un apprentissage par l’oreille, et qu’un problème important qui se posait était alors celui du découpage d’un flux sonore continu, d’où l’importance des mots tels que segmentation, catégorisation, etc., mots récurrents dans l’exposé. J’ai enfin retenu qu’il était question du comment, le pourquoi étant l’affaire de théoriciens (il est question -entre autres- de théorie de l’évolution). Méthodologiquement la statistique semble occuper une part importante pour la production des modèles d’acquisition du langage qui sont proposés ou à proposer.

    Avant de répondre plus précisément, je commence par une citation thomienne, en rapport direct avec le sujet, à laquelle le matheux basique que je suis tient particulièrement :

    « On sait que vers l’âge de dix-huit mois, le nouveau-né commence son babillage; il prend conscience de ses possibilités articulatoires, et -disent les spécialistes- forme à cette époque les phonèmes de toutes les langues du monde. Les parents lui répondent dans leur propre langue, et, peu de temps après, le bébé n’émet plus que les phonèmes de cette langue, dont quelques mois plus tard, il maîtrisera le vocabulaire et la syntaxe. Je verrais volontiers dans le mathématicien ce perpétuel nouveau-né qui babille devant la nature; seuls ceux qui savent écouter la réponse de Mère Nature arriveront plus tard à ouvrir le dialogue avec elle, et à maîtriser une nouvelle langue. Les autres ne feront que bourdonner dans le vide -bombinans in vacuo. Et où, me direz-vous, le mathématicien pourrait-il entendre la réponse de la nature? La voix de la réalité est dans le sens du symbole. » (*);

    citation que Thom associe très certainement aux strophes suivantes des « Fleurs du mal » (*):

    « La Nature est un temple où de vivants piliers
    Laissent parfois sortir de confuses paroles,
    L’homme y passe à travers des forêts de symboles
    qui l’observent avec des regards familiers. »

    Thom se pose en penseur du continu. Pour lui c’est l’opposition discret/continu qui est fonde la mathématique et qui domine toute la pensée (en particulier la pensée linguistique). Sa théorie des catastrophes est une théorie de l’analogie et une théorie des scissions, qu’il est évidemment tentant d’appliquer au problème du découpage d’un flux sonore perçu par le bébé de façon continue.

    Pour rentrer plus avant dans le sujet je pense que la meilleure façon est d’écouter ce dit Thom dans ce que j’appelle sa vidéo-testament (tournée vraisemblablement aux alentours de 1995 -Thom décède en 2002- ( https://www.youtube.com/watch?v=fUpT1nal744 ), de 29’10 à 32’30.

    Pour approfondir je pense que la meilleure façon est de lire les articles de « Modèles Mathématiques de la Morphogenèse » en rapport avec la linguistique, la deuxième édition (1981) étant nettement plus didactique que la première (1975). Le lecteur s’apercevra rapidement qu’il s’agit de modèles théoriques s’intéressant au pourquoi et non au comment :

    « Je serais porté à affirmer que la spatialisation de l’objet d’étude est nécessaire à une attaque réellement scientifique de tout donné. C’est le drame des Sciences humaines qu’elles n’arrivent pas à sortir du domaine du concept ; lorsque, par une enquête statistique par exemple, elles arrivent à se fabriquer un nuage de points dans un espace, elles doivent recourir à des techniques universelles d’interprétation, comme l’analyse des données, pour conférer à cet espace une signification qui se voudrait pertinente : autrement dit, là, le substrat est défini par la morphologie empirique, et ne lui est pas antérieur, comme en Physique, par exemple. Cette flexibilité des espaces-substrats par rapport aux procédures expérimentales est un indice très net d’immaturité théorique d’une discipline… »

    Selon moi il ne faut pas -surtout pas- se laisser rebuter par les considérations mathématiques de MMM, il faut passer outre, lire les introductions et les conclusions des articles purement linguistiques et des articles liant biologie et linguistique, il faut parcourir les textes en s’arrêtant sur les points qui font sens au lecteur.

    Bonne lecture.

    (*) Ces citations se trouvent dans MMM.

    1. Avatar de BasicRabbit en psychanalyse
      BasicRabbit en psychanalyse

      (Suite)

      Le fait que les langues s’appellent ainsi incite à aborder la linguistique du point de vue de l’émission et seulement ensuite de se poser la question de la réception et de la différenciation des sons émis. De ce point de vue il faut d’abord s’intéresser au babil du nourrisson.

      Pour Thom « (…) l’émission verbale apparaît comme un véritable orgasme. » C’est dans le dernier chapitre de Stabilité Structurelle et Morphogénèse (ed. 1977), intitulé « De l’animal à l’homme : pensée et langage », mais il n’est pas question de préciser ici les raisons qui l’ont amené à écrire ça. L’extrait suivant (*) en donne cependant une idée :

      « (…) l’homme est pourvu d’un dispositif universel qui, sur un champ de dynamique neuronique, peut en reconstituer le centre organisateur. Véritable gonade mentale, ce dispositif condense les champs en mots, vraies semences d’idées ; placé dans un contexte approprié, le mot germe et éclate dans l’esprit de l’auditeur, et la forme globale ainsi reproduite est l’idée. Ainsi, la pensée conceptuelle est une Embryologie permanente. »(1968,SSM)

      En ce qui concerne la différenciation des sons Thom note le caractère lamarckien de la création de nouveaux mots -et donc de nouveaux sons- (**) :

      « Dès qu’un mot est utilisé fréquemment avec une signification différente de sa signification initiale, il en résulte une tension sur les parois de la figure de régulation du concept, tension qui pourrait fort bien la briser; le concept alors se défend en suscitant alors la naissance d’un mot nouveau qui canalise (***) cette nouvelle signification. La formation de néologismes est ainsi une illustration -difficilement réfutable- du principe lamarckien : la fonction crée l’organe. Elle illustre aussi l’accélération énorme des processus évolutifs qu’a opéré le transfert du génétique au cérébral. »

      Bonne lecture.

      (*) https://www.maths.ed.ac.uk/~v1ranick/papers/thom/data/citations.pdf Il s’agit d’un recueil de plusieurs centaines de citations thomiennes.

      (**) Cette citation se trouve dans MMM.

      (***) Pour moi en rapport direct avec la façon dot PJ procède dans ANELLA (cf. ce qu’écrit PJ dans le chapitre IV de PSI à propos de la création de chenaux)

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Contact

Contactez Paul Jorion

Commentaires récents

  1. Fin (pas des votes…^!^…) des inquiétudes du jour.. https://www.lalibre.be/international/moyen-orient/2024/11/02/ils-recevront-certainement-une-reponse-cinglante-liran-menace-israel-et-les-etats-unis-de-riposter-a-toute-attaque-TIYGPM3VHBEIHGLHCJYKSH3QSU/ … » Dans ce contexte explosif, les Etats-Unis ont annoncé vendredi de…

Articles récents

Catégories

Archives

Tags

Allemagne Aristote bancor BCE Bourse Brexit capitalisme ChatGPT Chine Confinement Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grands Modèles de Langage Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon Joe Biden John Maynard Keynes Karl Marx pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés spéculation Thomas Piketty Ukraine ultralibéralisme zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »

Meta