Illustration par ChatGPT
J’écrivais ici le 14 mars dans un billet intitulé Le dilemme du programmeur : « Me lancer dans la rédaction d’un programme qui m’aurait demandé à coder un an l’année dernière et un mois seulement en février, ou attendre 15 jours la sortie d’une IA qui fera tout toute seule en 3 heures à partir seulement des spécifications du projet rédigées en français ? »
Je pourrais écrire la même chose aujourd’hui en remplaçant simplement « en 3 heures » par « qui le fait en moins d’une minute ».
Avant-hier, le 15 juillet, j’ai publié ici un billet intitulé : PRIBOR – Nouvelle étape : amélioration du rendement des IA génératives, en lançant en quelque sorte un appel.
Ce n’est pas que J-B et moi n’y ayons consacré aucune heure de travail : nous y avons passé au contraire nos [longues] soirées, mais le fait est qu’avec les progrès de l’IA en matière de programmation, nous sommes passés en 48 heures de « contribuer par un élément de bottom-up à l’architecture des Grands Modèles de Langage (LLM = Large Language Model) » à « bâtir entièrement un LLM du bas vers le haut – ce qui est autrement plus économique ! » (Merci Kimi !).
Pour le dire autrement : la cible est tellement mouvante qu’à ceux qui ont eu l’amabilité de m’écrire « Comment puis-je aider PRIBOR ? » (vous êtes une dizaine, merci !), j’ai dû me contenter de répondre : « Je vous recontacte sous peu » et le fait est que ce que je leur dirais aujourd’hui est tout autre que ce que je leur aurais dit avant-hier.
Je reviendrai vers chacune et chacun d’entre vous mais pardonnez-moi si je vous dis : « En ce moment, chez PRIBOR, ce que nous avons de mieux à faire est de suivre la dynamique, de poursuivre l’élan. Dès que cela ralentira un peu, nous ferons le point ».
Et si cela ne ralentit pas … nous partagerons un jour un verre dans une buvette élégamment perchée au bord d’un canal martien 😉 .
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