*Godot est mort !*
J’avais entendu parler anglais à la maison durant toute mon enfance.…
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Non Pascal ! Je ne crois pas. Tout homme politique est titillé par son égo, un patrimoine commun à chacun…
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5 réponses à “My own Britain II. Saisissement à Cantorbéry”
Un brexite à l’espagnol, enfin catalan… ? 🙂
« Elle finit par se taire » : fin de l’analyse.
« Ce que femme veut Dieu le veut. »
« Chut ! »
Ça fait du bien de lire autre chose que le discours à la mode (pour ne pas dire dominant) sur les relations sexuelles entres les hommes et les femmes.
On peut se demander ce que signifie de la part de Paul Jorion cette succession de billets de souvenirs intimes (rien de grave espérons). En tout cas, cela réveille en moi pas mal de souvenirs personnels qui perturbent le cours de mes nuits. Je ne sais pas si je dois l’en remercier.
Non, je ne suis pas mourant, ni même malade à ma connaissance. Il y a 2 facteurs jouant concurremment.
1° Le succès de mes leçons d’ « Anthropologie culturelle » à la Catho de Lille a conduit à ce qu’on me confie un nouveau cours intitulé « Grands courants en anthropologie ». Du coup je suis allé déterrer tout ce que j’avais écrit sur le sujet, textes publiés et inédits. Je mets cela en ligne au fur et à mesure.
2° Mon grand âge (ce n’est pas une blague) fait que j’ai bien connu – souvent en étant leur élève – des acteurs majeurs de l’anthropologie ou ai pu consulter des archives peu connues (voir un bon exemple aujourd’hui même pour les 2 aspects : Ils firent de l’ethnologie une science). Du coup je suis allé déterrer le manuscrit incomplet d’une autobiographie que m’avait commandé Pierre Nora vers 2009 pour la collection « Témoins » chez Gallimard. J’ai laissé le projet en rade pour répondre à d’autres sollicitations qui apparaissaient plus urgentes. J’en ressuscite les morceaux relatifs à l’anthropologie et à ses méthodes, et au passage – pour me faire plaisir – la vie en général LoL.